vendredi 31 décembre 2021

Les réponses du COVID sont contraires à la Constitution canadienne, selon le dernier architecte vivant du cadre juridique de 1982

Selon le dernier ancien premier ministre vivant d'une province ayant participé à la rédaction de la loi constitutionnelle de 1982, les juges et tribunaux errent en droit en disant que les tribunaux ne pourraient valider les privations des droits décrits dans la Charte des droits et libertés. Leur argument s'appuient sur leur non-expertise scientifique pour tenter de justifier leur point de vue, alors que c'est le travail des juges et des tribunaux d'entendre des experts qui ont des argumentaires différents.




EXTRAIT SUR L'EXEMPLE DU MANITOBA

A été retenue ici uniquement la portion du texte selon laquelle le tribunal du Manitoba a prétendu devoir se fier uniquement à la santé publique de la province, sous prétexte que les juges  n'auraient pas l'expertise scientifique pour juger des justifications des réponses au COVID, en conflit potentiel avec les droits constitutionnels. Dans l'extrait, il est question de la province du Manitoba, mais la même logique et critique s'appliquent à l'ensemble des provinces du Canada. D'après un article paru dans le EpochTimes.com, du 22 décembre 2021 où 

«L'ancien premier ministre Brian Peckford affirme que les gouvernements provinciaux outrepassent les droits des Canadiens dans le contexte de la pandémie».

 

Huit premiers ministres provinciaux à une conférence de presse à Ottawa, le 16 avril 1981, en appui aux changements constitutionnels proposés par le gouvernement fédéral. De gauche à droiteBrian Peckford de Terre-Neuve, Allan Blakeney de la Saskatchewan, William Bennett de la Colombie-Britannique, René Lévesque du Québec, Sterling Lyon du Manitoba, John Buchanan de la Nouvelle-Écosse, Angus MacLean de l'Île-du-Prince-Édouard et Peter Lougheed de l'Alberta.


Brian Peckford, ancien premier ministre de Terre-Neuve. (Courtoisie de Brian Peckford). On le voit premier à gauche sur la photo précédente.

TITRE : COVID Responses Defy Canadian Constitution, Says Last Living Architect of 1982 Legal Framework

(By Lee Harding, December 22, 2021 Updated: Dec. 27, 2021)


[ EXTRAIT traduit en français avec avec DeepL ]

[...]

« Le Justice Centre for Constitutional Freedoms a présenté 2 000 pages de preuves examinées par des pairs, composées de données scientifiques et gouvernementales, lorsqu'il a contesté la constitutionnalité des lockdowns au Manitoba. Dans une décision rendue en octobre, le juge en chef Glenn Joyal a refusé de déclarer les lockdowns inconstitutionnels.

« Il a plutôt déclaré que "ceux qui prennent des décisions rapidement et en temps réel pour le bien et la sécurité du public" ont droit à "une marge d'appréciation". Il a ajouté que, plutôt que de les infirmer, il devait garder "l'humilité judiciaire requise qui découle de la reconnaissance du fait que les tribunaux n'ont pas l'expertise spécialisée pour remettre en question les décisions des responsables de la santé publique".

« M. Peckford, un ancien enseignant qui s'exprime aujourd'hui sur son blog Peckford42, estime que Joyal a échoué, et non la Constitution.

"Je suis complètement en colère contre ce juge parce qu'un juge prend chaque jour des décisions basées sur des sujets dont il n'est pas un expert. S'il ne prend des décisions que sur la base de ce qu'il sait faire, il ferait mieux de démissionner maintenant", a-t-il déclaré.

"Les juges sont censés prendre une décision fondée sur la loi et sur les informations dont ils disposent... et [Joyal] ne l'a pas fait. Il a donc commis une erreur de droit, une erreur de pratique, une erreur de procédure. ... Donc je rejette complètement la décision de ce juge comme étant complètement non pertinente." »

[...]

FIN DE LA CITATION

Le juge du Manitoba utilise l'argument selon lequel il faudrait se fier entièrement aux responsables de la santé publique... En réponse, faut-il rappeler que ni les experts en santé, ni les élus, et ne sont des experts en droit! Et les élus peuvent tendre à choisir ce qui leur plait. Qu'arrive-t-il lorsque les experts se trompent ou exagèrent la marge sécuritaire, ou sont compromis (ex. conflits d'intérêts financiers ou pressions politiques; les attentes du chef d'État élu), ou encore lorsque le pouvoir politique surréagit (en rajoute aux recommandations) ou utilise ou prolonge indument, une situation inhabituelle pour en tirer avantage ? C'est justement pour éviter des erreurs, des abus ou des incompétences (laissons le bénéfice du doute aux politiques), que des experts sont chaque jour au Canada interpellés pour témoigner devant des tribunaux.

 

Lire l'article complet sur Epoch Times où il est aussi questions des sections du cadre juridique de 1982 qui sont outrepassées par les règles actuelles.

«Brian Peckford, qui a été le troisième premier ministre de Terre-Neuve de 1979 à 1989 et qui réside sur l'île de Vancouver depuis les années 1990, affirme que " les gouvernements de Saint John's à Victoria " ont défié la liberté de réunion énoncée à l'article 2 de la Charte des droits et libertés - la partie la plus reconnue de la Constitution - et ont également tourné le dos à trois autres articles»


https://www.theepochtimes.com/covid-responses-defy-canadian-constitution-says-last-living-architect-of-1982-legal-framework_4169653.html?utm_source=morningbriefnoe&utm_medium=email_MB&utm_campaign=mb-2021-12-25&utm_content=News_COVID_Responses_Defy&est=9CeQEdIOZjJZQ5R1yuhsiHJk3rq%2Fsas6lg4lPhqhaFRjpK86YtBScabZ8R%2BgC82B

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)


lundi 27 décembre 2021

Ces chiffres COVID-19 de 2020 à ne JAMAIS OUBLIER

Voici un IMPORTANT RAPPEL des données de mortalité  par COVID-19, diffusées par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, pour l'année 2020. Les chiffres de la mortalité par COVID seule, ont dû être réduits considérablement, par rapport aux chiffres bruts non corrigés et monstrueux diffusés les premiers jours après les décès de ladite année. 


Pourquoi ce rappel de données de mortalité /COVID de l’année de référence 2020?

  • Parce que c’était le pire de la crise en fait de mortalité.
  • Pour ne jamais oublier.
  • Parce que les médias traditionnels en ont très peu parlé.
  • De plus, les révisions de dossiers pour la période de calendrier depuis la semaine se terminant le 1er février 2020, jusqu'à la semaine se terminant le 5 décembre 2020, ont donné des résultats encore plus révélateurs sur le nombre de problèmes sérieux de santé combinés à la présence du virus de la COVID-19.

Ces comorbidités cumulatives pour les décès enregistrés sont statistiquement désignées comme «Pathologies contribuant aux décès impliquant le COVID-19» aux États-Unis pour ladite période de 2020 (1).

La période où l’Occident a dérapé

En 2020, les informations sur le pire de la crise COVID ont fait paniquer l’Occident. Or, parmi le nombre de décès aux États-Unis, ce sont seulement 6% des décès avec COVID qui constituaient en réalité une mortalité avec virus de COVID seul. Pour les autres 94% des décès avec virus de la COVID, les malades avaient au moins 1 autre cause potentielle (comorbidité), avec une MOYENNE de près de 3 autres causes concourant à la mortalité (comorbidités).

La façon de fonctionner est la suivante. Au début, par principe de précaution, les intervenants de la santé attribuaient le virus de la COVID au décès, comme une cause de mortalité lorsqu'il était décelé. Un décès pouvaient avoir plus d’une cause (les chiffres du tableau en référence dont la page 1 est extraite comme exemple ne peuvent donc pas être additionnés). Mais le travail ne s’arrêtait pas là. Les jours et semaines suivantes, les dossiers étant revus pour épurer les statistiques des biais sur les données et ainsi, le National Center for Health Statistics /National Vital Statistics System ajustait les statistiques, pour préciser les causes de décès cumulatives (présentes, concourantes, comorbidités). Au final, sur la base des données disponibles, l’organisme pouvait établir au 6 décembre 2020, que parmi le grand nombre de morts annoncés comme étant victimes «du virus de la COVID», seulement 6% se sont avérés de la COVID seule (2). Cela représente, par exemple, 30,000 cas par tranche de 500,000 cas (500,000 X 0,06 (6%) = 30,000 cas de décès uniquement COVID. Ce sont les proportions officielles que les médias traditionnels convergents ont à peine effleurées, sinon ignorées. 

Extrait du tableau : Conditions contributing to deaths involving COVID-19, by age group, United States. Week ending 2/1/2020 to 12/5/2020

Portrait de l'état de la situation au 6 décembre 2020 / Source: National Center for Health Statistics. National Vital Statistics System. Provisional data. 2020.

