mardi 31 mars 2020

Coronavirus : Le point du 31 mars 2020 avec Didier Raoult et fait IMPORTANT

Le Dr Didier Raoult a présenté une partie de son équipe lors d'un point d'actualité, le 31 mars 2020 (vidéo plus bas). Il a aussi mentionné une information IMPORTANTE sur  les conditions d'un traitement antiviral optimal à l'HydroxyChloroquine: le traitement le plus tôt possible, avant les complications, lorsque le diagnostic est établi.


Si nos élites mondialistes ont voulu ridiculiser le Docteur et Professeur Didier Raoult pour son opinion en marge et en avance sur les non initiés à l'administration de certains produits antiviraux, il reste que les résultats de la persévérance d'une équipe de Marseille, montrent qu'il y a du savoir faire. Une belle leçon d'humilité pour ceux qui critiquent et ont critiqué le Dr Raoult.


Docteur et Professeur Didier Raoult - IHU Méditerranée-Infection. Capture écran du point d'actualité du 31 mars 2020.

Ceci dit, on apprend aussi une nouvelle chose importante (nouvelle pour nous)


Pour être efficace, le traitement combiné doit être prescrit le plus tôt possible après le diagnostic et non quand les complications et lésions sont commencées. Dans un encadrement médical approprié et en évitant l'auto-médication, le traitement est sécuritaire, évite des complications (et donc des coûts et la surcharge du système de santé) et sauve des vies. Voici les mots utilisés par le Dr et Pr Didier:

«Globalement, on a des résultats satisfaisants et je suis très content que l'équipe chinoise vienne de publier (...) l'étude comparative entre l'hydroxychloroquine contre pas de traitement, et qui montre que dans notre cible, qui sont les gens qui sont modérément malades, diagnostiqués au début, l'hydroxychloroquine a un succès important. Il faut faire attention. Quand il est trop tard, il est trop tard. C'est-à-dire au moment où les gens (...) ont des syndromes de détresse respiratoire, quand on est obligé de les intuber, en réalité ce n'est plus l'heure des antiviraux. On sait ça pour la grippe, par exemple, les médicaments qui marchent pour la grippe, ça marche dans les deux premiers jours de la grippe. Là ça marche un peu plus longtemps, mais c'est au début qu'il faut lutter contre les virus. Une fois que les lésions sont faites, (...) on n'arrive plus à les arrêter. Donc nous on continue à avoir des données, comme les Chinois, qui montrent que quand on soigne, détecte les gens; quand on les soigne au début de la maladie, on a des résultats qui évitent un évolution défavorable et on est contents que les choses aillent dans ce sens là» (Dr Didier Raoult,  IHU Méditerranée-Infection, Point d'actualité du 31 mars 2020).
On comprend dans le non verbal qu'il y a eu de la vague au cours des derniers jours en raison des attaques médiatiques et réponses, que des gens sont fatigués et que la défensive face à ces attaques, a empêché le professeur de pouvoir exposer les faits comme il aurait voulu. L'on sent bien ici la présence d'un spécialiste des communications, aussi présenté dans l'équipe, non visible sur les captures d'écran.

On ne peut que dire : Félicitations à la super-équipe et prenez soin de vous afin de pouvoir prendre encore soin des autres.

Bonne nouvelle - Le point avec Didier Raoult (31 mars 2020)





Le Dr Raoult a présenté une partie de l'équipe non visible dans la controverse qui a précédé; ici, une douzaine de spécialistes qui travaillent pour éviter des complications et des décès. Mais l'on compte aussi un spécialiste des communications, des bénévoles et la bonne marche dépend aussi de la collaboration de la population qui respecte les files d'attente pour les tests et parmi laquelle on compte aussi des célébrités qui font la file comme les autres.






vendredi 27 mars 2020

Conte politique : Le chef immature de l'ADANAC et ses habitants

Politi-Conte du pays de l' ADANAC (publié initialement le 22 février 2020, l'affichage en preview des plus récents articles a rencontré un bug)


Le POLITI-Conte



Un jour, en ADANAC, les gens ont élu comme chef un garçon immature, beau de figure et bien vêtu. Son père s'était enrichi en politique, dont chaque année, il retirait plus que son salaire. Les vrais dirigeants du pays, des gens fort riches, se dirent que celui qui se croyait chef pouvait dire des âneries, du moment qu'il souriait et amusait les sujets de ses farandoles et habits. 





