jeudi 9 décembre 2021

Publicité COVID poussant l'injection des enfants de 5 à 11 ans du Québec

«Tiens-toi bien, COVID-19 !», lance une fillette québécoise non à rique de complications, menaçant le virus. Le but? Promouvoir l'injection d'un traitement génique encore expérimental, auprès des enfants de 5 à 11 ans du Québec : sommes-nous devenus un régime autoritaire?


Assistons-nous à une manipulation psychologique immorale, à une publicité contre la loi ou pire ?

(dernière modification : 11 déc. 2021)



Au Québec, où la publicité adressée directement aux enfants est interdite par la loi, le Gouvernement rogue ne se gène pas davantage pour adresser sa campagne de traitement expérimental à ARNm, «Tiens-toi bien, COVID-19», directement aux jeunes de 5 à 11 ans. Cette pression à recevoir l'injection se passe au su de tous, sans opposition médiatique, ni politique et sans science justifiant un acte d'une telle ampleur.

N'est il pas choquant qu'alors qu'on a voulu protéger les enfants du Québec contre des entreprises comme Mattel (jouets, jeux) ou McDonald (alimentation rapide), on les livre à l'industrie pharmaceutique dispensée de toute ses responsabilités légales et civiles devant les injectés (les enfants) dans le traitement génique actuel? Comme les autres groupes cibles, ces jeunes sont en fait simultanément des testeurs... Car si le traitement est autorisé, il est encore en phase expérimentale. Et il faut le souligner, les enfants sont très peu à risque de complications avec le virus et l'autorisation des autorités médicales, ne lève pas la dispense de la responsabilité d’entreprises pharmaceutiques multimilliardaires qui planifient les poursuites, les frais d'avocats et les compensations, comme des dépenses de mise en marché… Mais ici, il ne peut même pas y avoir de poursuites. Si un enfant vit des complications, ni l'État, ni les pharmaceutiques ne veulent assumer la responsabilité financière (ex. invalidité de moyenne ou longue durée). Les enfants et les parents seront livrés à eux-mêmes.

C'est probablement inspiré de la publicité de Pfizer avec les enfants super-héros, sauf qu'au Québec la loi interdit la publicité adressée directement aux enfants. «Votre Gouvernement» a donc approuvé des artifices ou moyens détournés pour le mandat reçu de s'adresser aux enfants :

  • pas de narrateur (ne peut être accusé de dire quelque chose),
  • le symbolisme d'un adulte pour suggérer une autorité présente dans chaque scène (comme pour suggérer «on n'interpelle pas directement vos enfants»):
    • la femme qui apporte le gâteau d'anniversaire
    • le grand-parent qui accueille l'enfant dans ses bras
    • la jeune adulte assise sur le banc dans la ruelle où les enfants jouent au hockey de rue
    • l'homme, vraisemblablement le père, qui accompagne la fillette au site d'injection 

  • le mot «Injection» subtilement lisible sur une affiche, mais non prononcé,
  • le soleil couchant à la fenêtre de la clinique, comme pour rassurer,
  • la manipulation psychologique à l'effet que les enfants sont plus forts (menaçants) comme une escouade contre le virus et seront des combattants unis contre le COVID-19,
  • la fillette de la dernière scène avec un vêtement proche des couleurs médicales, s'exclame avec la démarche assurée, digne d'un urgentiste d'un série TV de salles d'urgences: «Tiens-toi bien, COVID-19 !»,
  • la suggestion que seule l'injection donne la liberté de fêter son anniversaire, de voir ses grands parents, de jouer librement avec ses amis, mais sans que le Gouvernement du Québec ne s'engage verbalement (c'est de la suggestion efficace avec les plus jeunes mais sans engagement)
  • et probablement d'autres encore comme les adultes muets dans les scènes, aucune information, aucun avertissement sur les possibles effets secondaires OU sur l'inutilité de l'injection pour des enfants non à risque; le remède étant plus à risque que le virus pour les gens en bonne santé, etc.).

Malgré la mise en place calculée, il est évident que ce sont les enfants qui sont ici la cible désignée, appelée à former les principaux acteurs qui menaceront le virus. Une fillette prend la parole à la fin, ce qui indique bien que la publicité s'adresse aux enfants. Le jeu de caméra aussi, la fait parler à hauteur d'enfant. L'approche est probablement inspirée de la campagne des jeunes super-héros pour promouvoir le traitement expérimental d'une entreprise pharmaceutique américaine, P____.  Mais au Québec, il fallait être plus subtile à cause de la loi.

La pression du Gouvernement du Québec sur les enfants de 5 à 11 ans est évidente

Il n'y a pas de hazard, avec au même moment, le retour intense du port du masque à l'école pour les enfants du primaire du même groupe d'âge que ceux de la nouvelle phase de la campagne COVID-19 débutée en novembre 2021 (5 – 11 ans). Ceci révèle une pratique non pas simplement immorale, mais possiblement sujette à des poursuites. À mon avis, cette publicité bien conçue, mais choquante (une commande de «Votre Gouvernement»), cache une résistance rencontrée, ou du moins anticipée, dans la campagne de traitement génique. Fait-on face à une stratégie gouvernementale qui ne lève pas comme le voudrait le Grand Camarade. Pour le retour en force du masque chez un groupe non à risque (alors que le COVID s’essoufle), il s'agit vraisemblablement d'augmenter la pression sur le jeune groupe cible, en vue d’accélérer la cadence de traitement, en amenant les enfants et parents à penser que les piqûres amèneront la sortie de crise et le retour à la liberté, mais sans le dire ouvertement. Il ne faut pas trop le dire, car cette phase ciblant de jeunes enfants est plus délicate, si l'on osait mentir (jouer avec les chiffres et les mots) comme précédemment. Cette liberté, l'État n'est pas disposé à la redonner. La troisième dose commence à être poussée auprès d’autres groupes. Après bientôt 2 ans de désinformation, manipulations et contradictions, les personnes attentives discernent de plus en plus les techniques utilisées pour forcer des abonnements médicaux et une mutation politique mondiale. Le DANGER pourrait ne pas être immédiat pour les enfants de 5 à 11 ans (objet d'une grande attention collective pour leur première dose), mais davantage pour les doses à suivre. Car il y en aura; monétisation oblige. C’est payant, et pas seulement pour les producteurs de ces traitements expérimentaux. Mais que ceci soit claire: tout traitement superflu constitue un risque et un abus. 

Si nous ne protégeons pas les enfants, qui le fera?

Et si le véritable danger n’était plus le virus, mais le Grand Camarade «béni» par une alliance mondialiste?

Ci-dessous, des images extraites de la publicité. Les enfants menacent le virus.







https://youtu.be/MGrNG-uLJ7w