lundi 5 septembre 2022

Élections Québec 2022 : « Je me souviens » des hausses de taxes

Québec : l'État « taxoolique ». Le 3 octobre 2022, les Québécois devront voter intelligemment. La devise du Québec est «Je me souviens». Souvenons-nous des taxes qui étouffent les Québécois, particulièrement avec l'inflation majeur de 2022, afin de ne pas reconduire ces mêmes gouvernement «Pac-man», des «Pac-men» et «Pac-women» au pouvoir pour 4 autres longues années.

Note

- Ne pas confondre taxes et impôts en français. En anglais, l'impôt est appelé "tax" (Income tax). Le présent article aborde les taxes de vente et services, applicables sur l'argent qui nous reste APRÈS que les impôts sur le revenu aient déjà été payés au Québec et au Canada.

- La taxe fédérale TPS et la taxe de vente du Québec s'appliquent à la plupart des biens et services (1)


Les armoiries du Québec comportent la devise depuis 1939



Taxe de vente du Québec (TVQ) contre les Classes moyennes et plus pauvres

«Je me souviens» des hausses de TAXES payées APRÈS impôts sur le revenu, qui ont nui aux contribuables et familles des classes moyennes ou plus pauvres ET ont contribué à l'endettement


Petite histoire de la TVQ


Chronologie et responsables des hausses de la TVQ de 1997 à 2013

La TAXE de vente du Québec (sur la plupart des biens et services)  passe de 

  • 6,5 % en 1997
  • À 7,5% en 1998 (sous Lucien Bouchard du Parti Québécois)
  • À 8,5 % en 2011 (sous Jean Charest du Parti Libéral du Québec)
  • À 9,5 % en 2012 (sous Jean Charest du Parti Libéral du Québec)
  • À 9,975 %, en 2013 (sous Pauline Marois du Parti Québécois)


La Baisse de taxes accordée par le Parti Conservateur du Canada, sous le Premier Ministre du Canada Stephen Harper, est ainsi engloutie les années suivantes par les hausses de taxes de la TVQ.


Québécois allumés (ou ... Québécois, allumez !)

Le PLQ et le PQ ont pillé les Québécois pour nourrir un État et sa cour, de plus en plus tentaculaires, et de plus en plus invérifiables, où l'injection massive d'argents n'amène pas de meilleurs services publics (santé, écoles, etc.).


Parti Libéral de Jean Charest:

Suivant les 2 baisses de la TPS féd. de 2006 et 2008, sous le leadership du Premier Ministre conservateur Stephen Harper, alors que la TPS fédérale descend de 7% à 6% (2006), puis à 5% (2008), la TVQ passe DE: 7,5% À 8,5% (2011), puis À 9,5% (2012), sous la voracité de Jean Charest.  M. Charest est le Libéral qui en 2022 brigue la chefferie du Parti Conservateur du Canada.



Parti Québécois de Pauline Marois.

La TVQ augmente une troisième année consécutive, DE 9,5 % en 2012 À 9,975 %, en 2013, sous Pauline Marois du Parti Québéquois.


Maintenant, vous devriez avoir compris à quoi servent les recensements détaillés où l'État vous demande où va votre argent, jusque dans vos choix de sources d'énergie, vos épargnes, vos activités récréatives, etc.


Résultat des hausses : appauvrissement des travailleurs et perte de liberté.

1.    Cela résulte, pour plusieurs Québécois, à s'endetter pour payer des taxes...

Plusieurs Québécois ont dû par exemple, hypothéquer des taxes sur l'achat d'une résidence (argent ainsi indisponible pour la mise de fonds), ainsi que les taxes élevées pour les travaux de mise à niveau, d'entretien et de rénovations, etc.

2.    L'État s'en prend aussi directement aux libertés en restreignant l'autonomie financière.

Lorsqu'on a moins d'argent, on a aussi moins de liberté de choix; par exemple, 
  • pas de fonds pour un soin de santé pour lequel l'État offre un délai en terme d'années; 
  • pas de liberté pour accélérer un remboursement d'hypothèque;
  • mettre des dépenses imprévues sur la carte de crédit (ex. bris d'automobile)
  • etc.

3.     Même l'essentiel est touché en périodes d'inflation, comme celle provoquée en 2022.

Pensez-y. Actuellement, des familles manquent de revenus pour payer l'épicerie...  Une TVQ proche de 10% a un impact encore plus négatif dans une inflation importante, parce qu'il en reste moins aux contribuables pour payer des biens et des services.

Question :

Allez-vous voter pour porteur au pouvoir un Gouvernement de «Pac-men» et «Pac-Women» ? 

_____________

1.     définitions



jeudi 1 septembre 2022

Élections Québec 2022 : Craindre les sondages plus que la peste

Le «vote stratégique» est une illusion antidémocratique, voire une séduction, encore plus particulièrement dans le mode de scrutin du Québec; une non proportionnelle. Plus que les années précédentes encore, pour les élections du 3 octobre 2022, et durant les semaines qui précèdent, il faut se méfier des sondages plus que de la peste ou de la COV... 


Le dernier weekend du mois d'août 2022, un représentant (possible bénévole) de la CAQ a téléphoné à la maison pour savoir si j'appuie le chef du parti sortant. J'ai répondu que je préfère garder mon vote confidentiel. Après tout, le scrutin est anonyme (un vote secret) et je dirais au téléphone (lié à mon adresse) et à un inconnu pour qui je vais voter, dans un système politique et gouvernemental hautement corrompu en plus (élus et non élus) ? Pas sûr.

D’autant plus qu'après les consultations ou sondages, les chiffres lancés peuvent même démotiver les électeurs de sortir voter. Ou encore, une tendance peut amener le parti sortant à faire une guerre sale à un adversaire en montée ou en avance, par des faux témoignages (exemple : allégations de racisme) ou des histoires montées de toute pièce, ou encore au moyen de de l'intimidation par le saccage de bureaux électoraux et le vol d'ordinateurs et de documents, ou de faux drapeaux (se positionner en victimes par des actes commandés), etc. 

L'illusion du vote stratégique dans un mode électoral non proportionnel

Mais le plus subtile, en apparence si anodin, consiste à amener les électeurs à croire qu'ils peuvent fine tuner l’issue du vote en présumant connaître les intentions des autres Québécois à la date précise du vote et se donner un gouvernement moins fort (minoritaire). Ce genre d’alchimie électorale est très biaisée dans un mode de scrutin comme celui du Québec (1 circonscription gagnée = 1 siège). En effet, notre système n’est pas une proportionnelle. Un 25% des voies ne donne pas 25% de sièges. notre mode électoral et le vote stratégique peuvent et ont souvent pour effet, le jour de l’élection, de faire la différence entre faire élire 15 ou 20 députés vs en faire élire 1 seul. À nos apprentis électeurs québécois : nous ne sommes pas dans une proportionnelle au Québec. Ici 1 circonscription remportée donne 1 siège (1 député) et le nombre le plus élevé de circonscriptions remportées porte un parti au pouvoir; non pas le pourcentage global du vote

La réalité des chiffres expliquée par un exemple de l'ancien parti de l'ADQ

Toute tentative de jouer avec les chiffres lorsqu’on vote peut avoir des conséquences énormes. Une circonscription peut se perdre par quelques votes et cela fera varier le nombre de députés d'un parti. Voici 3 exemples de l'imprévisibilité du nombre de députés dans l'histoire de l'ancien parti ADQ:

  • En 1998, 11,8 % des votes pro-ADQ n’ont donné que 1 siège (1 député). Un électeur «stratégique» aurait pensé qu'il y en aurait beaucoup plus.
  • En 2003, 18,2 % des votes n'ont donnée que 4 sièges à l'ADQ;
  • en 2008, 16,4% des votes ont donné 7 sièges. 
Car c’est le nombre de circonscriptions remportées qui déterminent le gouvernement élu (le parti formant le gouvernement) et non pas le nombre de votes global de toutes les circonscriptions (qu'on appelle encore parfois les comtés).