Pendant qu'eux détournaient les lourdes taxes et impôts pour se bâtir des villas de joie et donner aux ogres dirigeant des contrées, les sujets riaient avec le garçon. Mais les vrais chefs, dans l'ombre, s'occupaient de l’avenir. 





Un jour, les sujets se réveillèrent sans maison et pauvres. Le boulanger, le charretier, plusieurs fermaient boutique. Les sujets n'eurent plus assez d'argent pour avoir des enfants, ni pour vivre bien jusqu'à la fin de leur temps terrestre. 




Trop tard, hélas, les sujets comprirent que l'on s'était amusé d'eux; que l'on ne doit pas laisser les autres planifier sa propre vie. D'autres personnes vinrent habiter leurs maisons et
les pauvres sujets, travaillèrent jusqu'à la fin de leurs jours, de plus en plus courbés et sans argent pour se reposer, ni endroit pour se faire soigner.



Désolé si ça ne finit pas bien. 
Dessine-moi des images à colorier pour illustrer cette histoire.





Loi 21 Québec : Neutralité de l'État vs religions et croyances (article en reprise)

Quand un ou une employée, établie en autorité ou non, porte un symbole religieux ou politico-religieux évident, sur la base de la soit-disant liberté de religion, en réalité, une telle manifestation «parle» constamment de sa religion ou de sa préférence politique. Nous sommes entrés dans une dimension différente de la discrimination, laquelle consiste à se reconnaître pour favoriser sa communauté.


Bien au-delà de ce qui est couvert par la loi 21 (symboles religieux pour les personnes en autorité dans la fonction publique) nous entrons dans un autre monde. Vers 2016, lors d'une sortie pour un dîner informel à mon travail, j'étais passager à bord d'un véhicule, où prenait aussi place un directeur d'équipe de travail, ainsi qu'un coordonnateur d'employés. J'ai fait une plaisanterie sous forme de question, concernant un outil dans un coffre servant à des rénovations, dans le véhicule privé, en référence à ISIS. Un collègue l'a trouvée drôle. Le directeur de section a regardé notre hôte conducteur (le "dispatcher"), et a dit, sur un ton paternaliste: «On ne parle pas de religion». On aurait dit une phrase sortie directement d'une formation. Récemment, je repensais à cet événement. Un lien est devenu évident entre
  1. le fait de porter un symbole religieux accepté au travail pour les uns
  2. lequel équivaut par le fait même, à exprimer sa religion en continu, dans la sphère du travail.

Porter des signes religieux ostentatoires, que l'on soit en autorité ou non, c'est en fait parler de sa religion ou manifester sa religion d'une manière ininterrompue


Une nouvelle variante assez insidieuse de la discrimination se dessine via le chemin du communautarisme engendré par un mauvais usage des chartes des droits pour créer du favoritisme. Une discrimination favorise les uns mais l'expression équivalente est arbitrairement interdite aux autres. Avec la loi 21 au Québec, on met probablement à tort trop l'emphase sur la relation du symbole à l'autorité, en négligeant une autre dimension tout aussi importante de la discrimination.

Une nouvelle discrimination religieuse est déjà en marche au Canada


Quand un ou une employée porte un symbole religieux ou politico-religieux évident, sur la base de la soit-disant liberté de religion, en réalité, une telle personne «parle» constamment de sa religion (ou de sa préférence politique religieuse), même sans utiliser un seul mot. Si je portais une chemise ou un pull ou un bouton de 3 cm de diamètre indiquant ma foi chrétienne via mon code vestimentaire au travail, ce serait une manière de parler constamment de ma religion sans dire un seul mot. Or, c'est justement ce

Le Brexit le film - Très bon sauf la petite morale

Je n'avais pas encore vu le film Le Brexit de HBO; c'est fait.