EXTRAIT : https://www.cdc.gov/nchs/data/health_policy/covid19-comorbidity-expanded-12092020-508.pdf


Traduction : 

« Pour 6% des décès, la COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès dont les conditions ou les causes s'ajoutaient à la COVID-19, il y avait en moyenne 2,9 conditions ou causes supplémentaires par décès. Le nombre de décès pour chaque condition ou cause est indiqué pour tous les décès et par groupe d'âge. Les valeurs dans le tableau représentent le nombre de décès qui mentionnent la condition indiquée et 94% des décès mentionnent plus d'une condition. » (3)

Cette tendance des données était déjà connue et diffusée par les CDC à l’été 2020, mais les médias du Québec, entre autres, en ont fait très peu état. Les rares références étaient-elles uniquement pour se protéger contre de possibles accusations de désinformation, particulièrement en contexte où les médias majeurs, même privés, sont maintenant subventionnés par de l’argent public (provenant des taxes et impôts) et ont par conséquent des obligations morales ou non plus uniquement commerciales qui en découlent?

Pathologies contribuant aux décès impliquant le COVID-1

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jeudi 9 décembre 2021

Publicité COVID poussant l'injection des enfants de 5 à 11 ans du Québec

«Tiens-toi bien, COVID-19 !», lance une fillette québécoise non à rique de complications, menaçant le virus. Le but? Promouvoir l'injection d'un traitement génique encore expérimental, auprès des enfants de 5 à 11 ans du Québec : sommes-nous devenus un régime autoritaire?


Assistons-nous à une manipulation psychologique immorale, à une publicité contre la loi ou pire ?

(dernière modification : 11 déc. 2021)



Au Québec, où la publicité adressée directement aux enfants est interdite par la loi, le Gouvernement rogue ne se gène pas davantage pour adresser sa campagne de traitement expérimental à ARNm, «Tiens-toi bien, COVID-19», directement aux jeunes de 5 à 11 ans. Cette pression à recevoir l'injection se passe au su de tous, sans opposition médiatique, ni politique et sans science justifiant un acte d'une telle ampleur.

N'est il pas choquant qu'alors qu'on a voulu protéger les enfants du Québec contre des entreprises comme Mattel (jouets, jeux) ou McDonald (alimentation rapide), on les livre à l'industrie pharmaceutique dispensée de toute ses responsabilités légales et civiles devant les injectés (les enfants) dans le traitement génique actuel? Comme les autres groupes cibles, ces jeunes sont en fait simultanément des testeurs... Car si le traitement est autorisé, il est encore en phase expérimentale. Et il faut le souligner, les enfants sont très peu à risque de complications avec le virus et l'autorisation des autorités médicales, ne lève pas la dispense de la responsabilité d’entreprises pharmaceutiques multimilliardaires qui planifient les poursuites, les frais d'avocats et les compensations, comme des dépenses de mise en marché… Mais ici, il ne peut même pas y avoir de poursuites. Si un enfant vit des complications, ni l'État, ni les pharmaceutiques ne veulent assumer la responsabilité financière (ex. invalidité de moyenne ou longue durée). Les enfants et les parents seront livrés à eux-mêmes.

C'est probablement inspiré de la publicité de Pfizer avec les enfants super-héros, sauf qu'au Québec la loi interdit la publicité adressée directement aux enfants. «Votre Gouvernement» a donc approuvé des artifices ou moyens détournés pour le mandat reçu de s'adresser aux enfants :

  • pas de narrateur (ne peut être accusé de dire quelque chose),
  • le symbolisme d'un adulte pour suggérer une autorité présente dans chaque scène (comme pour suggérer «on n'interpelle pas directement vos enfants»):
    • la femme qui apporte le gâteau d'anniversaire
    • le grand-parent qui accueille l'enfant dans ses bras
    • la jeune adulte assise sur le banc dans la ruelle où les enfants jouent au hockey de rue
    • l'homme, vraisemblablement le père, qui accompagne la fillette au site d'injection 

  • le mot «Injection» subtilement lisible sur une affiche, mais non prononcé,
  • le soleil couchant à la fenêtre de la clinique, comme pour rassurer,
  • la manipulation psychologique à l'effet que les enfants sont plus forts (menaçants) comme une escouade contre le virus et seront des combattants unis contre le COVID-19,
  • la fillette de la dernière scène avec un vêtement proche des couleurs médicales, s'exclame avec la démarche assurée, digne d'un urgentiste d'un série TV de salles d'urgences: «Tiens-toi bien, COVID-19 !»,
  • la suggestion que seule l'injection donne la liberté de fêter son anniversaire, de voir ses grands parents, de jouer librement avec ses amis, mais sans que le Gouvernement du Québec ne s'engage verbalement (c'est de la suggestion efficace avec les plus jeunes mais sans engagement)
  • et probablement d'autres encore comme les adultes muets dans les scènes, aucune information, aucun avertissement sur les possibles effets secondaires OU sur l'inutilité de l'injection pour des enfants non à risque; le remède étant plus à risque que le virus pour les gens en bonne santé, etc.).

Malgré la mise en place calculée, il est évident que ce sont les enfants qui sont ici la cible désignée, appelée à former les principaux acteurs qui menaceront le virus. Une fillette prend la parole à la fin, ce qui indique bien que la publicité s'adresse aux enfants. Le jeu de caméra aussi, la fait parler à hauteur d'enfant. L'approche est probablement inspirée de la campagne des jeunes super-héros pour promouvoir le traitement expérimental d'une entreprise pharmaceutique américaine, P____.  Mais au Québec, il fallait être plus subtile à cause de la loi.

La pression du Gouvernement du Québec sur les enfants de 5 à 11 ans est évidente

Il n'y a pas de hazard, avec au même moment, le retour intense du port du masque à l'école pour les enfants du primaire du même groupe d'âge que ceux de la nouvelle phase de la campagne COVID-19 débutée en novembre 2021 (5 – 11 ans). Ceci révèle une pratique non pas simplement immorale, mais possiblement sujette à des poursuites. À mon avis, cette publicité bien conçue, mais choquante (une commande de «Votre Gouvernement»), cache une résistance rencontrée, ou du moins anticipée, dans la campagne de traitement génique. Fait-on face à une stratégie gouvernementale qui ne lève pas comme le voudrait le Grand Camarade. Pour le retour en force du masque chez un groupe non à risque (alors que le COVID s’essoufle), il s'agit vraisemblablement d'augmenter la pression sur le jeune groupe cible, en vue d’accélérer la cadence de traitement, en amenant les enfants et parents à penser que les piqûres amèneront la sortie de crise et le retour à la liberté, mais sans le dire ouvertement. Il ne faut pas trop le dire, car cette phase ciblant de jeunes enfants est plus délicate, si l'on osait mentir (jouer avec les chiffres et les mots) comme précédemment. Cette liberté, l'État n'est pas disposé à la redonner. La troisième dose commence à être poussée auprès d’autres groupes. Après bientôt 2 ans de désinformation, manipulations et contradictions, les personnes attentives discernent de plus en plus les techniques utilisées pour forcer des abonnements médicaux et une mutation politique mondiale. Le DANGER pourrait ne pas être immédiat pour les enfants de 5 à 11 ans (objet d'une grande attention collective pour leur première dose), mais davantage pour les doses à suivre. Car il y en aura; monétisation oblige. C’est payant, et pas seulement pour les producteurs de ces traitements expérimentaux. Mais que ceci soit claire: tout traitement superflu constitue un risque et un abus. 

Si nous ne protégeons pas les enfants, qui le fera?

Et si le véritable danger n’était plus le virus, mais le Grand Camarade «béni» par une alliance mondialiste?

Ci-dessous, des images extraites de la publicité. Les enfants menacent le virus.







https://youtu.be/MGrNG-uLJ7w

dimanche 31 octobre 2021

Un autre médecin du Québec dénonce l'injection forcée des enfants avec la technologie à ARNm

Entrevue réalisée après que la lettre ait été retiré par les anti-information. Un médecin omnipraticien du Québec (Canada) a rédigé une lettre d'opinion sur les risques réels associés à la vaccination des enfants avec la technologie à ARNm. Après avoir publié la lettre d'opinions le 26 octobre 2021 (1), le journal La P res se a rapidement retiré cette dernière sous la pression et une panique hyper-réactionnaire devant une lumière différente en provenance du terrain et non des grandes pharmaceutiques.

Dr René Lavigueur, du Québec (Canada). Capture d'écran de l'entrevue réalisée à THEOVOX.tv, le jeudi 28 octobre 2021, après que sa lettre dénonçant la vaccination des enfants diffusée le 26 octobre dans un média du Québec, ait été retirée suivant diverses pressions, en surréaction à la réalité observée par les intervenants sur le terrain (non pas des fonctionnaires ou contractuels poussés vers le haut pour défendre les fabricants). La lettre signée par le médecin avait été écrite avec des confrères et révisées plusieurs fois avant sa soumission aux médias. On y apprend par exemple, que l'injection de type ARNm a provoqué déjà 2 morts sur une population d'un peu plus de 11,000 personnes du territoire. Par déduction, tout cela semble indiquer que la théorie de 1 mort pour des millions d'habitants serait tout à fait erronée et même dangereuse pour le public qui n'a pas accès à un consentement éclairé.


Voilà le genre de situations pour lesquelles j'ai commencé à diffuser sur YaPasDePRESSE il y a une décennie.

