samedi 28 février 2015

Éducation sexuelle: protéger nos enfants contre les théoriciens et groupes trop intéressés

Dossier - Méfiez-vous des groupes qui s'intéressent énormément, voir trop à la sexualité de vos enfants et voici pourquoi

(dernières modifications: 4 mars 2015;  6 mai 2015;  30 sept. 2015; 19 fév. 2016; 5 mars 2016)

Il a déjà été dit et psychanalysé que  les anciennes légendes pouvaient avoir une intention non avouée ouvertement et porter des symboles. Les ogres, par exemple, décrivaient-ils des agresseurs d'âge mur, dont on voulait protéger les enfants? Ils ne dévoraient pas les enfants au sens littéral, mais en leur dérobant leur enfance et leur identité sexuelle.

Récemment, entre autres, un ex sous-ministre de l'éducation qui a conseillé les gouvernements de l'Ontario et du Manitoba, a été condamné pour pédophilie et même inceste (partage de photos mettant en scène ses petites filles). Au sommet de sa carrière et de sa popularité, il a fait partie de l'élite dans l'élaboration des programmes éducatifs (expert-conseil, conférencier, sous-ministre) auprès des enseignants, directeurs, hauts-fonctionnaires et même des politiques, ...

Plus près de nous, les dernières réformes éducatives au Québec, ont exposé nos jeunes à de l'expérimentation sur populations réelles. Voilà pourquoi, la venue de l'enseignement de la sexualité à des mineurs qui semble promue par un intérêt hors du commun, ne doit pas être aveuglément laissée à des fonctionnaires et des doctorants faisant de l'expérimentation de leurs théories éducatives, sinon idéologiques.

N'oubliez jamais que les pédophiles avec une instruction supérieure

  • chercheront les implications faisant avancer leur cause
  • ou encore les rapprochant de vos enfants. 

Laissons les enfants être des enfants 



D'entrée de jeu, laissons les enfants être des enfants. Ne les plongeons pas dans une hyper-sexualisation ou dans une exposition précoce à la sexualité, comme s'ils devaient expérimenter une sexualité d'adultes pour être considérés normaux. Les enseignements trop poussés ou trop insistants peuvent mettre beaucoup de pression sur les jeunes, par des pairs, par exemple. La ligne est aussi très mince entre donner de l'information en vue d'une saine éducation sexuelle, et la communication de contenus et d'argumentaires qui ont pour résultat d'altérer les inhibitions sexuelles des enfants (child grooming).  On peut penser par exemple à ces approches cherchant à rendre plus précoce l'éveil sexuel des enfants.


Dessin d'une enfant de 6e année du primaire au Québec.


N'ouvrez pas la porte à des inconnus


Pour ceux qui seraient sceptiques sur les enseignements déviants qui menacent les systèmes d'éducation occidentaux, considérons ce que relate Mathieu BOCK-CÔTÉ dans un article de fond (26 février 2015), concernant un fait réellement arrivé dans une école de Montréal.

«Début février, l’école Saint-Constant, sur la rive-sud de Montréal, invitait ses élèves, le temps d’une journée, à se travestir. Les garçons devaient s’habiller en filles, et les filles, en garçons et cela, pour promouvoir la tolérance – on connait le refrain». 

Vous avez compris que nous en sommes maintenant au niveau de l'endoctrinement en fonction de certaines théories ou idéologies sociales.

La théorie du genre, un exemple de ce qui attend le contenu de nos programmes : un peu de contexte


Selon la théorie du genre, le sexe de l'individu humain (identité sexuelle, genre féminin ou masculin)  ne serait pas déterminé à la naissance mais beaucoup plus tard en cours de vie. La nature ferait donc de très nombreuses erreurs en faisant naître les enfants avec un sexe biologique erroné, si l'on suit la logique. Nous ne sommes donc plus dans l'exception de l'enfant dans le mauvais corps, mais dans la norme. Chaque enfant, peu importe son sexe à la naissance peut être homme, femme ou autre, si l'on se laisse aveugler par les lobbys promoteurs de la théorie du genre. Cela joue donc sur l'identité sexuelle où l'enfant qui a eu une simple curiosité envers le même sexe ou a été exposé à de la pornographie depuis son jeune âge, peut douter de son identité sexuelle.