Dans une scène imaginée, Dominic Cumings, le stratège et statisticien derrière le camp du Leave (Brexit) pour le référendum aperçoit en gare, après le passage d'un train urbain, son rival Craig Oliver, responsable de la campagne pour le maintien dans l'Union Européenne. Les deux se dévisagent après une sale journée, face à face de part et d'autre de la voie. Une députée pro-maintien vient d'être assassinée, à quelques jours du référendum pour le #Brexit. Ceci peut tout faire basculer.  Mais c'est avant tout un événement triste, dramatique et culpabilisant. Les deux se retrouvent dans un pub.


Brexit, le téléfilm d'HBO met en vedette Benedict Cumberbatch dans le rôle de Dominic Cummings.

La fameuse scène proche du referendum, après le décès par balle d'une député du camp du non (1)

(je paraphrase la conversation)

Craig Oliver, responsable pour le maintien dans l'UE se la joue avec la culpabilité: «Vous exploitez la haine !»
Dominic lui répond que la réalité, c'est qu'après de nombreuses années au pouvoir, le parti n'a pas su répondre aux besoins des travailleurs, ni écouter le peuple.

Craig : «vous mentez aux gens pour gagner».
Dominic : [Silence]. Aucune réponse n'est nécessaire, car les politiciens du parti en déclin ont joué constamment la carte du travail et de l'économie, et la classe des travailleurs manuels n'a pas vu les emplois ou les conditions promises. Ils ont donc menti.

Dans les faits, pour le référendum du #Brexit, les deux principaux clans ont eu recours à des analyses et croisements statistiques de données, en puisant dans les réseaux sociaux pour connaître les opinions. Mais cela n'est pas illégal. Ce qui le serait, ou ce qui serait au moins immoral, c'est d'accéder aux contenus non publiques et aux messages privés, et plus encore, de conserver en réserve ces informations de façon nominale, pour une occasion future (ex. nuire à un candidat).

L'ancien Premier Ministre du Canada et économiste, Stephen Harper, aide à éclairer ce qui se passe en Occident, avec la montée des partis populistes


Cet aspect de la vérité sur l'abandon des employés manuels, c'est aussi ce que Stephen Harper, ancien PM du Canada écrit dans son livre Right Here, Right Now (2). Les théoriciens politiques (en fait, des raconteurs d'histoires de licornes politiques) ont fait croire aux gens, que leurs politiques amèneraient l'emploi et protégeraient les revenus des retraités. FAUX.

_____________
1.     Comme souvent aux États-Unis ou même ailleurs, ces fusillades arrivent à des moments cruciaux, où les conservateurs populistes connaissent des victoires importantes ou sont en très bonne position. Si l'on voulait nuire aux candidats conservateurs (ex. à Trump aux États-Unis), on ne ferait pas mieux. Car alors les médias occultent les bons coups et parlent de la violence de la droite. Dans les faits, cette députée n'a pas été la seule victime, mais aussi un homme de 60 ans dans le même secteur.

2.   Stephen HARPER. Right Here Right Now.
Très intéressant mais déjà en partie décalé par rapport à une réalité montante.
Right Here Right Now, Couverture.

Right Here Right Now, extrait de la page 10

Right Here Right Now, extrait de la page 17


mercredi 25 mars 2020

Canada et coronavirus : Le Parlement est suprême; pas le parti Libéral !

En politique canadienne et selon la Constitution, «C'est le parlement qui est suprême, pas le parti libéral». Après une tentative de profiter du Coronavirus COVID-19, pour tenter de s'approprier des pouvoirs illimités de dépenser sans aller devant la Chambre des Communes jusqu'en 2021, le parti Libéral de Justin Trudeau a été bloqué par l'opposition. Voici le message du député Conservateur et candidat à la chefferie, Erin O'Toole: 


Un premier ministre qui pourrait ne même plus être là en décembre prochain exigeait des pouvoirs extraordinaires de dépenser ici et AILLEURS, pour près de 2 ans. Ce dernier a frayé souvent avec les approches autoritaires.