VIDEO

ENTREVUE AVEC LE DR LAVIGUEUR, THEOVOX.TV, jeudi, 28 oct. 2021


Le Dr René Lavigueur, pratiquant dans la petite ville de Sainte-Anne-des-Monts, a accepté d'accorder une entrevue au média THEOVOX.tv le jeudi le 28 octobre, 2021. 

L'entrevue nous apprend entre autres que 

  • la lettre du médecin signataire, toujours actif sur le terrain, a été écrite avec des confrères et révisée plusieurs fois avant sa soumission aux médias;

  • que cette nouvelle technologie à ARNm est différente des vaccins des générations précédentes et donc, que les citoyens ne savent pas de quoi ils parlent en accusant les médecins et spécialistes dissidents de complotisme, et autres insultes de bas niveau;
  • que d'ailleurs, les fabricants ont négocié une immunité judiciaire (ne se tiennent pas responsables des effets de l'injection) [NOTE : alors qu'on parle de doses de rappel, voire d'abonnements aux injections];
  • que des personnes formées et informées œuvrant en santé le refusent, parce que les données sont encore inconnues;
  • qu'il n'y a pas d'effort significatif au Québec, pour obtenir les données sur les effets secondaires post-injection. Il s'agit d'un formulaire de 5 pages, de déclaration volontaire, sans rémunération des médecins et sans suivi de rappel, dans un contexte d'un système de santé déjà fragilisé depuis plusieurs années (mal attribution des ressources, centralisation, etc.). Historiquement, dans ce genre de situation volontaire, et devant l'impression que les déclarations vont tomber dans un puits,  un très faible de pourcentage des effets sont au final déclarées (quelques points de pourcentage % de cas accompagnés d'effets même sérieux ou graves). (2)
  • le Gouv. s'appuie donc principalement sur les données de l'industrie, qui n'a pas obligation de diffuser toutes ses données;
  • le risque de l'injection imposée aux enfants est injustifié par rapport au faible risque du virus pour le groupe d'âge, en contexte de manque de recul sur l'utilisation du vaccin. Dans ce contexte, le vaccin peut causer plus de dommages qu'il n'en prévient;
  • et d'autres informations importantes


VIDEO

ENTREVUE AVEC LE DR LAVIGUEUR, THEOVOX.TV, jeudi, 28 oct. 2021


LIRE LA LETTRE  (et mise en contexte)

Injection des enfants : Lettre d'opinion d'un médecin retirée après sa publication

Un médecin omnipraticien du Québec (Canada) a rédigé une lettre d'opinion sur les risques observés et nettement sous-documentés, associés à la vaccination COVID avec la technologie à ARNm. Cela suffit à mettre en garde contre l'injection imposée aux enfants non à risque. Après avoir publié la lettre d'opinions le 26 octobre 2021, le journal La Presse a rapidement retiré cette dernière sous la pression et la panique hyper-réactionnaire devant une lumière différente en provenance du terrain et non des grandes pharmaceutiques. 

https://yapasdpresse.blogspot.com/2021/10/Injection-enfants-lettre-medecin-quebec-retiree-dr-lavigueur.html


Gilles B.

_______________

1.     Pour lire la lettre retirée par les éteigneurs de lumière:

https://yapasdpresse.blogspot.com/2021/10/Injection-enfants-lettre-medecin-quebec-retiree-dr-lavigueur.html

Le lien pourrait faire censurer cet article. Copier l'adresse html ci-haut dans la barre d'adresse de votre navigateur web comme ceci :


2.     Un ami personnel m'a témoigné que sa fille dans la jeune vingtaine avait des effets assez sérieux encore après 3 mois, dont dès règles douloureuses et irrégulières, ainsi que des douleurs au site d'injection. Mais ces effets n'étaient toujours pas déclarés, car survenus après le départ du site d'injection et qu'elle n'avait pas entrepris de démarche. Combien de milliers de cas de la sorte, seulement au Québec, peuvent encore exister? Peut-être, entre autres, par crainte de se faire ignorer ou même ridiculiser si l'on considère l'emprise médiatique défavorable aux victimes.

Injection des enfants : Lettre d'opinion d'un médecin retirée après sa publication

Un médecin omnipraticien du Québec (Canada) a rédigé une lettre d'opinion sur les risques observés et nettement sous-documentés, associés à la vaccination COVID avec la technologie à ARNm. Cela suffit à mettre en garde contre l'injection imposée aux enfants non à risque. Après avoir publié la lettre d'opinions le 26 octobre 2021, le journal La Presse a rapidement retiré cette dernière sous la pression et la panique hyper-réactionnaire devant une lumière différente en provenance du terrain et non des grandes pharmaceutiques. VOICI son contenu 


Le Dr René Lavigueur a accepté d'accorder une entrevue au média THEOVOX.tv le jeudi le 28 octobre, 2021. On y apprenais entre autres que 

  • la lettre du médecin signataire, toujours actif sur le terrain, a été écrite avec des confrères et révisée plusieurs fois avant sa soumission à La Presse.


VOICI la lettre éclairante sur ce qui se passe dans une région du Québec

[Début de la lettre]

RENÉ LAVIGUEURMÉDECIN, SAINTE-ANNE-DES-MONTS

«Médecin de famille, je suis doublement vacciné et mon témoignage apporte l’éclairage d’un homme de terrain aux prises avec les dilemmes quotidiens particuliers qu’occasionne la crise du coronavirus.

«La pensée unique et la peur qu’ont entraînées 19 mois de campagne médiatique ont divisé cruellement et inutilement les familles, les professionnels, bref la société tout entière. Cette pensée interdit toute discussion et tout débat par peur de représailles.

UN CODE DE DÉONTOLOGIE MIS À MAL

«Le médecin de famille est soumis à un code de déontologie qui comprend des articles visant la protection du public et le respect du droit des patients à un consentement libre et éclairé.

«Je suis, en tant que médecin de famille, placé devant des choix déchirants lorsque l’application de ces principes entre en conflit avec la gestion politique de cette pandémie, gestion préconisée par les autorités de santé publique et soutenue par le Collège des médecins du Québec. Toute ma pratique s’est articulée autour d’un souci constant : celui de ne pas nuire. Mon allégeance première est envers la mère, l’enfant et toute personne qui sollicite mon aide. On me consulte donc au sujet de la vaccination des enfants, de la sécurité du vaccin, de l’obligation vaccinale, des complications du vaccin.

«Je constate au quotidien, tout comme les psychologues et les travailleurs sociaux, les dommages non seulement de la COVID-19, mais aussi de sa gestion.

«Pour respecter le droit de mes patients à un consentement éclairé, voici ce que je crois devoir leur dire concernant la vaccination des enfants :

«Acceptez-vous que votre enfant reçoive le vaccin à ARN messager ? Ce vaccin est différent de tous les vaccins que vous connaissez. Ce vaccin comporte une balance risques/bénéfices incertaine chez les enfants en bonne santé et sans facteurs de risque. Le fabricant ignore les effets à long terme de son produit. L’Organisation mondiale de la santé ne le recommande pas et il n’est pas encore approuvé par la Food and Drug Administration aux États-Unis, ni par Santé Canada pour les 5 à 11 ans. Il est offert aux enfants dans l’espoir de contribuer à limiter la contamination des personnes âgées et/ou vulnérables par la COVID-19. Acceptez-vous que votre enfant reçoive ce vaccin ? »

«On aurait pu ajouter que la mortalité chez les enfants âgés de 0 à 9 ans est nulle depuis le début de la pandémie (données de l’INSPQ). La balance risques/bénéfices est donc a priori difficile à défendre pour cette tranche d’âge, tout comme chez les jeunes en général.

«J’aimerais bien pouvoir dire cela librement, sans risque de représailles. Le médecin, comme les parents, devrait pouvoir défendre le « principe de précaution » et la prudence en ce qui concerne la santé des enfants.

«Les vaccinés, tout comme les non-vaccinés, peuvent héberger et transmettre le virus. Les enfants sont de mauvais propagateurs du virus dans la communauté. Alors, comment justifier la vaccination imposée aux enfants ?

«Il y a un grave problème éthique à forcer la vaccination chez des enfants sains dans le but hypothétique d’en faire profiter un autre segment de la population (les personnes âgées avec comorbidités). Les enfants n’ont-ils pas déjà assez souffert ? Pourquoi risquer de compromettre davantage leur santé ?

«Les parents ont eu le choix douloureux de signer l’autorisation vaccinale de leurs enfants ou de les condamner à l’exclusion et au rejet. C’est donc une vaccination obligatoire, mais qui ne s’affiche pas comme telle. Or, notre code de déontologie impose un « consentement libre » pour toute décision, c’est-à-dire sans pression, menace ou contrainte. Comment puis-je conseiller le parent inquiet qui ne veut pas que son enfant soit marginalisé ? Que gagne-t-on avec cette vaccination ? Pourquoi punir l’enfant non vacciné ?

UN VACCIN QUI ÉCHAPPE À TOUTE SURVEILLANCE

«Je traite des adultes avec des séquelles graves à la suite de l’administration de ce vaccin. Pour une population de 11 300 habitants, j’ai déjà signalé à la Santé publique deux décès, des cas d’ACV, de paralysie de Bell, de saignements menstruels, de palpitations et de fatigue extrême consécutifs à l’administration des vaccins.