Et un vote surestimé par des sondages pave le chemin pour la fraude lors du comptage

Par exemple, si dans une élection multipartis un sondage gonflé donne le parti sortant à 30% alors qu’il est en réalité à 26%, cela peut favoriser une fraude électorale dans une ou des circonscriptions, lors du comptage, par exemple, en «trouvant» des boîtes (déjà prêtes) de votes prétendus, oubliées dans le décompte. On annoncera par exemple, le chef sortant battu dans sa circonscription et finalement élu (miraculé). Ou dans une pays près de chez vous, en insérant une clé USB avec un programme informatique dans quelques machines de comptage, ou via une connexion web, pour pondérer le résultat (ex. nombre de votes X 1,15 pour le parti à sauver et inversement votes du parti adverse X 0,85), de cette façon, sans pour autant modifier le nombre total de votes (très rusée cette pratique testée sur des élections réelles). Ceci explique aussi le nombre total de votes qui chute (régresse) en défaveur d'un candidat, comme on l'a vu par exemple aux États-Unis en 2020, En France récemment, etc.

Si ceci ne réveille pas le Québec, qu'est-ce qui le fera?

Est-ce que je vous dis pour qui je vote maintenant? Non. Mais je ne voterai pas «Québec Totalitaire», ce qui depuis 2020 élimine déjà plusieurs partis établis… Vous trouvez que j'exagère, mais la démocratie, les tribunaux et de multiples droits, comme le droit de maintenir son travail, le droit à la mobilité, à la vie privée, à l'accès à des soins payés par nos impôts et taxes, le droit au plein air en soirée, et plusieurs autres, ont été ou sont encore suspendus, en partie. Il n'y a plus d'opposition depuis 2020, les professionnels de la santé se laissent menacer et museler par leurs ordres professionnels. Au Canada, la contrainte contre la délivrance des demandes de passeport n'est pas un hazard, mais un contrôle des déplacements de la population. De même pour la mobilité. Une parente d'une famille immigrée au Québe il y a près de 20 ans, venait voir annuellement sa famille au Canada. Mais encore en été 2022, malgré le faible impact COV., cette personne ne peut plus venir au pays, n'étant pas vaccinée. 

Alors est-ce qu'on agit comme dit un slogan électoral au Québec : «Continuons» ? Non !

Pensée : 

«Ceux qui conduisent ce peuple l'égarent, 

Et ceux qui se laissent conduire se perdent». (extrait de Esaïe, chap. 9)



mardi 16 août 2022

L'État profond contre-attaque à Mar-a-Lago

OPINION - Prétendre que le patriote des patriotes américains se vouerait à l'espionnage contre son propre pays ne sonne pas uniquement faux, c'est faible, idiot et complotiste. Je suis Canadien mais préoccupé. Après tout, n'avons-nous pas une portion équivalente de l'État profond et des élus et officiers de l'État corrompus au Canada?


Le mandat de perquisition  exécuté par le FBI à la propriété de Donald Trump à Mar-a-Lago, le 8 août 2022, sent fortement la commande politique à l'approche des élections de mi-mandat. Ou sinon, ce pourrait être une vengeance de certains éléments contre un président qui a brassé la cage et fait rouler quelques têtes pour tenter d'assainir le marais de la justice et de la sécurité nationale durant son mandat (2016-2020), surmontant au passage de fausses accusations (prétendue collaboration avec une possible ingérence de la Russie dans le processus électoral (collaboration avérée fausse après des mois d'enquête), tentative d'impeachment non valide qui n'a pas levé, affaires de mœurs souvent fabriquées, etc.).


Ce genre de commande politique existe plus que jamais. Si ça existait on l'aurait ? Eh bien oui, on a vu que ce genre d'ingérence existe au Québec aussi. Cela rappelle par exemple la perquisition de l'UPAC à la résidence de Nathalie Normandeau et son arrestation (elle et d'autres Libéraux), à la date précise du dépôt du Budget controversé du Parti Libéral du Québec, le 17 mars 2016

Pour les habitués de politique américaine, la perquisition de Mar-a-Lago constitue un événement sans précédent. Cette action d'éclat c'est du bonbon pour les médias. L'opération peut viser tout autant la

>>> LIRE la suite

jeudi 28 juillet 2022

Chefferie conservatrice 2022 au Canada : l'ombre s'installe

Depuis plus de 30 ans je m'intéresse à la politique, particulièrement depuis la mi-vingtaine. En fait, c'est quand j'ai commencé à observer des anomalies ou atteintes  croissantes contre la «démocratie» (1). Je ne voudrais pas décourager les conservateurs du Canada, mais divers indices semblent indiquer qu'il se passe quelque chose à la course à la chefferie du Parti Conservateur fédéral; comme un revirement planifié par certaines personnes et groupes qui œuvrent en coulisses.


[Note ajoutée le 13 septembre 2022 : bien que M. Poilievre ait été élu à la chefferie du Parti Conservateur du Canada, je conserve l'article pour référence. Car une grande partie de son contenu est toujours pertinente sur les manières de procéder anti-démocratiques.]

Comme dans la célèbre fable Le lièvre et la tortue de Jean de Lafontaine, Pierre Poilievre avait le vent dans le dos et tous lui prédisaient la victoire après les deux débats. La course de Jean Charest ne levait pas. Il vient un temps où les vieux lions ne gagnent pas; surtout s'ils sont dans le mauvais clan. En effet, Jean Charest est un libéral.

Game-Changer

Mais le signal a été donné pour un game-changer, quand une faction minoritaire a réclamé et réussi à imposer à la majorité des members un troisième débat, suivant une hausse vertigineuse du membership, pour la course. 

Autre indice, l'actuel meneur, refuse de participer au troisième débat en septembre, par dépit ou pressentant un piège, ou en suivant une directive en coulisses, laissant ainsi le champ libre à Jean Charest; une erreur je crois. 

Poilievre refuse. Après tout, il a bien performé et il sait utiliser les réseaux sociaux. Toutefois, sa force est aussi la faiblesse de la garde expérimentée conservatrice. Par exemple, ces derniers ont compris qu'il se tenait un vote important sur un troisième débat, quand cette consultation était terminée. Une majorité n'était pas nécessaire, sauf pour le scrutin. Ils sont pour la plupart aussi bons avec les réseaux sociaux que ne l'était Stephen Harper avec les illustrations de son calendrier du Nouvel An du parti.