LETTRE CIRCULAIRE - «On a bloqué le coup d'état de Trudeau»

Mercredi, 25 mars 2020

(Début du communiqué)

«On a bloqué le coup d'état de Trudeau»


«Les députés conservateurs nous ont sauvé d'une dictature sans précédent de plus d'un an.
Hier, on a bien vu l'importance des Communes.
Cyniques comme c'est pas possible, Justin Trudeau et Bill Morneau ont tout fait pour se servir de l'urgence COVID 19 pour s'accaparer de pouvoirs sans précédent. 
Pas même en temps de guerre un gouvernement n'a-t-il tenté de se donner des pouvoirs de taxer et de dépenser sans limites, en dehors de tout contrôle parlementaire.
Dieu merci, nos députés conservateurs se sont levés pour défendre les Canadiens et, dans les mots de Pierre Poilièvre, ont clamé : Pas question !
Ils ont forcé Trudeau à reculer, l'obligeant à rendre des comptes et garantissant que les travailleurs canadiens recevront l'aide dont ils ont désespérément besoin.
J'étais là avec quelques-uns de mes collègues conservateurs. Je veux remercier tous les députés qui se sont joints à nous pour contrecarrer l'indécent coup de force de Trudeau.
Il fallait faire la leçon à Trudeau : c'est le parlement qui est suprême, pas le parti libéral.

J'espère qu'il ait bien compris, mais je ne me fais pas d'illusions.



L'hon. Erin O'Toole, député - Durham»



-30-
(fin du communiqué)

C'est avec une participation réduite au minimum, afin d'avoir quorum, que le débat a démarré et que le texte proposé a été bloqué. Les Libéraux demandaient un pouvoir sans précédent en raison du coronavirus. Heureusement,

lundi 2 mars 2020

Loi 21 : Neutralité de l'État versus religions et croyances

Quand un ou une employée, établie en autorité ou non, porte un symbole religieux ou politico-religieux évident, sur la base de la soit-disant liberté de religion, en réalité, une telle manifestation «parle» constamment de sa religion ou de sa préférence politique. Nous sommes entrés dans une dimension différente de la discrimination, laquelle consiste à se reconnaître pour favoriser sa communauté.


Bien au-delà de ce qui est couvert par la loi 21 (symboles religieux pour les personnes en autorité dans la fonction publique) nous entrons dans un autre monde. Vers 2016, lors d'une sortie pour un dîner informel à mon travail, j'étais passager à bord d'un véhicule, où prenait aussi place un directeur d'équipe de travail, ainsi qu'un coordonnateur d'employés. J'ai fait une plaisanterie sous forme de question, concernant un outil dans un coffre servant à des rénovations, dans le véhicule privé, en référence à ISIS. Un collègue l'a trouvée drôle. Le directeur de section a regardé notre hôte conducteur (le "dispatcher"), et a dit, sur un ton paternaliste: «On ne parle pas de religion». On aurait dit une phrase sortie directement d'une formation. Récemment, je repensais à cet événement. Un lien est devenu évident entre
  1. le fait de porter un symbole religieux accepté au travail pour les uns
  2. lequel équivaut par le fait même, à exprimer sa religion en continu, dans la sphère du travail.

Porter des signes religieux ostentatoires, que l'on soit en autorité ou non, c'est en fait parler de sa religion ou manifester sa religion d'une manière ininterrompue


Une nouvelle variante assez insidieuse de la discrimination se dessine via le chemin du communautarisme engendré par un mauvais usage des chartes des droits pour créer du favoritisme. Une discrimination favorise les uns mais l'expression équivalente est arbitrairement interdite aux autres. Avec la loi 21 au Québec, on met probablement à tort trop l'emphase sur la relation du symbole à l'autorité, en négligeant une autre dimension tout aussi importante de la discrimination.

Une nouvelle discrimination religieuse est déjà en marche au Canada


Quand un ou une employée porte un symbole religieux ou politico-religieux évident, sur la base de la soit-disant liberté de religion, en réalité, une telle personne «parle» constamment de sa religion (ou de sa préférence politique religieuse), même sans utiliser un seul mot. Si je portais une chemise ou un pull ou un bouton de 3 cm de diamètre indiquant ma foi chrétienne via mon code vestimentaire au travail, ce serait une manière de parler constamment de ma religion sans dire un seul mot. Or, c'est justement ce