«Des milliers de morts, des dizaines de milliers d’effets secondaires graves dus au vaccin sont rapportés à travers le monde. Pourquoi ignorer, au Québec, les risques associés à ces vaccins ? Si le fabricant n’est responsable de rien, s’il a pu négocier une immunité judiciaire, alors qui sera responsable des dommages bien réels de ces vaccins ?


[Fin de la lettre]


samedi 23 octobre 2021

Parents et enfants devant un État abuseur

Santé et approche de gestion de crise sanitaire : Des vécus d’enfants et de parents 

(dernière modification le 3 novembre 2021)
Le passé récent de l'approche de gestion de crise qui sévit depuis les premiers mois de 2020 est-il garant de l’avenir? Nous approchons déjà les deux ans de suspension de plusieurs droits essentiels. Tout ce qui arrive avec la manifestation accélérée de l'autoritarisme latent (préparé de loin) est déjà arrivé dans le passé de l'humanité, comme des répétitions avant la grande présentation. Mais nous avons collectivement oublié. Même des enfants, pourtant, constatent que quelque chose ne va plus, après des années de calme relatif. La crise sanitaire est-elle le but ou le moyen d'accélérer quelque chose qui était déjà planifié?


Gabriel (6 ans), voudrait jouer avec des amis librement «comme dans les films»

Gabriel, 6 ans, est en première année scolaire. Ce matin du 15 mars 2021, avant de partir pour l’école, il a demandé : « Papa, est-ce que tu trouves que la vie est belle ? Est-ce que la vie était belle avant ? » (1). Gabriel aimerait jouer avec ses amis «comme dans les films», dit-il en ses propres termes. Cette détresse, son père, Frédérik l’a partagée dans une vidéo. Le partage est devenu viral. Dans les réponses-commentaires, plusieurs y ont reconnu la détresse de multiples autres enfants qui resteront ceux-là anonymes.

Le droit fondamental de respirer : les enfants supplient derrière leur masque sanitaire

Y a-t-il un droit plus fondamental que respirer? Au service de garde (année scolaire 2020-2021), en épisodes du port imposé du masque au primaire, dans une école de la ville de Québec, les enfants implorent leur éducatrice, les fins de journées. C'est un témoignage direct, car je connais cette personne. Ils sont exaspérés de l’entrave à la respiration de la journée passée, haletants, derrière leur masque. Plus ils suivent les règles de l'État québécois, plus leur rapport à l'école est devenu quelque chose de traumatisant. Les plus vrais sont les plus atteints. N'est-ce pas étrange?

Il n'y a pas de véritable consentement éclairé, constate ce papa, en contexte de la rentrée de l'année scolaire 2021-2021

Fin septembre 2021, un père à Québec écrit à la directrice de l’école, le lendemain de la soirée annuelle d’information aux parents, en lien avec la récente rentrée scolaire. Il se demande si les enfants vont pouvoir faire leur voyage scolaire, s’ils ne sont pas vaccinés : «J’ai l’impression de ne pas avoir un choix réel présentement...», écrit-il, face à la suspension d'activités parascolaires conditionnelles à la vaccination. Il craint même que le Gouvernement accède aux classes sans préavis pour forcer les tests de tous les enfants, ou pourquoi pas sur la même base, vacciner tous les jeunes d’une classe. A-t-il tort ou raison? Il n’est pas juriste. Ce qu’il faut surtout retenir ici, c’est que la confiance en la bienveillance de l’État s’effrite

Nelly (14 ans) n'a plus de vie digne de ce nom, à cause des mesures imposées contre l'intelligence et les choix personnels

Nelly A. lance un cri du cœur dans une vidéo partagée le 11 juin 2021. Elle soulève le point sur l’imposition de la vaccination, laquelle ne fait que lui donner le dégoût envers sa vie d’ado :

«C’est compliqué […] J’ai tellement des mauvaises notes cette année, parce que je ne suis pas capable de me concentrer avec le masque [...] Mes notes ont beaucoup chuté cette année. Ça a été un méchant coup à prendre [...] Quand j’essaie de donner mon avis à moi […] il est rejeté [...] quasiment avec dégoût [...] C’est fou à quel point il y a eu de moments dans l’année où j’ai voulu laisser tomber. C’est pas une vie ça. J’veux pas vivre comme ça. J’aimerais avoir une vie normale d’ado […] Parce que là j’ai pu d’vie, j’ai pu d’vie, j’ai pu d’vie [...] En plus avec le passeport vaccinal qui s’en vient j’en aurai encore moins. Moi les mesures, ça me tue.» (2)


Que nous inspirent ces quatre témoignages sur le rôle de l’école, le développement des jeunes et leur relation à l’État?

À l’école...

À l’école, les enfants et adolescents apprennent des mots. Les mots ont un pouvoir. Ils peuvent créer et unir et ils peuvent déconstruire et diviser. Ils peuvent remplir d’aspirations motivatrices et ils peuvent tromper et démotiver. Un bon gouvernement ne doit pas abuser les mots. Avant la COVID, une «bulle», c’était joli. Avec les règles, une bulle, ça s’est mis à rimer avec une cellule (de prison). Avant la COVID, «Bien aller», ça voulait dire... Bien aller. Et les merveilles de la vie étaient ces choses qui fascinent l’esprit humain, comme la vue d’un arc-en-ciel. Mais comme dans le rêve d’Alice au Pays des «merveilles», l’arc-en-ciel COVID a semblé rimer avec mauvais rêve, incohérences, inversions et chaos. 

À l’école, on veut initier les enfants à la vérité. Les chiffres et les mathématiques en sont une facette. Les sciences en sont une quête. Puisque toute vraie science tend vers la vérité, un bon gouvernement ne doit pas abuser les chiffres.

À l’école, les enfants intériorisent leur disposition personnelle au degré de confiance qui les animera toute leur vie. Un bon gouvernement ne doit pas détruire leur confiance dans la vie, ni dans son prochain. Que faire quand un grand nombre d’enfants ont l’impression que leadership rime avec règles et bonheur interdit? On y apprend aussi que son gouvernement est bienveillant, comme un berger qui protège des loups. Ou du moins, il devait l’être. Mais que faire quand de moins en moins de parents y croient, surtout quand se pointe même la menace imminente de la perte du statut vaccinal (déjà un abus dans le contexte réel actuel), avec un «abonnement» qui sera imposé, aux mises à jour des vaccins résultant en une ségrégation sociale basée sur le sanitaire? 

Les bons bergers d’un peuple le protègent et le rassurent dans les temps difficiles. Ils assurent la stabilité et l’abri dans la tempête. Ils n’abusent pas de l’autorité. Ils ne demandent que ce qui est nécessaire. Cela  s’applique aussi pour la protection de l’intégrité du corps de chacun. Chaque corps est un temple, inviolable. Il n’appartient ni à l’école, ni à l’État.

Le consentement éclairé redéfini

Les témoignages du parent qui écrit à la directrice d'école et de Nelly, l'adolescente qui se retrouve sans qualité de vie sociale, soulèvent le point du consentement éclairé. Comment peut-il y avoir consentement éclairé, quand il n’y a plus de choix face à un traitement préventif et expérimental? Et comment pourrait-il être éclairé, si l'information fournie est du niveau de l'infopublicité, ce qui appliqué à l'État devient de la propagande sanitaire?

Histoire : le Bloc 10, lieu d'expérimentation « médicale » du national-socialisme à Auschwitz. Source: commons.wikimedia.org,  Fichier: Auschwitz Mengele Block 10.jpg

Face à un autoritarisme montant dirigé par une élite centralisatrice, ou quand les chefs d'états ne sont plus des patriotes

UNE RÉFLEXION INÉVITABLE : les personnes atteintes par une mesure font inévitablement face à un réveil brutal. Les effets destructeurs (planifiés?) prennent diverses formes comme 

  • la perte de son entreprise ou de son travail, 
  • la perte de la socialisation, 
  • l'atteinte à sa propre santé mentale ou à celle de ses enfants,
  • les dépenses et l'endettement démesurés qui seront suivis d'une inflation qui obligera de choisir entre 2 besoins,
  • etc. 
Pour éviter un back lash, l'État  présente les indices d'y aller par groupes ciblés, et surtout, pas sur tous les fronts en même temps, pour affermir son autoritarisme. Les populations des anciennes dictatures de l'Europe de l'Est démantelées il y a à peine 30 ans et ceux de leurs survivants ressortissants venus s'installés en occident le voient bien et ne veulent surtout pas revivre sous un tel système. Soudain, les chefs des ex-grandes démocraties ne leur semblent plus bienveillants. 

La question de la légitimité: l'incontournable question

Que je sois enfant, adolescent ou adulte, quelle est ma relation personnelle à l'État ou au Gouvernement? Déjà, si les chartes des droits, lesquelles sont ces lois au-dessus des lois, sont suspendues ou tordues par le politique, on a un bon indice. Même chose quand les tribunaux et les débats politiques et scientifiques sont suspendus. Ou quand les sommités mondiales d'hier deviennent les rejetés d'aujourd'hui, remplacés par des fonctionnaires no name ou des mercenaires dits «scientifiques». Nous ne sommes peut-être pas de grands scientifiques, mais notre couple a choisi de suivre les vrais. Pas ceux que les états ont créé de toute pièce pour un agenda politique accéléré.