Poilièvre pourrait ou non avoir gagné les débats, il reste que la mémoire populaire est très courte. Et les indécis ou conservateurs temporaires par opportunisme (comme lors du support de la gestion de l'offre lors d'une course récente qui a amené Maxime Bernier à fonder son parti), vont puiser dans la présence publique récente et le poids média, et le troisième débat pourrait donner tort aux absents

Nouvel indice d'un changement perceptible : l'appui le 25 juillet 2022, de cette grande figure conservatrice Stephen Harper qui semble aussi révéler un revirement perceptible. Cela fait penser quand Obama est sorti pour supporter Macron en danger dans une précédente élection en France.

 

Poilievre a démarré en trombe, tandis que la tortue Charest avance et sait les ruses du trappeur politique (il a beaucoup d'amis pour l'assister sous cet aspect). Au final, le candidat le plus favorisé pourrait ne pas faire le poids aux urnes. 


Ces urnes sont en plus sujettes à interprétation depuis quelques élections dans le monde, où il se passe quelque chose la nuit du dénombrement... Comme si des taupes faisaient le dépouillement des votes, ou comme si on confiait la tâche à des détenus.

L'avenir nous le dira, mais si la tendance a ainsi tourné sans cause très évidente, c'est un indice que quelque chose se passe en coulisses. Poilievre ne semble pas être le choix de ceux parmi les non élus qui constituent un vrai pouvoir.  Il me semble que l'on veut faire sentir à Poilievre que ce n'est pas son tour et que ce ne le sera pas dans la suite des temps.

En fait, il me semble que le troisième débat arrive pour redonner une poussée et faire passer le libéral Jean-Charest et pour que les choses se mettent en place pour lui laisser le plancher de danse. Deck the Halls pour John Charest, pour qui ce sera Noël à la fin de l'été 2022. Il pourrait entre autres, piocher dans le nombre des conservateurs mous, nombreux dans le Québec que je connais (faire ressortir ou inversement diviser un vote conservateur instable). Ce sont des conservateurs qui ne votent habituellement pas Conservateur, parce qu'ils ignorent que leurs valeurs, du moins économiques et sociétales, sont conservatrices.

Tout peut arriver, mais les conservateurs du Canada devraient plutôt élire un chef juste, prêt à défendre les citoyens du Canada (2), bref contre les intérêts et alliances industrielles, commerciales et politiques liées au nouveau mondialisme, voire des intérêts corrompus dans certains cas. Car au final, c'est ce qui est le mieux pour le bien de la population et non un vote pour des politiques favorables à la nouvelle économie mondiale qui abuse de la science. Sinon, nous deviendrons sous peu, une république criminelle du nord; ceci étant la récolte inévitable des fruits des valeurs antichrétiennes.

_______________

1.     Des anomalies de plus en plus fréquentes comme    

  • la couleur politique cachée des médias traditionnels (valeurs sociétales et approche corrective ou filtre de l'information au désavantage de la population); ex. la pondération par les journalistes, rédacteurs et chroniqueurs bien choisis par les médias
  • les résultats des consultations publiques par les partis élus, ces apparences de consultations, car devenues progressivement des exercices dans le but de maintenir l'illusion démocratique tout en imposant des choix prédéterminés (légalisation des drogues, décriminalisation d'un nombre croissant de crimes, euthanasie ouverte en opposition aux véritables soins, ...)
  • la corruption toujours présente, mais dans un peak évident (indice : la nullité ou inutilité des partis d'oppositions face aux pressions mondialistes, aux manipulations de la population, etc.)
  • la perte de la boussole morale et de la valeur de la vie et la mise en valeur des éléments destructeurs dans nos sociétés
  • la continuation des héritages de politiques radicales et étranges, peu importe le parti au pouvoir (sauf pour de rares exception comme sous les mandats de Stephen Harper).
  • les faux débats sur les plateaux de télévision et médias (ou le choix sociétal à abattre est seul contre 3, l'arbitre du débat (animateur modérateur) jouant le rôle du finisseur, mettant la table pour la décapitation idéologique recherchée et pré-planifiée. Tout cela va dand le sens de la manipulation médiatique de l'information (choix de l'angle, argumentaire privilégié pour là où le libéralisme veut aller, etc.)
  • les changements dans le système de l'instruction publique (éducation) et des programmes de la petite enfance (ex. garderies, day care, ...) avec programmes publics pour déterminer les résultat des politiques et des élections des prochaines années (fausse science et sophismes abondants, générer l'anxiété, etc.).
  • etc.
2.     Leslyn Lewis ? Pierre Poilievre ? Roman Baber qui a été chassé de son parti en Ontario pour avoir défié le dada COVID ? ... Mais s'il y a manipulation de la course, c'est qu'il y a des intérêts douteux qui ne reposent pas sur l'honnêteté ou la vérité

samedi 28 mai 2022

666 et crises politiques en marche

Dans le contexte de rumeurs récurrentes de liens entre les cultes antichrétiens et les problèmes majeurs convergents, de fabrication humaine et politiquement coordonnés, je ne suis pas le premier à trouver hautement improbable, une coïncidence dans la symbolique de la durée obligatoire du port du masque de 666 jours, en France et au Québec. 

( Note ajoutée le 29 mai 2022. S'il devait m'arriver quelque chose de fâcheux, incluant de fausses accusations ou un problème économique contre moi, ou une répression contre mon blogue, ou concernant la sécurité de notre propriété, de ma famille ou de notre animal domestique suivant la mise en ligne de ceci, cela ne sera probablement pas un hasard. Quelques heures suivant la publication de cet article, un drone a survolé l'espace au-dessus de notre maison et de nos voisins immédiats, ce qui est interdit par Transport Canada. Ce qu'il y a de particulier, c'est que notre chien qui est presque toujours à l'extérieur l'été, a pour la première fois à vie, sonné l'alerte pour un drone, en regardant au-dessus de notre maison et en aboyant. Je n'avais jamais vu ce comportement de sa part auparavant ). 

Une similitude peut en effet être observée dans le symbolisme de la durée du port du masque imposé par chacun des 2 États (un contrôle sur les populations) entre le Québec et la France. Ces coïncidences ne sont pas rares en politique. L'image ci-dessous suggère un lien entre le paiement par téléphone mobile et le O d'Ottawa, capitale politique du Canada. Il semble que quelqu'un aie voulu nous alerter sur le symbolisme 666 à Ottawa (via la banderole blanche) et sur ce qui se passe (des pactes) dans les hautes sphères politiques et économiques mondiales. 





Il ne faut pas s’arrêter sur une stricte égalité, mais sur le symbolisme. Ce n’est pas la première fois que ce genre de choses arrivent en politique.


Je suis bien conscient que les gens qui participent à une activité publique, une campagne publicitaire, un shooting photo ou une mise en scène ne comprennent pas toujours le sens réel du symbole qu'il leur est demandé (ex. la publicité francophone d'un passeport santé avec 3 générations de femmes), mais lorsque cela se passe à un haut niveau et à répétition, ceux qui les commandent et coordonnent savent ce qu'ils font. Et il ne faut pas sous-estimer le nombre de ceux qui savent ce qu'ils font.