Le prétexte pour laisser carte blanche ou pleins pouvoirs éducatifs (sans droit de regard continu des parents) pour le contenu et la durée de l'enseignement sexuel à l'école


Le noble prétexte : Selon l'argument, les enfants apprennent la sexualité n'importe comment, il faudrait que l'État s'accapare ce domaine de vie pour les protéger des sectes et extrémismes, des faussetés transmises via internet, et entre les jeunes eux-mêmes, etc. Le gouvernement leur donnera la «bonne information».

La réalité : Avec un enseignement sans droit de regard continu des parents sur la durée et le contenu, les enfants apprendront la sexualité en partie n'importe comment, non plus via des amis mal informés, mais en fonction de lobbys  réels ou larvaires. Ce n'est pas l'innocence annoncée.

Exemple de contenu

Voici à quoi pourrait ressembler le contenu thématique de l'éducation sexuelle dans les manuels scolaires, dans 5 ou 10 ans, vers 2020-2025 au Québec, dans une société libérale postmoderne. Et apparemment, nous ne serions pas les premiers qui risquent de voir les programmes scolaires d'éducation sexuels par des êtres douteux hautement considérés dans le monde, ou de découvrir des pédophiles actifs dans la vie politique comme en Allemagne (et au Canada, note 1).
  • La pédophilie décrite comme «bonne» si cela fait du bien à l'enfant, selon la situation (théorie) déjà véhiculée à la rigolade dans les médias français et comme l'ont défendu 60 signataires très en vue au sein de la pensée française, par exemple, dès 1977 (2).  On trouve même parmi les signataires apologistes d'une pédophilie pratiquée dans la douceur, le nom de Jean-Paul Sartre et plusieurs figures et modèles de la pensée Mai 68. Du passé tout ça? Pour cela, il faudrait premièrement qu'ils soient tous morts et deuxièmement, qu'ils n'aient exercé aucune influence sur la pensée du monde francophone, ce qui est hautement improbable. À cela, les défenseurs de l'ouverture à cette forme de sexualité initiatique opposent l'argument que les lois ont changé et que les choses ne sont plus comme en 1977. Peut-être pourrait-on suggérer qu'elles sont pires... Certains intervenants de villes de Grande-Bretagne pourraient vous parler des réseaux de pédophiles au sus des autorités. En fait, il faut différencier entre la pensée avec ses influences ET le législatif. Le fait qu'une loi interdise une chose alors en zone grise (argument dans les réseaux sociaux), n'indique aucunement que des groupe militants ne soient pas très actifs pour autant. Plus près de notre contexte au Canada, le Code criminel change régulièrement depuis les années '80. Si bien que quand la criminalité diminue statistiquement, c'est souvent 1) parce que la liste des actes criminels a été régulièrement réduite par la dépénalisation ou 2) parce que les actes d'accusation sont négociés à la baisse pour éviter des procès engorgeant le système et coûteux. 3) Sans oublier le vieillissement de la population. Pourquoi, l'Opération Scorpion a-t-elle cessé au Québec (contre l'exploitation sexuelle de mineures par la prostitutions juvénile) quand des rumeurs (ou étaient-ce des témoignages?) ont commencé à impliquer le politique et le milieu artistique? Ce genre de rumeurs couvait dans les médias. Bref, il ne faut jamais négliger les pouvoirs (exemple de l'Ontario) derrière les contenus idéologiques des cours, surtout de ceux que l'État veut voir échelonnés sur plusieurs années du cursus scolaire.
  • la dépénalisation éventuelle des relations sexuelles consenties entre frères et sœurs adultes dans les cours de sexualité, comme une affaire privée dont l'État  n'a pas à se mêler (ex. recommandation du Conseil d'éthique allemand).