Toute la question de la légitimité de l'autorité est impliquée dans une situation qui s'étend mondialement, et en fonction des dates, tel un déversement d'un polluant mortel dans une mer aux eaux claires. La question de la bonne et de la mauvaise gouvernance divise entre autres, les familles, les travailleurs et dirigeants syndicaux et politiques, les entreprises, les organismes, les membres des églises, l'OMS, etc. 

La légitimité des contrôles : une question pas si compliquée au fond, quand on fait cesser le bruit ambiant (distractions) quelques instants chaque jour, pour réfléchir sur le présent et l'avenir

On peut certainement utiliser un cas possible pour l'illustrer. Imaginez ceci. À l'école, un enfant d'âge mineur est sous l'autorité de l'enseignant et d'autres intervenants qui en ont la garde en fonction des heures de la journée. Imaginons qu'un enfant arrive un jour à la maison et raconte à ses parents, qu'un enseignant lui fait des attouchements sexuels. Est-ce que les parents répondent: «Ne parle pas de cela. L'enseignant représente l'autorité et il faut te soumettre à ce qu'il te demande. Il ne peut mal agir, il est l'autorité». Cela ne saurait être une réponse appropriée. Effectivement, l'enseignant, tout comme le parent, ne peut pas outrepasser la juste autorité, celle, légitime, qui est pour le bien. Cette anecdote illustre ceci : des personnes dignes et des personnes indignes de la fonction se trouvent en position d'autorité. Et il y a donc aussi des autorités légitimes et illégitimes à la tête des états; agissant au su de tous ou dans l'ombre. Quand les lois sur les libertés fondamentales (comme respirer ou avoir une vie sociale ou penser librement) sont violées à répétition par des décrets arbitraires, et que les données sont abusées ou cachées ou non mesurées, il est permis de se demander à qui nous avons affaire.

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1.    «Il faut vraiment que les choses changent, ça urge!» -- https://www.facebook.com/frederik.goulet/videos/10159350229889673/?t=110

2.     Témoignage de Nelly A., 14 ans, 11 juin 2021.   -- https://www.youtube.com/watch?v=xj5f2HEiUA0


mardi 20 juillet 2021

La vraie Justice n'est pas de la désobéissance civile

Les situations de crises nous forcent à nous interroger; conséquence normale découlant d'une perte ou de la souffrance. Des questions peuvent  par exemple se frayer un chemin, sur le principe d'autorité.

(dernière modification le 29 juillet 2021)

Durant mes vacances, nous avons eu un échange intense mais respectueux avec un proche. Un vrai débat, sur des abus gouvernementaux, mais sans amertume du lendemain, sans attaque personnelle. 

Selon la compréhension finale de ce proche, nous faisions la promotion de désobéissance civile. Mais pourtant, nous obéissons aux règles, par respect... Cette perception simplifiée de sa part m'a laissé perplexe. Conclusion : les principes que nous défendions et défendons, mon épouse et moi, ne sont pas le concept de la désobéissance ou un militantisme pour une quelconque idéologie, mais la Justice qui est au-dessus des cultures. Imaginez que les autorités civiles (vos gouvernements) vous interdisaient de nourrir des gens gravement malades qui ont faim et sont dans l'incapacité de travailler. Obéiriez-vous à une telle directive? Pourquoi?

Cela nous amène à la question suivante.

Qu'est-ce que l'autorité?

Mais qu'est-ce que l'autorité? Et qu'est-ce que la désobéissance? Force est de constater qu'il y a des autorités légitimes et des autorités illégitimes. LIRE LA SUITE :

jeudi 8 juillet 2021

Janice McAfee dénonce la mort suspecte de John McAfee en prison

Janice McAfee (Janice Dyson) est la veuve du célèbre entrepreneur et développeur de l'antivirus McAfee. Elle a fait une première déclaration publique depuis la mort récente de son mari, John David McAfee, dans lequel elle dénonce un suicide douteux survenu le 23 juin 2021 alors qu'elle lui avait parlé et qu'il n'avait pas abandonné ...



Janice McAfee écrit d'entrée de jeu, le 6 juillet 2021:

«Je ne peux pas décrire la douleur que je ressens. Celle que ressentent tous ceux qui aimaient vraiment John. J'ai lutté pour écrire ce tweet depuis l'annonce de la mort de John. Je ne peux toujours pas croire qu'il est vraiment parti. Tu me manques et je t'aimerai toujours, John David.»


Elle dénonce dans un texte joint sous forme de scan, que la table était mise pour les médias, comme en prévision de la mort de John McAfee, dans une cellule de prison de Barcelone (23 juin 2021), en Espagne et ce, bien avant qu'elle-même ou les avocats soient informés. De plus, elle et les avocats n'ont selon sa déclaration, jamais été informés au départ, d'une note de suicide prétendument trouvée dans sa poche, avant que cette information apparaissent plus tard dans les médias. 


Les dernières années

L'entrepreneur geek informatique s'était tourné vers les cryptomonnaies et se présentait en tant que patriote américain. Il était clair dans ses prises de positions contre les fraudes politiques. Il a été arrêté en Espagne, en octobre 2020, sous mandat d'arrêt américain, pour des taxes (impôts et taxes) présumés non payées. La plus grande partie des prétentions visaient des influences et revenus de cryptomonnaies après que la majorité des chefs d'accusation aient été abandonnés (discrètement pour les médias). Il était convaincu de servir de cas type et de bouc émissaire, dans la sphère des monnaies parallèles, car d'autres, faisant les mêmes activités ne sont pas inquiétés. 


En français, nous avons cette expression : «Qui veut tuer son chien dit qu'il a la rage»

McAfee a été arrêté quelques jours avant les élections de 2020 où plusieurs indices font penser à une fraude électorale dans la plupart des états-clés. Avait-il les mêmes ennemis que Donald Trump?


Dans une publication Twitter, le 6 juillet 2021, Janice Mc Afee a rompu le silence et déclaré par écrit :

«L'histoire du "suicide" de John était déjà préparée et présentée au public avant que moi ou ses avocats soyons informés de sa mort»


Concernant une prétendue note de suicide trouvée dans la poche de son mari, elle ajoute: 

«Et maintenant, il est opportunément rapporté qu'il y avait une "note de suicide" trouvée dans sa poche, quelque chose qui n'a pas été mentionné lorsque j'ai récupéré les affaires de John à la prison et un autre élément d'information que les médias ont, d'une manière ou d'une autre, obtenu avant moi-même et les avocats de John.»


Ci-dessous, des captures d'écran de la publication Twitter de Janice McAfee, ainsi que le message lui-même.

Suite de l'article :

jeudi 24 juin 2021

Le créateur de l'antivirus McAfee est-il mort à cause de ceci ?

Le créateur de l'Antivirus McAfee a dénoncé le Deep State en plusieurs occasions et en juillet 2020, dans une vidéo. Peu après arrêté en Espagne suite à des accusations d'évasion fiscale en lien avec des gains liés à la crypto-monnaie, il est trouvé mort dans une cellule de prison en 2021, avant son transfert au États-Unis... John McAfee a-t-il été tué à cause de ce qu'il savait et aurait pu dire en procès? (English follows).

John McAfee en juillet 2020, dénonce le Deep State; gouvernement parallèle et quasi-permanent des élites non élues et des élus corrompus ou blackmailed. Il a aussi remis en question la crise de santé publique mondiale, et expliqué en d'autres occasions comment des agents étrangers peuvent être embauchés à travers un processus d'entrevues.



FRANÇAIS

Le créateur de l'Antivirus McAfee a dénoncé le Deep State dans une vidéo en juillet 2020. Peu après arrêté en Espagne pour évasion fiscale, après des rumeurs de viol dans un documentaire de 2017 (histoire semblable à Julian Assange de Wikileaks et comme des accusations des médias contre Trump en 2016 et 2017), il est trouvé mort dans une cellule de prison en 2021... Il était sur le point d'être transféré aux États-Unis. John McAfee a-t-il été assassiné avant de pouvoir témoigner. Qu'aurait-il dit pour justifier d'éventuelles taxes (impôts) non payées sur des crypto-monnaies. Son sort ressemble à ceux de personnages qui avaient beaucoup d'informations, comme Jeffrey Epstein, Seth Rich (source Démocrate probable de Wikileaks pour la fuite des emails d'Hillary Clinton), et d'autres qui en savaient suffisamment sur ce pouvoir parallèle, mais pourtant évident, pour ceux qui veulent voir. 

Bien que l'homme était excentrique et louche, il reste que comme Epstein, il savait des choses sur qui fait partie du gouvernement parallèle. Epstein connaissaient plusieurs grandes personnalités compromises, corruptibles ou manipulables et même criminelles. McAfee, pour avoir été dans le domaine de l'antivirus informatique durant des années,  en savait sûrement beaucoup sur comment des éléments corrompus au sein des agences et du gouvernement (ex. via les logiciels d'impôts, les réseaux sociaux, les courriels, certains traducteurs ou correcteurs de textes, des clouds, etc.) infiltrent les équipements informatiques personnels et même les logiciels et les applications de communications, pour espionner la vie privée, pour pouvoir s'en servir par la suite en cas de besoin.