Petit calcul comparatif du nombre de jours de port du masque au Québec et en France (2020-2021)

Québec

date de début du port du masque : 18 juillet 2020

date de retour à la normale : 14 mai 2022 (1)

différentiel en jours = 665 avec lequel il faut compter le dernier jour

665 + 1 = 666 (6-6-6)

France

date de début du port du masque : 20 juillet 2020

date de retour à la normale : 16 mai 2022 (2)

différentiel en jours = 665 avec lequel il faut compter le dernier jour

665 + 1 = 666 (6-6-6)

Pour ridiculiser l'existence réelle de la réalité de cultes obscures dans les plus hautes sphères de notre civilisation, ( souvent en lien avec la disparition des enfants ), les faiseurs d'images organisaient, pendant des années,  des défilés dans les rues, composés d'individus probablement rémunérés, vêtus en costumes d’un mauvais casting de théâtre du Moyen-Âge (en collants noirs ou rouges, ou l'air médicamentés) dans le but de ridiculiser la chose. Le satanisme, avec ses sacrifices humains et ses meurtres commandités, est en pleine effervescence, comme l'a prédit la Bible, à mesure que nous approchons la fin de l'ordre actuel. Et le véritable sataniste, peut être un homme ou une femme d’affaire, un artiste, un politique, un CEO de grande entreprise, un magistrat, etc. 

Le lien entre le 6-6-6 et le politique et la culture d'une nation n'est pas une invention du 21e siècle

Cela a même été annoncé à l'avance, dans le livre biblique de l'Apocalyse.

Un nouvel ordre politique mondial contrôlant jusqu'aux achats des citoyens aura pour marque sur la main droite ou sur le front le 6-6-6. Ceux qui voudront acheter ou vendre devront faire preuve d'allégeance politique, économique et spirituelle au nouvel ordre qui étendra son emprise sur les habitants de la Terre. Ils le feront au prix de leur âme et iront à la perdition. Mais il y aura une préparation à ceci. Pour le démontrer je vous renvoie ici à une traduction du livre de l'Apocalyse de l'apôtre Jean, chapitre 13, d'une ancienne version de la Bible connue comme la bible Martin de l'année 1744. Le but du recours à une ancienne traduction : éviter toute influence des nouvelles technologies sur la traduction (ex. possible contrôle en gelant les avoirs des individus qui ne pourront plus faire de transactions, les possibles transactions sans porte-feuille physique avec une marque ou un code sur la main droite ou sur le front, etc.). 





Pour mieux comprendre les symboles de la littérature apocalyptique de la Bible (prophète Daniel, Apocalypse de Jean), voici quelques définitions. Comme dans la lignée des «bêtes» symboliques du prophète Daniel, très en lien avec le livre de l'Apocalypse, la constance demeure:
  • une bête = un ordre, un pouvoir politique et économique voir même aussi religieux (ou spirituel) imposé sur un grand territoire ou plus d'une nation ou d'un peuple.
  • la mer = le monde ou des peuples (d'où sort un nouvel ordre ou une nouvelle domination), des populations
  • les têtes et ailes d'une bête = des royaumes, nations, États, pays, etc. et plusieurs têtes impliquent donc une coalition (et éventuellement de possibles séparations ou divisions) entre des États, pays, etc.
  • une corne sur une bête = sert à frapper (combattre) et représente un chef, un leader, un roi ou même un élu (s'il subsiste une forme de démocratie à la fin). Une petite ou grande corne implique son ampleur.
  • un roi ou des rois terrestres : Dans le livre de l'Apocalypse, les rois sont mentionnés comme  faisant des mandats parfois instables. En considérant une semaine comme 7 années (une semaine d'années), un de ces rois recevra le pouvoir avec la bête pour 1 heure donc, environ 2 semaines ou entre 14 et 15 jours, dépendamment de si l'on prend les mois lunaires avec 336 jours par année ou les mois juliens avec un peu plus de 365 jours par année.
  • agneau, un symbole des croyants et l'Agneau représente le Seigneur des seigneurs et Roi des rois qui est aussi un Agneau immolé qui a pris sur lui la malédiction des croyants. Agneau réfère à la la patience et à la douceur pour le temps où cela est demandé au peuple de Dieu (les saints ou choisis de Dieu).
  • le dragon  = le serpent ancien du livre de la Genèse = Satan; un dragon réfère à un personnage au service de l'occulte qui sait qu'il combat contre le Dieu de l'Alliance et ses choisis, quand on dit qu'il est comme un dragon. Le langage faux n'est pas sans rappeler le fruit de démocraties corrompues.
En contexte possible de «rois» qui seront en fait des élus dans la partie occidentale du monde constituant une suite de l'Empire Romain et partiellement de l'ancien empire Grec (au moins pour une partie des cornes), non seulement les guerres peuvent les élever et abaisser, mais également les élections, truquées ou non. Il y a aussi les possibles assassinats. 

Mais chose certaine, il est annoncé des siècles à l'avance que proche de la fin des royaumes de ce monde, il y aura une forme de pouvoir mondial sous une première nouvelle bête (ordre coalisé suivant l'ordre actuel ébranlé par les crises), complétée d'un contrôle extrême sous une deuxième bête, où les gens ne pourront plus faire de transactions, (acheter ou vendre), à moins de se soumettre au système politique, économique et religieux (une adoration sera exigée).


Représentation de 1856 de la chèvre sabbatique tirée du Dogme et Rituel de la Haute Magie d'Éliphas Lévi. Les armes portent les mots latins SOLVE (dissoudre) et COAGULA (coaguler). 












Que représente cette prétendue oeuvre artistique de l'artiste Marina Abramovic ? Qu'y discernez-vous ? 

Moi j'y vois un rituel de formation, du sang partiellement coagulé, une statue représentant un bambin séquestré...





______________


1.     Pour l’ensemble de la population, sauf dans les institutions de santé et le transport en commun québécois.

2.     Pour l’ensemble de la population, incluant le retrait du masque dans les transports en commun français.

mercredi 4 mai 2022

OPINION : droit d'avortement et droit de santé au Québec

La question de l'avortement dont pourrait se retirer le gouvernement fédéral des États-Unis inquiète certains Québécois. Pourtant, en y réfléchissant bien, les États américains ayant juridiction en droit criminel vont prendre le relais. En fait, le Québec est-il suffisamment bien géré et compétent pour s'ingérer ailleurs?


Préoccupation sélective des médias

De ce côté-ci de la frontière, au Québec, les médias nous présentent depuis des années l'avortement comme un droit, couvert par l'assurance publique. Par contre, quand on envisage toute autre intervention couverte par le budget de la santé au Québec, n'évolue-t-on pas plutôt dans une approche par privilèges. Cela arrive lorsqu'une personne a besoin 

  • d'une chirurgie
  • d'un traitement pour un cancer
  • de soigner un problème de peau (délais d'attente considérables pour un spécialiste)
  • de soigner une douleur au dos (non couvert par le public)
  • pour une protection en psychiatrie (gens en crise retournés à la rue ou gens en détresse sans service à court et moyen terme)
  • pour l'hébergement des familles et soins des enfants atteints de maladies particulières (multiples fondations et aide caritative)
  • et pour divers autres problèmes de santé non couverts.
La dysfonction  dans la social-démocratie du Québec va souvent jusqu'à la faible possibilité de voir un médecin à court ou moyen terme (ex. les sans rendez-vous aux consultations contingentées difficilement accessibles). 

