Dans l'enjeu de santé en ce qui concerne l'autisme et de possibles liens avec les vaccins, les CDC (Centres for Desease Control and Prevention), ces organismes fédéraux, phares de la surveillance régionale de la santé aux États-Unis, sont obligés de nuancer leur prise de position historique sur les liens possibles entre la vaccination des enfants et la hausse des cas d'autisme.
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| Image générée par IA (AI) selon mes critères |
Le Data Quality Act (DQA) (Loi sur la Qualité des données) oblige la révision des affirmations des Agences fédérales.
Dans les faits, il est clairement établi que les études qui démontraient des liens ont été ignorées par les autorités de la santé
Le 19 novembre 2025, le site officiel CDC.gov a modifié la diffusion de sa position historique sur les éventuels liens de causalité entre les vaccins et l'apparition de l'autisme chez les enfants.
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| https://www.cdc.gov/vaccine-safety/about/autism.html, page consultée et annotée le 23 novembre 2025. |
«Points clés
- L'affirmation selon laquelle « les vaccins ne causent pas l'autisme » n'est pas fondée sur des preuves, car les études n'ont pas exclu la possibilité que les vaccins infantiles causent l'autisme.
- Les études soutenant un lien ont été ignorées par les autorités sanitaires.
- Le HHS [1] a lancé une évaluation complète des causes de l'autisme, comprenant des recherches sur les mécanismes biologiques plausibles et les liens de causalité potentiels.
«Les vaccins ne causent pas l'autisme*» [2 *]
«Conformément à la loi sur la qualité des données (Data Quality Act, DQA), qui exige des agences fédérales qu'elles garantissent la qualité, l'objectivité, l'utilité et l'intégrité des informations qu'elles diffusent au public, cette page web a été mise à jour car l'affirmation « Les vaccins ne causent pas l'autisme » n'est pas une affirmation fondée sur des preuves. Les études scientifiques n'ont pas exclu la possibilité que les vaccins infantiles contribuent au développement de l'autisme. Cependant, cette affirmation a toujours été diffusée par le CDC et d'autres agences fédérales de santé au sein du HHS afin de prévenir la réticence à la vaccination.«Le HHS a lancé une évaluation complète des causes de l'autisme, comprenant des recherches sur les mécanismes biologiques plausibles et les liens de causalité potentiels. Cette page web sera mise à jour avec les données scientifiques de référence issues de l'évaluation complète des causes de l'autisme menée par le HHS, conformément à la DQA.«Conformément aux exigences de la DQA, les informations suivantes détaillent l'état des preuves et des études, ainsi que leur absence, concernant les vaccins et les troubles du spectre autistique (autisme) et décrivent les orientations futures de la recherche du HHS en la matière.
«Contexte
«Il est essentiel de répondre aux questions que se posent les Américains sur les causes de l'autisme afin de garantir que les recommandations en matière de santé publique répondent de manière adéquate à leurs préoccupations. Environ un parent sur deux, d'enfants autistes interrogés, estime que les vaccins ont joué un rôle dans l'autisme de leur enfant, citant souvent les vaccins que leur enfant a reçus au cours des six premiers mois de sa vie (diphtérie, tétanos, coqueluche (DTaP), hépatite B (HepB), Haemophilus influenzae de type B (Hib), poliovirus inactivé (IPV) et pneumocoque conjugué (PCV)) et un vaccin administré au cours de la première année de vie ou après (rougeole, oreillons, rubéole (ROR)). Ce lien n'a pas été étudié de manière adéquate et approfondie par la communauté scientifique.»
FIN DE LA TRADUCTION de L'EXRAIT
OPINION SOCIÉTALE
La façon de manipuler les données de la santé humaine, pour convaincre ou interdire d'un traitement ou forcer l'acceptation d'un vaccin, soulève des enjeux éthiques majeurs. Le parent mal informé et l'enfant pourraient vivre des conséquences à divers degrés de gravité pour la durée de vie de l'enfant, simplement pour accommoder les fonctionnaires, les chercheurs qui arrivent aux conclusions attendues d'eux (solution de facilité) et potentiellement les grandes pharmaceutiques. Évidemment, ce blogue sera vraisemblablement censuré (les visites divisées par 10, un mois après l'avoir déjà été depuis mon article précédent sur le projet de loi 1 au Québec, et de nombreuses fois les années précédentes, mais je ne peux me taire. Je connais personnellement un père dont le fils a eu le système immunitaire détruit à l'âge de 2 ans, et je dois avouer que je me pose de sérieuses questions.
Une fois de plus, l'on observe que ce n'est pas l'instruction qui amène les valeurs morales. Celles-ci sont souvent achetables. Il faut constamment surveiller les chercheurs et leurs sponsers et les tenir responsables des raccourcis et des fraudes potentielles. L'humain ne peut générer une conscience éclairée chez l'autre. Il faut, dans notre réalité, des contrôles et des conséquences à la mesure de la gravité des actions. On ne rie pas avec la santé et la liberté de prendre des décisions éclairées, sur la base des bonnes informations. J'ai observé au Québec, ces dernières années, que l'argument du «1 cas sur 1 million» est souvent devenu le fruit d'une légende urbaine ou un dicton, visant à mettre fin à tout débat légitime. À ce point, nous ne sommes plus dans la science et ses limites, mais dans le conditionnement des masses.
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1. équivalent aux États-Unis du Ministère de la Santé canadien, avec en plus, un volet de services sociaux