LIEN :  Le créateur de l'antivirus McAfee est-il mort à cause de ceci ?



ENGLISH

The creator of McAfee Antivirus denounced the Deep State in a video in July 2020. Shortly after arrested in Spain for tax evasion, after rumors of rape in a 2017 documentary (a story similar to Wikileaks' Julian Assange and like media accusations against Trump in 2016 and 2017), he was found dead in a jail cell in 2021... He was about to be transferred to the United States. Was John McAfee murdered before he could testify. What would he have said to justify possible unpaid taxes? His fate resembles those of people who had a lot of information, like Jeffrey Epstein, Seth Rich (Wikileaks' likely Democrat source for the Hillary Clinton email leak), and others who knew enough about this parallel, yet obvious, power for those who want to see. 

Although the man was eccentric and shady, it remains that like Epstein, he knew things about who is part of the parallel government. Epstein knew many of the major compromised, corruptible or manipulable and even criminal figures were. McAfee, having been in the computer antivirus business for years, surely knew a great deal about how corrupt elements of agencies and government (e.g., via tax software, social networks, email, certain translators or proofreaders, clouds, etc.) infiltrate personal computer equipment and even communications software and applications, to spy on private lives for later use in times of need.

jeudi 10 juin 2021

Pandémies : Médecins et autonomie professionnelle

L'heure de se réveiller pour les médecins du monde aussi. Tôt ou tard, la population devra régler ses comptes avec les médecins.

Finalement, le «Dr BEAN» de la comédie (cinéma), serait probablement plus utile, avec des diagnostics assistés en intelligence artificielle, que des milliers de médecins sans droit de parole...



[NOTE Le corps de cet article a été rédigé le 29 mai et retouché en été 2020, mais non diffusé jusqu'ici. Je voulais le modifier, puis l'ai oublié dans mes brouillons. Bien qu'il représente une connaissance partielle de la crise COVID, je le publie ici sans modification pour témoigner d'une perception dans les premiers mois de la crise qui a fait taire les médecins et spécialistes dissidents et très nombreux. Cet crise est une véritable OMERTA.] 

Quand l'erreur devient virale et mondiale


La mise en réseau de l'erreur est une vérité dans tous les types de réseau, si l'on délègue son droit de conscience, de jugement critique et de diagnostic à une autorité externe. Ce qui étonnera, lors de futures analyses de la crise, c'est la facilité avec laquelle les médecins du Québec se seront laissés brider par une entité d'adhésion volontaire. Une telle soumission a de quoi faire craindre pour de futures crises de contagion ou médicales.

C'est un peu ce qui est arrivé avec l'OMS dans l'histoire actuelle de la pandémie de coronavirus au tournant de 2019-2020. Je pose simplement une question : se peut-il que les médecins (comités) en poste de décision, voulant se protéger de l'erreur, aient délégué leur jugement à un organisme qui s'est avéré toujours un coup en retard sur la réalité du terrain.

Quand la vérité est en réseau hiérarchique [ex. OMS, système mondial], l'erreur l'est aussi


Pour prendre une analogie, une particularité des réseaux (informatiques, professionnels, spécialités universitaires, etc.), c'est que si les organisation hiérarchiques offrent l'avantage de mettre ensemble les bases de connaissances et des expériences et compétences, inversement l'erreur y devient aussi transmise en réseau. C'est ce qu'on a vu dans la crise actuelle de pandémie à travers laquelle l'OMS a essayé de diriger tout le monde médical de la Terre.

En avril [2020], un contact twitter m'a demandé comment on allait s'en sortir. J'ai répondu que pour le

samedi 8 mai 2021

«La crise sanitaire est une crise spirituelle» (Jérôme Blanchet-Gravel avril 2021) - Extrait commenté

Une réflexion intéressante publiée en avril 2021, sur le site catholique le-verbe (.com) : «La crise sanitaire est une crise spirituelle» (1). 

La crise sanitaire et son traitement révèle un approche de l'esprit, proche du religieux. Y apparaît entre autres, le refus de vieillir et de mourir. La solution passe par une forme de sacrifices et de culpabilité. Ce sont là quelques éléments de la thèse de l'essayiste.

Extrait de l'article de l'essayiste Jérôme Blanchet-Gravel, publié sur le-verbe (.com) en avril 2021

«Autant le nouvel ordre sanitaire fait appel à une certaine religiosité, autant est-il privé de la sagesse capable de reconnaitre la vulnérabilité de l’Homme. Paradoxalement, la crise nous a rappelé à quel point nous étions fragiles, mais au lieu de tous en prendre acte et de composer avec l’incertitude, certains privilégiés se réfugient dans un confort individuel hostile à la vie collective. 

Au Québec, en particulier, nous cherchons encore des boucs émissaires pour nous faire croire que nous avons encore le plein contrôle sur la situation et sur les courbes. Quand ce ne sont pas les voyageurs qui paient le prix de notre anxiété, ce sont de jeunes festifs désireux d’avoir une vie sociale le temps d’une soirée. Nous vivons dans l’illusion du contrôle absolu, comme si nous pouvions contrôler les moindres faits et gestes de tous les gens qui composent la population.»

Source : https://le-verbe.com/idees/la-crise-sanitaire-est-une-crise-spirituelle/


Réflexion personnelle sur la crise sanitaire débutée en 2020

Bien que d'accord avec l'auteur, ce dernier semble espérer ou vouloir croire que l'État veut le bien et le prolongement de la vie de tous ses sujets. La crise maintenue par un acharnement sanitaire, est elle plutôt le centre ou le moyen d'une utopie? Il en effleure la possibilité dans l'entrevue diffusée le 8 mai 2021 à l'émission radio catholique québécoise «On n'est pas du monde». 

La crise profite-t-elle à certaines élites?

Il me semble que ce refus de vieillir et de mourir, ou du moins cette quête anxieuse consistant à prolonger la sécurité et le maintien dans le connu (phobie de l'inconnu post-mortem des élites de 70 ans et plus sacrifiant la compétition des classes inférieures du même âge), est plutôt celui d'une élite à débusquer, avec sa cour composée (ou décomposée) de politiques, journalistes, scientifiques défroqués de la science, magistrats et autres béni-oui-oui. Et les milliards ($) extirpés du dur labeur et de l'épargne des peuples, engouffrés dans l'actuelle crise, cette débauche de dollars, alimente presque certainement de multiples fraudes et des manœuvres économiques centralisées; une sorte de trésor de guerre. Car il ne faut pas se le cacher, le discours et les tactiques ont été grandement synchronisés entre plusieurs pays, pour justifier le recul de la liberté d'expression et du débat scientifique et politique. Si le virus perd éventuellement sa couronne en raison de la dissidence croissante, il ne faudra pas s'étonner de la sortie des tombeaux d'autres mommies. Celles-ci pourraient ressembler au détournement de la cause environnementale, mis partiellement sur pause depuis 2020 ou à de nouvelles conséquences des vaccins, lesquelles seraient déguisées en une nouvelle vague (ex. maladie auto-immune avec fragments de codes du virus, reçus aux injections).

Le tronc d'un arbre mourant est couvert d'un nombre impressionnant de champignons qui s'en nourrissent. L'image nous rappelle la finitude de la vie sur la Terre. Et de la mort qui peut profiter à d'autres. Crédits : Gilles B. (Photo prise dans la région de Québec, 11 octobre 2020).

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1.     Auteur : Jérôme Blanchet-Gravel (20 avril 2021)

"Jérôme est essayiste, journaliste et chroniqueur. Spécialiste des idéologies, il est l'auteur de quelques essais et collabore à plusieurs médias, au Québec et en France. Son dernier livre, la Face cachée du multiculturalisme, a été publié en 2018 aux Éditions du Cerf".

jeudi 6 mai 2021

Êtes-vous sous hypnose?

Pourquoi tant de gens se font-ils vacciner ?  Je ne comprends pas. C'est le truc cool du jour comme le défi seau de glace il y a quelques années mais ici, pour supporter les grandes pharmaceutiques multimilliardaires... As-tu eu ton vaccin? Les gens sont-ils sous hypnose collective?

Vous avez une injection qui ne vous protège pas d'attraper la maladie, et ne vous dispense pas de suivre des règles ultra-strictes, alors qu'au Québec, il n'y a pas de surmortalité, par rapport à 2020. On vous dit dans les nouvelles qu'un vaccin est efficace à 100% pour les adolescents de 12 à 15 ans, alors que ce groupe d'âge a un taux de survie de 100%. Un vaccin efficace à 100% ça n'existe pas! Vos journalistes anxieux de continuer de recevoir un salaire subventionné par les subsides gouvernementaux vous bourrent et vous aimez cela. Avez-vous oublié vos cours de maths, de sciences et de statistiques. Même en Sciences humaines, ils apprennent des notions de statistiques. 