Si l'accès au système de santé était un droit, nous y aurions un accès en temps approprié

En matière de santé, nous ne sommes pas dans un système de droit, mais d'avantages sociaux filtrés par ceux qui les dispensent. Bref, au Québec, pour une majorité d'interventions par un médecin ou un spécialiste, ce sont les médecins ou le système qui décident, directement ou indirectement, si vous y avez effectivement accès ou non. Ce n'est donc pas un droit, pour une multitude de cas, malgré que près de la moitié du budget de la province de Québec aille pour la santé. Il se perd des fonds, c'est certain. En y réfléchissant, si c'était un droit, nous aurions un accès en temps approprié. 

Donc, aurait-on au Québec (cliquer sur le lien suivant pour la suite)

vendredi 15 avril 2022

Deux millénaires après La Passion, qui crucifierait le Christ aujourd'hui?

En ce weekend de Pâques, une question peut se poser : Qui crucifierait Jésus-Christ aujourd'hui? La réponse vous surprendra... 

L'individu tend à se souvenir de la part des vérités dont il veut bien s'accommoder et ainsi à se donner un Dieu customisable ayant mis au placard la Justice. Jésus a donc beaucoup d'ennemis. Mais la source première de la Justice et du pardon appliqués adresse les conséquences de la nature humaine de l'homme imparfait, face à la nature d'un Dieu parfait. La Bible mentionne clairement que le péché entraîne la séparation éternelle de Dieu, une ruine éternelle et doit être sanctionné à cause de la nature divine. Jésus s'incarne pour mourir cloué à une croix de supp, afin de prendre sur lui, la malédiction éternelle qui nous est destinée. Dieu donne ce qu'il ordonne, afin que nous puissions être réconciliés avec lui, de rebelles que nous sommes avant de connaître Christ.


La mort de Jésus en croix n'est ni une erreur ni un échec de sa mission


La Justice supérieure nécessite une rétribution, une correction, une pénalité, une protection. C'est précisément ce que Jésus a pris sur lui.



«Les chefs des prêtres et les anciens poussent la foule à demander Barabbas et à faire mourir Jésus. Le gouverneur leur dit : « Je vais vous libérer un prisonnier. Lequel des deux voulez-vous ? » Ils répondent : « Barabbas ! » Pilate leur demande : « Qu’est-ce que je vais donc faire de Jésus qu’on appelle Messie ? » Tout le monde répond : « Cloue-le sur une croix ! » Pilate leur dit : « Qu’est-ce qu’il a donc fait de mal ? » Mais ils se mettent à crier encore plus fort : « Cloue-le sur une croix ! » Pilate voit qu’il n’arrive à rien, et l’agitation est de plus en plus grande. Alors il prend de l’eau et il se lave les mains devant la foule en disant : « Je ne suis pas responsable de la mort de cet homme. C’est votre affaire ! » Tout le peuple lui répond : « Nous acceptons d’être responsables de la mort de cet homme, nous et nos enfants ! » Alors Pilate leur libère Barabbas. Il fait frapper Jésus à coups de fouet et il le livre aux soldats pour qu’ils le clouent sur une croix» (Évangile selon Mathieu, chap. 27 traduction Parole de Vie; aujourd'hui, un représentant de la Justice pourrait tout autant prendre du désinfectant pour les mains...).


(d'après un article orignal initialement publié sur un de mes anciens blogues en 2004, révisé en 2006 et 2022)


Photo-montage : par Berthold Werner — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=18475319


En effet, on peut penser

  • Un brigand crucifié à côté de Jésus qui reconnaît mériter la mort est sauvé à la toute fin de sa vie du jugement dernier. Pourquoi donc chercher Dieu avant le moment de la mort peut-on penser? On aura bien le temps.
  • Une personne infidèle est pardonnée par Jésus. On peut tout faire si on demande ensuite "pardon" est une pensée répandue.
  • Jésus vit une vie simple, et ses disciples tiennent une bourse pour l'aide envers les pauvres de son temps. Les Églises actives dans la société et l'évangélisation ne devraient donc pas prospérer matériellement ni avoir d'infrastructures (édifices).
  • Dieu est un père toujours prêt à accueillir le "fils prodigue" qui a décidé de faire sa vie, ou sa "vie de jeunesse". Il faut que jeunesse se passe, dit-on.

Mais est-ce là la vérité correspondant à chacune de ces quatre situations ou exemples?

Notes (cliquez sur le lien pour afficher):

lundi 11 avril 2022

Pouvoir et Crise (Human Fixion) - nouvelle littéraire (short story)

Nouvelle littéraire (short story)

2020-2030 : L'un des aînés ajuste la flamme pendant que la communauté écoute. L’utilisation de la crise réelle, instrumentalisée, ou prolongée indûment, par les personnages en coulisses attendant les pouvoirs pour un «nouveau monde», se révélait trop efficace, trop vite. C'est le point où il était rendu dans son récit. Les dirigeants visibles pour certains, ou cachés pour la majorité d'entre eux, ont trouvé une voie plus rapide pour hâter un nouvel ordre politique et sociétal. Selon le plan révisé, ils avaient décidé que la voie à suivre serait de susciter crise sur crise, pour engendrer contrôle sur contrôle. Mais la Machine n'a pas réussi à berner tous les citoyens, ni tous les États. En fait, la souffrance souvent psychologique et sociale réveillait de plus en plus de gens.


«La prudence pousse le sage à ne pas se laisser mordre par le serpent, plutôt que d’espérer un antipoison» dit-il. «Mais, y a-t-il encore des sages courageux? Son regard balaya les gens réunis et les écrans. «Ils sont rares, car la méchanceté humaine des dominateurs du monde n'a pas disparu avec les violences du siècle dernier.»

Il poursuit son récit en expliquant que cette dureté s'était révélée dans toutes les couches de la société.


Le pouvoir de plus en plus sombre...

Beaucoup de rêves autoritaristes s'étaient pratiquement réalisés après le début de l'année 2020. Parmi ceux-ci, on pouvait compter, à coups de décrets permis par un virus d'une origine suspecte : 

  • Suspendre la démocratie
  • Suspendre les débats des anciens (les élus)
  • Encadrer / contraindre les tribunaux et médias pour implanter du droit nouveau
  • Acheter les avis scientifiques des spécialistes, pour servir la propagande
  • Museler les ordres professionnels du droit, de la médecine, etc.
  • Accélérer la perte du droit à la dissidence même pour les plus grands spécialistes
  • Imposer la perte du droit à la souveraineté des personnes sur leur propre corps
  • ...


Quel pouvait être l’avantage d’une crise mondiale pour le pouvoir ? 

