dimanche 16 avril 2017

Enseignement privé au Québec: partenariat public-privé et libre choix

L'enseignement privé au Québec est un Partenariat public-privé (PPP) qui fonctionne, parce qu'il réduit réellement les dépenses du Gouvernement en éducation au primaire et au secondaire. C'est aussi une rare occasion de libre choix face aux services de l'État.


Il faut dénoncer ces mensonges concernant le privé qui, prétend-t-on faussement dans la gauche québécoise, coûterait cher à l'État Québécois. En fait, chaque élève du primaire et du secondaire inscrit au privé constitue de l'argent neuf investi dans le système d'éducation du Québec par les familles ou répondants qui continuent, par ailleurs, de payer leurs taxes et impôts.


Pour en finir avec le mythe du privé qui «coûte cher à l'État» au Québec


Ce n'est pas 60% du privé qui est subventionné par l'État québécois ou plus précisément par les taxes et impôts des contribuables. Selon les chiffres du Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (1), c'est 40,7% (40,6 + 0,1% en 2013-2014), subsides en baisse comparativement au rapport précédent (42,2 % en 2012-2013).

Écrivez-le 100 fois au tableau. Les chiffres du Gouvernement sont dans leurs «Indicateurs de gestion - Établissements d'enseignement privés» (2013-2014, voir le rapport PDF 2016). Selon les chiffres de la Fédération des établissements d'enseignement privés (FEEP), c'est inférieur à 40%. Mais concédons un «gros» 41% (l'arrondi de 40,7%).

-  Un élève au PUBLIC coûte 100% pris sur nos taxes et impôts au Québec
-  Un élève au PRIVÉ coûte 41% pris sur nos taxes et impôts au Québec (2013-2014)
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Pourquoi cette différence avec le 60% véhiculé dans les médias?


Le 60% fréquemment véhiculé par les médias et adversaires du privé subventionné CONCERNE