Ne jouez pas à la roulette r..., chinoise, avec la vie de vos enfants. On semble préparer la vaccination forcée des enfants à la rentrée scolaire, laquelle coïncidera (oh quel hazard!) avec une nouvelle loi retirant la primauté parentale à des familles normales au nom de la science. Et vous magasinez des fumoirs à viande, pendant que toutes ces informations vous passent sous le nez. Réveillez-vous, on vous enfume.

Vous êtes dociles, comme si un grand nombre de Québécois étaient sous antidépresseurs... Mais au moins je comprends une chose : pendant que je galérais à essayer de comprendre les notions de sciences et théorèmes de mathématiques, plusieurs apprenaient les formules par cœur, sans essayer de les comprendre. Au collégial, pendant que je me tapais un travail de fin d'année d'un cours complémentaire  en programmation informatique, les autres étudiants de ma classe faisaient des copies du programme écrit par le premier de classe et allaient jouer au disque volant. Sauf un ou deux autres, dont celui qui a copié mon code à moi. Une diplômé du milieu médicale, une professionnelle, m'a demandé il y a quelques années, ce que veut dire le c, dans E=mc exposant 2. 

Je n'ai pas tout compris et je devais travailler fort dans les cours de sciences, mais j'en sais assez pour savoir qu'on nous ment. Et je sais que des spécialistes de renommée mondiale qui ont dirigé des équipes médicales ou des centres de recherches, sont maintenant ridiculisés et pris pour des dérangés, par des fonctionnaires de ville et des journalistes de médias sauvés de la faillite par l'État. Nous savons que les médecins du Québec sont bâillonnés. Nous savons que cette maladie virale est une des rares maladies «mortelles», pour lesquelles on n'essaie pas de vous traiter, avant que vous ayez développé des complications (ex. infection pulmonaire). On vous dit que ça coûterait 3,000 dollars pour traiter une personne, mais les vrais spécialistes le font pour peu de frais en médicaments, en secret, et il faut le faire dès le diagnostic. Nous savons aussi que la grippe ne peut pas avoir disparu, et que les statistiques de décès sont récupérées ailleurs. Bon, je vais arrêter là.

https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-03-31/pfizer-biontech/le-vaccin-efficace-a-100-chez-les-12-15-ans.php




dimanche 21 mars 2021

Esclavagisme ancestral en Afrique

Sur Google, en mars 2021, je cherchais de l'information sur l'esclavagisme ancestral, entre tribus africaines, précédant l'arrivée des Européens. Rien, sauf ladite collaboration. En passant par Brave, j'ai immédiatement trouvé des informations sur ce que je cherchais. Il y a donc 2 réalités:

1) Google fait un travail idéologique extrêmement efficace contre l'Histoire, et donc très probablement aussi contre les autres vérités (en actualités, politique, médias sociaux, science, santé, ...), (1).

2) Comme il est dit dans la courte vidéo, cette réalité historique n'est pas explorée. Et ce ne sont pas des Européens continentaux, des Britanniques ou des Nord-Américains qui peuvent communiquer ce volet de l'Histoire, dans le contexte exacerbé actuel.


Ibrahima Thioub, Historien et chercheur à l'Universite de Dakar


L’esclavagisme était une coutume ancestrale pratiquée par les tribus africaines avant l’arrivée des marchands étrangers d’esclaves

Comme le dit l'historien et chercheur Sénégalais, Ibrahima Thioub, la traite dans le développement historique transatlantique et oriental qu'elle a connue, n'a pu se mettre en place aussi rapidement et efficacement avec peu de ressources (marins, marchands), qu'avec ce qui était déjà préexistant sur le continent africain (rivalités tribales, violences, enlèvements), avant l'arrivée des Blancs (2). Lorsqu'il l'avait exposé des années plus tôt dans une conférence, l'historien croyait dire des banalités évidentes. Mais ses propos avaient soulevé un tollé de protestations émotives, sans réponses scientifiques (recherche) à l'appui. Il s'était alors dit «Mais où sont les historiens ?!».

vidéo : 

https://youtu.be/xqjyEY5n150


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1.     Comme lorsqu'un employé me demandait de retirer des images qui parlaient de la persécution de la chrétienté en Inde (ex. Province d'Orissa) si je voulais être accepté pour monétiser YaPasDePRESSE.blogspot.com (période de probation). Pourtant, c'était un fait connue que la persécution dans certaines provinces de l'Inde, s'intensifie à chaque élection nationale. Avant mon premier abonnement internet, j'en avais déjà entendu parler via la radio ondes courtes dans la décennie 1990. Mais curieusement, mon interlocuteur semblait ignorer que chaque montant d'argent gagné dès mes premiers jours d'essais et de probation de la monétisation, disparaissait les jours suivants. J'ai alors compris que ces petits prélèvements passaient probablement inaperçus pour des gros comptes bien établis, mais qu'appliqués à des millions d'abonnés monétisés, il y avait forcément une forme de détournement rentable, sinon par la plateforme, au moins par des employés pour eux-mêmes, ou pour des causes. J'ai alors abandonné l'idée de monétiser en considérant l'ingérance sur mon contenu critique, constatant que la majorité de l'argent de la sponsorisation de mes premiers gains (et je ne trichais pas sur les clics) était soustraite et redirigée de manière mystérieuse.

2.     Et on verrait la même chose (guerres tribales, prise de territoires aux tribus précédentes, enlèvements, etc.), avec une histoire honnête des autochtones des Amériques, avant l'arrivée des Européens. Dinesh D'Souza aborde la question dans son film documentaire tiré du livre du même titre : America: Imagine A World without Her.

mardi 9 mars 2021

Conservateurs en exil ? On n'en est pas si loin

Les conservateurs traditionnels (trads) sont souvent placés sur la défensive par les libéraux (le libéralisme), les libertariens, et d'autres adversaires politiques. Au point, qu'au Canada, un conservateur trad ne peut plus aspirer à devenir chef du Parti Conservateur du Canada, malgré que cette exclusion ne soit pas fondée dans la charte de parti.

Soit un filtre est appliqué et sa candidature est rejetée, même s'il remplit les critères officiels (ex. Richard Décarie). Ou alors il est torpillé par des manœuvres douteuses, après une course à la chefferie perdue (ex. Brad Trost, Derek Sloan). Un sort identique attend les candidats nationalistes et populistes (Maxime Bernier). Inversement, des candidats qui se présentent sous les couleurs des conservateurs trads se révèlent en fait libertariens économiques ou adhérents du libéralisme moral, une fois en poste.

Les politiques justes sont indissociables des valeurs morales

Pourtant, la politique est indissociable des valeurs morales. Voici ce qui peut finir par être toléré dans une société où la majorité (ou inversement une élite) décide du bien et du mal. Par exemple, voudriez-vous que la pédophilie devienne tolérée en tant qu'orientation sexuelle? Ou encore, voudriez-vous que les drogues deviennent légales? Que pensez-vous de l'abaissement du consentement sexuel à 9 ans? Avez-vous réalisé que le droit à la vie privée, la fin de la propriété privée ou la censure de la liberté d'expression relèvent en fait de positions morales, avant d'être transposées en politique? Tout cela vous paraît-il exagéré? Pourtant c'est dans ce genre de situations que mène l'approche relativiste voulant nous faire croire que la science et la connaissance soient moralement justes.

Le relativisme moral engendre exactement ce qu'il prétend défendre

C'est vers une logique extrêmement confuse, que nous mène le relativisme. Trop souvent, on oublie que la morale libérale ou libertarienne, lorsqu'elle n'apparaît pas dans un premier temps si différente des conservateurs sociaux, provient du fait de la christianisation des démocraties occidentales durant des générations. Les libertariens, libéraux, socialistes, etc. ont hérité des valeurs des générations précédentes. Sans cet héritage (ex. avec la déchristianisation actuelle avancée des institutions), on se donne deux générations et l'on se retrouve en plein relativisme morale (situation actuelle de la perte du consensus moral). Si ces mêmes personnes avaient grandi dans une culture aux valeurs différentes, elles auraient un tout autre point de vue, relativiste ou autre, selon le cas. Dans ces cas, c'est souvent l'État se fait Dieu, comme depuis la crise politique actuelle, où l'État montre ses muscles, contrôle, opprime, menace économiquement, intimide (menace de donner la mort sociale), etc.

Voici un texte intéressant qui positionnait le conservatisme par rapport à quelques autres approches politiques. Il avait été publié dans la revue québécoise Égards, à l'hiver 2009-2010.

À LIRE :

Titre : «Quelle est la vision qui anime les conservateurs traditionnels (trads) ?»

Auteur : Richard Bastien - no 26 de la revue Égards, hiver 2009-2010

https://drive.google.com/file/d/1TejLWLvmmJc9x-Dv6RcAaUc1Yv1FW8ij/view

dimanche 7 mars 2021

Politiques démasqués pour qui veut bien voir

Au Québec et en plusieurs autres États ou centres urbains en 2020-2021, le système gouvernemental, gestionnaire de la santé et des droits, se contredit, dévoilant ainsi que les actions politiques calculées, sont sans lien avec une soi-disant compassion des États et des politiques (les élus ou les élites politisées au-delà de la partisannerie mais plutôt idéologiquement).