«L'impérialisme du Rouge-Orient ne voulait pas perdre la main forte sur le commerce mondial. Les autres semblent avoir saisi l’occasion, attendant (ou facilitant ?) un tel moment qui leur offrait enfin l’opportunité de modifier en profondeur l’état des politiques des démocraties : la culture traditionnelle et les connaissances, l'économie, le droit et les constitutions, les équilibres politiques (ex. centraliser les décisions)... Chez nous, nous avons sous-estimé les méfaits de la corruption qui ronge une société comme une gangrène. On a aussi failli à discerner l'arme du mensonge, croyant que les autres voyaient le monde comme nous le voyons. Mais chez les sceptiques, par exemple du point de vue économique, nous savions que quand il y a un moins (-) dans une colonne de chiffres, un + se crée ailleurs. Mais qui récoltait ces + résultant de nos (-) ? Difficile à savoir. Les taxes, les impôts et l'inflation étaient de plus en plus élevés pour de moins en moins de services. Nous étions rendus à payer pour des médecins auxquels nous n'avions pas accès». 

On aurait cru qu'il leur fallait attendre un tel moment idéal, comme celui d'un nouveau virus ou d'une autre «crise», pour réduire sous divers aspects, le pouvoir des classes moyennes instruites et prospères; donc plus indépendantes et résistantes à la propagande. 

«Ce nouvel ordre, les seigneurs ont voulu le voir avant leur mort», dit-il. «Ils sont allés de plus en plus vite!» ajoute-t-il sèchement, comme frappé d'un tic du visage et des bras, révélant une souffrance post-traumatique. «Fallait-il rétrograder le niveau d’instruction moyen, et à cette fin, créer des difficultés d’apprentissage et des retards de développement chez nos jeunes; notre relève? Sur le fond de cette guerre nouveau genre, vécue sur de multiples fronts, la réponse est un OUI évident».


Les malveillants et les pratiquants du «chacun pour soi» et des alliances occultes (cachées)


Systématiquement les décisions destructrices des libertés

Il marque une pause, comme pour se replonger dans ses souvenirs, avant d'ajouter : 

«Étrangement, nous ne savions pas pourquoi au départ, mais face à une multitude de choix, les décisions les plus mauvaises, les plus dommageables, étaient étonnamment les décisions prises par Votre Gouvernement». 


 

Il énumère des aspects tel que :

  • socialement, avec l'interdiction de se rencontrer et les couvre-feux. 
  • pour la continuité sociale; la distanciation était bien majoritairement nommée «sociale» et non physique, et nous aurions dû nous en apercevoir.
  • économiquement en fermant les commerces, les services, une grande partie des activités normales d'une nation dynamique...
  • pour la santé physique, comme avec le retrait des vitamines des centres des personnes en perte d'autonomie et l'absence de prévention en général, ou encore, l'interdit de pratiquer les sports d'équipe ou de s'entraîner
  • Les décisions affectaient grandement aussi la jeunesse
  • les plus âgés étaient depuis des années déjà poussés vers la grande sortie dont on ne revient pas, via la mort «dans la dignité». La «crise» fit une différence sur le moyen. 
Des images défilent sur un écran au fil de son discours. 

«Les grands médias, du moins ce qu'il en restait de crédible, lorsqu'ils incarnaient une illusion de contestation parlaient parfois "d’incompétence" de nos leaders, alors que les citoyens des démocraties apparentes assistaient impuissants, mais d'une manière de plus en plus évidente, à un phénomène mondial. Les mêmes mauvaises solutions étaient suivies en divers pays, malgré le scepticisme ou l'opposition des plus grands spécialistes de l'avant-crise. Les personnages-clés mouraient avant leur fin naturelle, ou étaient enfermés ou menacés de perdre leur droit de pratique. Certaines décisions politiques centralisées semblaient donc concertées sur le moyen, bien que pas toujours au même instant précis. Souvent même, après l'essouflement d'une approche, un autre État prenait la relève, comme pour garder l'argumentaire actif dans la propagande pour le nouvel ordre. Nous savions après quelques mois que les confinements, le port du masque par toute une population, les couvre-feux qui ne faisant que concentrer plus de gens aux autres heures, toutes ces choses ne donnaient pas de résultats significatifs. Même que nos systèmes immunitaires s'affaiblissaient, comme nos spécialistes l'avaient prédit».

Ce que les citoyens ont subi et le non-recevoir rencontré par notre Gouvernement, pour un simple retour à une vie normale, nous est apparu de plus en plus préparé et non improvisé. 

Tous ceux-ci, par exemple, nous semblaient des actes planifiés:

  • Les règles instables en tirs croisés contre les citoyens que nous étions
  • Les mauvaises solutions appliquées et l'absence, comme obstinée, de correctifs malgré les évidences
  • L'empêchement de quitter le Kanada
  • Les failles ou les trous insérés dans les lois ayant permis la suspension du débat démocratique, des tribunaux, des chartes des droits et de nos constitutions. Avec le recul, nous avions compris que la crise H1N1 était une préparation (1). Ce virus a permis de montrer là où il fallait créer la brèche dans les lois, les chartes et les constitutions. La santé et la sécurité seraient le talon d'Achille de nos démocraties.
  • Le retrait de molécules de traitements médicinaux bien connues des spécialistes, pouvant traiter ou prévenir l’infection virale, etc. (2).
  • Les nouveaux «traitements» génétiques imposés, accompagnés de l'affaiblissement de nos systèmes immunitaires

«Une partie des humains nous apparaissait devenir un produit»

«On le voyait par exemple, avec
  • le droit d’imposer des traitements dont on gardait le contenu secret, et ce même si inefficaces
  • le droit d’emprisonner des résistants (prisonniers politiques) et de les traiter plus durement que les vrais criminels, ou la suspension de leur poste ou encore, priver de leur droit de pratique des professionnels
  • le retrait du droit des parents de décider pour leurs enfants, en utilisant la protection de la jeunesse pour injecter manu militari
  • l'interdit incompréhensible de traitements préventifs peu coûteux ou de simples vitamines en centres d’hébergement de personne âgées non autonomes ou l'interdit des traitements à fort potentiel (des molécules déjà existantes) et que des milliers de médecins du côté de la population ont utilisé efficacement en divers pays, conditionnellement au bon moment d’intervention et au dosage approprié.
  • l'entretien systématique de la panique pour mieux imposer des règles, maintenir une gestion par décrets et encore le changement des lois. On nous menaçait constamment de pires variants ou de nouvelles vagues virales. »

 

«Après quelques mois sans relâche, plusieurs citoyens y ont vu un coup d'État administratif ou du moins, une marche accélérée vers un autoritarisme. Mais ils se sont fait traiter de fous par des médias se déchaînant contre les populations qu'ils desservaient autrefois».


Pourtant, quelle est la distinction entre un dictateur traditionnel et l’autoritarisme montant de la nouvelle géopolitique?

Durant les années, le dictateur typique était souvent isolé, travaillait surtout pour son seul intérêt ou celui de sa famille ou de son clan, formant des alliances avec des amis du régime qui ont l’argent et la connaissance. Pour l'implantation du «nouveau monde», à la différence du dictateur traditionnel, le système issu d'une réorganisation mondiale se fondait de manière croissante sur les oligarques, des non élus, au-dessus des politiques. 