Cela explique la fin des oppositions avec l'arrivée de la COVID, tellement attendue. Par exemple, pourquoi les sans abris (sdf) sont-ils dans la rue en plein hiver glacial québécois, très souvent avec des problèmes de santé mentale ou de toxicomanie (drogues)? Pourquoi ne les place-t-on pas, par la contrainte préventive, en institution pour les protéger contre eux-mêmes et «sauver des vies» comme on dit pour la COVID ? On dit que c'est à cause des chartes et des libertés individuelles. Bref, tu as le droit de crever déconnecté de la réalité, drogué, et au froid...

Mais inversement, on place des personnes en bonne santé en quarantaine, on leur impose la distanciation sociale, on les empêche de se voir, on les prive de leur droit de circuler et voyager librement et les tient en détention dans des hôtels à cette fin à leur retour, malgré des tests et des vaccins. On force l'isolement des personnes et leur impose les couvre-feux, sans justification. On ferme des entreprises arbitrairement et on tue les économies locales. On fait cesser les sports. On force des enfants à porter des masques durant des heures pour une maladie qui ne les fait pas mourir, afin de sauver des aînés qu'ils n'ont pas le droit de voir; ces mêmes masques qui nuisent à leur développement et à leur santé mentale ou à leur santé (contamination respiratoire par des bactéries), tout en leur inculquant une perception traumatisante de l'expérience de l'apprentissage et des relations avec le monde adulte extérieur et le monde réel. On ne traite pas les malades avant qu'ils soient en détresse respiratoire... On interdit aux médecins de prendre position contre les règles gouvernementales illogiques et non scientifiques. On suit, ou pas, au gré des politiques, des règles envoyées depuis l'autre bout du monde (OMS)...

Mais là, avec l'actuel coronavirus, les contraintes sont pratiques courantes et les chartes et les libertés individuelles n'ont plus d'importance; exit la compassion de l'État et des politiques qui survivent aux élections, peu importe les partis au pouvoir. Les partis d'opposition sont couchés. C'est parce que la cause est ailleurs que dans la compassion; ailleurs que dans la préoccupation à «sauver des vies». Réfléchissez là-dessus.

mardi 12 janvier 2021

Mike Pompeo avertit Voice Of America de la dérive de l'information - Extrait (11 JAN 2021)

Le Secrétaire d'État américain, Mike Pompeo, a livré une allocution et participé à une conversation, en présence de cadres et employés de Voice Of America, un média non partisan du Gouvernement américain, en après-midi, lundi le 11 janvier 2021. M. Pompeo y a lui-même œuvré en carrière et est respecté à la fois des Républicains et des Démocrates. Il a mentionné que des problèmes importants sont en voie de redressement pour ce média du Gouvernement qui s'est éloigné de son mandat. Notamment, durant des années, plusieurs employés y ont été embauchés sans vérification de sécurité.

TITRE : "Mike Pompeo, made an address and conversation at Voice Of America" (https://youtu.be/VM9dD8Pt9yI?t=3333)

NOTE : vidéo en fin d'article

Secrétaire d'État, Mike Pompeo, lors d'une allocution adressée au média gouvernemental, Voice Of America - VOA, le 11 janvier 2021.


  • Notamment, à une certaine période, beaucoup de personnel a été embauché sans vérification de sécurité et des membres du Parti Communiste Chinois, ont pu s'infiltrer et en influencer les politiques et diffusions.
  • Le Secrétaire Pompéo a aussi mentionné que Voice Of America doit redevenir non partisan, ce qui est inhérent à son mandat explicite et un incontournable de sa mission.

Je vous laisse écouter une partie de l'allocution en anglais (voir après mon texte), mais ici, j'ai retenu pour vous un court extrait, afin de sensibiliser la francophonie à une montée idéologique qui fait des ravages et atteint sérieusement la démocratie aux États-Unis.


Une citation donne le ton non seulement pour VOA mais aussi pour la mission des médias américains


Le Secrétaire d'État américain a partagé la mission des médias en une citation qui remonte à la toute première diffusion de VOA en 1942:

«The news may be good, the news may be bad, but we will tell you the truth» (1)


Dans ce qui suit, je vous propose une traduction libre (brute à verifier) d’un extrait de l’allocution. Les nouvelles expressions ne sont pas traduites mais expliquées en note de bas de page

«Il est important de savoir que quand le Congrès a créé le rôle de la présidence de l'USAGM [...] ils ne voulaient pas que la voix de la diplomatie américaine constitue le contenu diffusé sur The Voice Of America [2]. [...] Mais ce genre d'instinct de la censure est dangereux. Il est moralement mauvais. En effet, il est contraire à votre mandat statutaire ici à VOA. Censure, wokeness [3],  politiquement correct, tout cela pointe dans une seule direction, l'autoritarisme déguisé en droiture morale, similaire à ce que nous voyons sur Twitter, Facebook et Apple et sur trop de campus universitaires aujourd'hui. Ce n'est pas ce que nous sommes. Ce n'est pas ce que nous sommes en tant qu'Américains. Et ce n'est pas ce que Voice of America devrait être. Il est temps de simplement mettre au rancart le woke-ism. Et vous pourriez montrer la voie. Et vous le savez tous. C'est pour cela que vous êtes venus ici. » (4)


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1.     “The news may be good. The news may be bad. We shall tell you the truth.” – William Harlan Hale, First VOA Broadcast (1942). Source ici

Mission des médias en 1 citation: «Les nouvelles peuvent être bonnes. Les nouvelles peuvent être mauvaises. Nous vous dirons la vérité» (William H. Hale) 

2.    Mike Pompeo a exposé plus tôt dans son allocution, que VOA a pour but de faire connaître la culture américaine et les valeurs démocratiques, ce que le média fait en 47 langues différentes. Il reconnaît que parfois les États-Unis ont bien fait et d'autres fois non, et que par conséquent, la fierté américaine doit être tempérée par l'humilité. Mais essentiellement, par l'information, VOA ne devrait pas selon lui, véhiculer une culture page blanche (ma compréhension), mais une culture et des valeurs américaines contre lesquelles de nouvelles forces, notamment la Chine, se sont opposées subtilement mais efficacement en vue de faire table rase des acquis.


3.  Le "woke-ism" s'autodéfinit comme un éveil sensible à une minorité raciale ou comme une sensibilité à l'injustice (définition questionnable). Par exemple, sous cet aspect racial, la complexité sociale est réduite à la couleur de la peau d'une minorité, alors qu'une société et des cultures sont beaucoup plus complexes, et que les cultures et les idées (valeurs) sont souvent plus divisives ou plus unificatrices que la race. Sous cet aspect, contrairement au rêve d’émancipation de Martin Luther King, il ne s’agit non plus avec le "woke-ism" (appliqué à la question raciale), de ne pas voir la race de l’autre, mais inversement de ne voir que cela. Donc, brûler la maison de l'autre peut être bien si l'on se croit privé de privilèges. On comprend assez vite à l’observation qu’il s’agit d’une tactique de division pour éclater la société dans le but d'y faire germer la pensée d’une solution simpliste à chaque problème. On revient à une variante de l'approche socialiste consistant à développer une doctrine sociale opposant un dominant, et un dominé et marteler l’idée, jusqu’à ce qu’une masse critique de la population y croit suffisamment, pour se soulever contre la paix ambiante ou de manière plus douce, pour amener un groupe à supporter un parti politique, ou à en devenir captif. La fin vise le contrôle ou l'appropriation des personnes pour un parti politique, un gouvernement, une cause, etc. Si dans l'approche la sensibilité des éveillés est souvent fondée sur la race, dans le marxisme, le groupe victimisé retenu variera d’une nation ou d’un État à l’autre, et pourrait même être un groupe majoritaire. S’il n’y a pas de multiculturalisme ambiant, ce pourrait être alors la lutte des classes. Mais si dans un État, la majorité était constituée d'une classe moyenne vivant assez bien, le catalyseur de la tension recherchée (ou révolte) pourrait difficilement être le revenu. En un tel cas, l'élément divisif pourrait être les générations (ex. Y contre boomers), ou le réveil d'anciennes injustices et la réparation des actes des générations qui ont précédé, les genres (femme contre homme). Ces esprits ne manquent pas d’imagination pour diviser une société. Cela peut évidemment générer des revendications sans fin et susciter la violence.

4.     

"…that’s important when our Congress created the role of CEO of the USAGM […] They didn’t want the voice of american diplomacy to be broadcast on The Voice Of America. Think about that, for just a moment, the choral [?] part of institutions with duties and responsibilities higher and bigger and more important than anyone of us individually. But this kind of censorial instinct is dangerous. It’s morally wrong. Indeed it’s against your statutory mandate here at VOA. Censorship, wokeness, political correctness, it all points in one direction –authoritarianism cloaked as moral righteousness, similar what we’re seeing in Twitter and Facebook and Apple and on too many university campuses today. It’s not who we are. It’s not who we are as Americans. And it’s not what Voice of America should be. It’s time that we simply put woke-ism to sleep. And you could lead the way. And you all know. That’s why you came here."