«Les plus riches en sont venus à réclamer le droit de diriger le monde»

«Ceux-ci scellaient des alliances ou adoptaient une approche commune en divers États dans le monde. Ils étaient structurés et suivaient parfois un plan détaillé, et à d'autres moments, des concepts élargis qui nous semblèrent avec les temps, des tests psychologiques ou médicaux sur population réelle. Ils s'assistaient de l'Intelligence artificielle dans ces modèles visant à resserrer les contrôles. Ils se partageaient à notre insu, les territoires, les richesses et les futurs serviteurs qu'ils voyaient en nous, considérés inférieurs. On nous avait dit que le bannissement de la foi amènerait une ère de lumières et de justice comme jamais l'humanité n'avait connue. C'est exactement le contraire qui a fondu sur nous comme un filet. Ils ont décidé encore davantage des guerres et des morts. Si nous n'allions pas à la guerre, c'est la guerre qui venait aux États alliés, sous diverses formes. Car, il n'y eut pas que des ententes, mais aussi des désaccords. Certains États ont résisté».


Tests sur populations réelles

«En situation de crise, divers essais, en diverses régions du monde, nous ont paru être effectués sur populations réelles pour déterminer jusqu’où les pouvoirs connus et méconnus pourraient aller et où se trouvaient les résistances, soit la résistance des personnes ou la résistance des mécanismes de protection dans la société civile, les lois, les droits et les constitutions ou toute autre résistance inconnue». 
«Il y avait aussi les manipulations des masses. On peut penser par exemple, à la technique psychologique de la distraction / diversion; faire regarder à un endroit, quand l'action se passait ailleurs. Ou le recours à la technique de la peur, pour induire psychologiquement la crainte de fausses menaces. Les citoyens plus informés ou plus âgés se souvenaient de ce qui a été appelé du nom de Bug de l'an 2000. Ils avaient compris qu'on avait alors entretenu la peur durant plusieurs mois, par les médias, et ce, bien avant le passage 1er janvier 2000, alors qu'en réalité, nous les citoyens avons payé les milliards pour la reprogrammation des ordinateurs des gouvernements, des grandes corporations, des banques ... La facture avait été inévitablement refilée aux gens d'en bas que nous étions. C'était ça le truc que l'on nous dissimulait par des récits décrivant les possibles catastrophes du bug, diffusés dans des médias déjà convergents».

«Dans la seconde crise, par le nouveau virus respiratoire, 10 ans après H1N1, puis par des crises différentes mais complémentaires, générant des surtaxes, faisant flancher l'Économie en se servant de l'environnement, comme si des milliards intraçables allaient sauver le monde, les leaders visibles et invisibles, ont vu qu’ils ont sous-estimé les réseaux et médias sociaux et les télécommunications en direct, comme via nos téléphones intelligents. Mais devant ce constat, ils ont dû sacrifier le fou pour la tour, car ils avaient besoin de ces canaux pour surveiller nos comportements et mesurer et tester les résistances ou le degré de soumission des populations. Mais surtout, ils voulaient comprendre comment ces moyens technologiques seraient utilisés, avec quels impacts, avant de prendre action pour modifier la technologie ou infiltrer ces canaux».

«À l’inverse, ils ont surestimé le pouvoir résiduel de leurs médias, malgré la grande convergence médiatique et malgré leur soutien financier par les gouvernements en certains endroits du monde comme le Kébec ou le Kanada en général».

«Les populations ont accepté, au Kébec sans broncher, la violation de leurs libertés pour avoir accès à quelques loisirs et à une vie en apparence libre. Ils obtenaient par une telle soumission, une apparence d’accès à une vie sociale. Ceci a accru le pouvoir pour un éveil d'une nouvelle génération de tyrans. Certains de ceux-ci pouvaient avoir bien commencé, avec de bonnes intentions, mais ils ont pris goût à dominer, séduits par leurs propres pensées et leur enrichissement matériel».


«Une tendance déjà perceptible s'est alors confirmée : la redéfinition du chef»

«Chef de parti ou chef de pays, les compétences de l'élu sont devenus pour la Machine, moins importantes, du moment qu’il était contrôlé et contrôlable, par sa coopération, ou à cause d’informations ou d'un scandale que les non élus retenaient contre lui. Une fois en place, par exemple chef d'un parti qui tardait à se soumettre, ces personnes d'influence comprenaient qu'elles pouvaient à tout moment être discréditées et que leurs histoires secrètes, souvent des pièges dans lesquels elles étaient tombées, comme la corruption, la pédophilie, et d'autres, pouvaient être révélées au grand public et les faire passer de héros à zéros en un seul jour». 

«La politique d'alors, en est venue à consister de plus en plus, pour accéder au pouvoir, en une question d'image, de perceptions, de manœuvres, mais aussi d'alliances secrètes. Après une élection remportée, les électeurs partisans ne comprenaient pas les revirements inexplicables. Des élus sur la base des libertés économiques se révélaient de tendance marxiste après quelques mois. Mais cet aspect du symbole de l'un pour le tout, le personnage servant de figure à la Machine, a bientôt culminé avec la nouvelle réalité du chef apparent;  plus ou moins servant d’image ou d'avatar d'un parti politique ou de l'opposition, aux fins de ce qui restait de ce que nous avions cru être des "démocraties" ». 

«L'on tendit, de plus en plus vite, à ne plus vraiment avoir la possibilité de choisir les valeurs directrices de la société, mais à voter pour un mirage, sous forme d'un programme et de promesses, lesquels  s'estompaient après les élections» (heureusement pour quelques politiques tordues ou idiotes).


La grande triche 

«Le choix préalable des candidats d'un parti et leur intégration dans les élections semblait désormais non aléatoire, mais une pratique parfaitement contrôlée».

«La Machine écartait les aspirants politiques indésirables des partis ayant une chance de faire élire des candidats. Dans les meilleurs cas où les personnes d'influence étaient moralemet inattaquables et jouissaient d'un appui massif de la population, les élus se trouvaient tellement contraints, médias aidant, et ceci par les haut-fonctionnaires, les lobbys oligarchiques, les manifestants rémunérés, les rumeurs et les mensonges, que leur besoin de sécurité économique les poussait à se conformer à ces pressions qu’ils recevaient. Sinon, ils seraient tombés en disgrâce et n'aurait pu trouver un travail dans un fast food (la dernière apparence de liberté). En échange de leur coopération, à servir d'avatar et de motivateurs, ils bénéficiaient de la protection de la police, de l'encensement des médias, d'un sauf-conduit devant les tribunaux et du mutisme imposé aux professionnels payés par l'État, ou par les ordres professionnels et les grands syndicats. Les individus les plus vils et sans conscience, quant à eux, en échange d’avantages, collaboraient pleinement, faisant partie du projet de la vaste réingénierie sociale».


«Le double langage est devenu un incontournable des étapes vers le nouveau monde»

«Le recours au double langage (3) devenait, pour les plus éveillés, de plus en plus manifeste à l'usage. Pour les moins attentifs qui ne cherchaient que leur avantage immédiat, ce sont les sens usuels des mots ou des expressions qui étaient perçus. Mais les mots devenaient dans les faits chargés d’un autre sens par les architectes de la réingénie sociale, tout en étant compris ou présumés dans le sens commun par les populations. Déjà, à peine entrés dans le début de la crise en 2020, les médias reprenaient en chœur ce genre de déclarations : «Le monde ne redeviendra jamais comme il était avant» OU «nous ne reviendrons plus à la vie d’avant». Mais qui avait semé cette pensée pour qu'elle soit si répandue et si facilement reçue ?

«Quoi qu'il en soit, au niveau de la compréhension, pour la majorité des gens de classe moyenne avant que s'intensifie l'oppression, cela signifiait que des pratiques de prévention seraient intégrées à la vie en société; exemple, lavage des mains, tousser dans l’angle de son bras, garder une distance ou port du masque quand on a les symptômes d'un virus respiratoire saisonnier, davantage de recours au travail hybride etc.. Mais pour les architectes en marche vers la nouvelle organisation mondiale recherchée, le monde qui ne redeviendrait jamais comme avant la crise du virus, si le plan réussit majoritairement, concernait l'état des lois et des constitutions, le déclin de l’autorité des nations au détriment d’organisations mondiales centralisatrices (ex. OMS, ONU, WEF, ...), la nouvelle Économie promue par une alliance de multimilliardaires qui tendaient vers le marxisme, dont ces derniers ne seraient évidemment pas affectés, selon le plan». 

«La préparation des prochaines étapes de crises environnementales (lutte aux GES) et économiques est ensuite devenue perceptible. Par exemple, les résistants ne se laissèrent pas tromper par des pièges comme le soi-disant virus chez les cerfs ou les oiseaux. Cette information visant des animaux en liberté et qui , selon la stratégie peu subtile, semblait créée pour un besoin, a paru constituer une préparation de l’opinion publique pour l’abattage massif d'animaux servant ceux-là, à la consommation humaine (préparation à la création d’une crise de l’approvisionnement en viande). Les sages comprirent et sonnèrent l'alerte. Dans certains cas, on voulait aussi leur imposer une spiritualité ascétique fondée sur le karma». 

«Citoyens considérés inférieurs, des dirigeants narcissiques et malveillants fantasment à l’idée de vous faire manger des criquets d’élevage, lesquels en captivité, marcheront sur leur nourriture chargée de bactéries et sur leurs excréments et déjections avant d’être réduits en farine d’insecte!»

«Consommer des insectes pouvait en fait s’avérer à l'usage, égal au présumé risque de certaines viandes dites "contaminées" pour imposer la transition. La simple "fuite" de criquets d’un site d’élevage pouvait détruire l’agriculture de toute un région. Et les résistants avaient appris que l'énergie ne fait que changer de forme. Un simple bout de bois constitue de l'énergie dormante. Mais si on l'allume, l'énergie accumulée se libére en produisant de la chaleur, de la lumière, des gaz et de la cendre. Nous savions donc que l'énergie requise pour le bon fonctionnement d'un corps humain, nécessitait une quantité équivalente de protéines, pour compenser la viande. La même quantité d'énergie devrait donc être produite par la Terre. Nous comprenions donc que c'était un leurre. Il n'y avait qu'un pas à franchir, pour craindre que pour avoir suffisamment de protéines, il leur fallait soit puiser la même quntité d'énergie de la Terre, ou sinon réduire la population; la nôtre et pas la leur, évidemment. Ceci nous préoccupa quelque peu...»

À cette dernière remarque, les rires se répandirent dans l'auditoire présent et sur des écrans.


«Ce que nous avons appelé le Neo Dark Age se concrétisait en un nouvel asservissement des masses par une nouvelle génération de tyrans, les nouveaux seigneurs d'un nouvel âge sombre»

«Ceux-ci étaient constitués de personnes ultra-riches, de présidents et vice-présidents de grandes entreprises, de propriétaires de médias, d'anciens chefs d'États, d'anciens officiers de services secrets, d'agents qui faisaient mourir ou stagner des enquêtes criminelles visant les élites amies du régime, de politiques utiles (élus ou non élus),  et ainsi de suite.» 

«Alors que l'on avait promis la prospérité pour tous et la fin de la famine dans le monde, l'égalité s'avéra une égalité dans la servitude, dans ce nouveau Moyen âge. Mais cette fois, les seigneurs de la Machine avaient accès à des technologies terrifiantes et dénuées de compassion, permettant les contrôles extrêmement resserrés des individus comme jamais auparavant. Certes, ils avaient quand même besoin de sujets ou d'un peuple pour la main d'oeuvre, de travailleurs, de professionnels …  Mais ce bassin d’individus devait absolument être contrôlable et faire preuve de soumission, en échange d'un allègement contrôlé, mais perceptible».

L'aîné leur expliquait ces choses depuis un bon moment. Et malgré leur fatigue après les efforts, les yeux des frères et des soeurs de la communauté demeuraient écarquillés, affamés qu'ils étaient de comprendre ce qui s'était vraiment passé, pendant ces dernières années durant lesquelles ils étaient trop concentrés sur leur satisfaction immédiate, incapables de se retrouver dans le silence pour réfléchir à leur vie et à leur éternité.














En avril 2022, l'adresse 

est toujours réservée et reconnu (ajout automatique du logo au début de la barre de saisie d'adresse) mais redirige le visiteur vers une page allégée sans référence au politique. 

Mais le UN NWO est toujours présent sur la page. Cela a toutes les allures d'un changement cosmétique. Le texte peut être modifié à n'importe quel moment, comme cela a déjà été fait comme le démontrent les captures ci-haut. Mais on affiche plus ou moins l'ancienne mission. Pas question d'alerter les journalistes trop curieux. Mais attention au leurre. Que signifie l'acronyme u-n_n-w-o? United Nation + New World Order. Ceci indique un changement de mission de l'organisme (deviendra centralisateur et directif, comme cela est aussi prévu pour l' O-M-S et d'autres organismes qui passent subtilement du niveau conseil au niveau autoritaire, suite à des votes sur des grands principes par nos chefs. Ces principes sont ensuite traduits  en nouvelles règles strictes et apauvrissantes par des officiers et haut fonctionnaires complices.



______________

1.     Surtout quand de nombreux pays ont cessé de suivre les directives d'une organisation non gouvernementale bien connue et que la médecin représentant l'organisme, voyageait de pays en pays en avion, pour promouvoir la vaccination, alors qu'elle-même, voyageant, ne l'avait pas prise après des mois, prétextant ne pas avoir eu le temps... La frime de la H1N1 devenait plus évidente que le nez au milieu du visage d'un clown. Cette crise s'estompa, mais des droits furent changés (pour y faire la brèche), ou à tout le moins des interventions ont été planifiées, en vue d'une prochaine fenêtre d'opportunité dont les initiés connaissaient les critères.

2.     Notamment, pour que l’usage de vaccins expérimentaux puisse être autorisé, il fallait qu’il n’y ait pas de traitement efficace. La condition a été réalisée. Heureusement, des médecins, surtout hors du Kébec et du Kanada, ont continué de traiter pour éviter l’aggravation et l’hospitalisation des porteurs diagnostiqués (pour les plus à risque).

3.     Ce double langage correspond à la novlangue, provenant de l'expression « Newspeak », un terme apparu dans le roman de George Orwell : 1984.