lundi 11 avril 2022

Pouvoir et Crise (Human Fixion) - nouvelle littéraire (short story)

Nouvelle littéraire (short story)

2020-2030 : L'un des aînés ajuste la flamme pendant que la communauté écoute. L’utilisation de la crise réelle, instrumentalisée, ou prolongée indûment, par les personnages en coulisses attendant les pouvoirs pour un «nouveau monde», se révélait trop efficace, trop vite. C'est le point où il était rendu dans son récit. Les dirigeants visibles pour certains, ou cachés pour la majorité d'entre eux, ont trouvé une voie plus rapide pour hâter un nouvel ordre politique et sociétal. Selon le plan révisé, ils avaient décidé que la voie à suivre serait de susciter crise sur crise, pour engendrer contrôle sur contrôle. Mais la Machine n'a pas réussi à berner tous les citoyens, ni tous les États. En fait, la souffrance souvent psychologique et sociale réveillait de plus en plus de gens.


«La prudence pousse le sage à ne pas se laisser mordre par le serpent, plutôt que d’espérer un antipoison» dit-il. «Mais, y a-t-il encore des sages courageux? Son regard balaya les gens réunis et les écrans. «Ils sont rares, car la méchanceté humaine des dominateurs du monde n'a pas disparu avec les violences du siècle dernier.»

Il poursuit son récit en expliquant que cette dureté s'était révélée dans toutes les couches de la société.


Le pouvoir de plus en plus sombre...

Beaucoup de rêves autoritaristes s'étaient pratiquement réalisés après le début de l'année 2020. Parmi ceux-ci, on pouvait compter, à coups de décrets permis par un virus d'une origine suspecte : 

  • Suspendre la démocratie
  • Suspendre les débats des anciens (les élus)
  • Encadrer / contraindre les tribunaux et médias pour implanter du droit nouveau
  • Acheter les avis scientifiques des spécialistes, pour servir la propagande
  • Museler les ordres professionnels du droit, de la médecine, etc.
  • Accélérer la perte du droit à la dissidence même pour les plus grands spécialistes
  • Imposer la perte du droit à la souveraineté des personnes sur leur propre corps
  • ...


Quel pouvait être l’avantage d’une crise mondiale pour le pouvoir ? 

«L'impérialisme du Rouge-Orient ne voulait pas perdre la main forte sur le commerce mondial. Les autres semblent avoir saisi l’occasion, attendant (ou facilitant ?) un tel moment qui leur offrait enfin l’opportunité de modifier en profondeur l’état des politiques des démocraties : la culture traditionnelle et les connaissances, l'économie, le droit et les constitutions, les équilibres politiques (ex. centraliser les décisions)... Chez nous, nous avons sous-estimé les méfaits de la corruption qui ronge une société comme une gangrène. On a aussi failli à discerner l'arme du mensonge, croyant que les autres voyaient le monde comme nous le voyons. Mais chez les sceptiques, par exemple du point de vue économique, nous savions que quand il y a un moins (-) dans une colonne de chiffres, un + se crée ailleurs. Mais qui récoltait ces + résultant de nos (-) ? Difficile à savoir. Les taxes, les impôts et l'inflation étaient de plus en plus élevés pour de moins en moins de services. Nous étions rendus à payer pour des médecins auxquels nous n'avions pas accès». 

On aurait cru qu'il leur fallait attendre un tel moment idéal, comme celui d'un nouveau virus ou d'une autre «crise», pour réduire sous divers aspects, le pouvoir des classes moyennes instruites et prospères; donc plus indépendantes et résistantes à la propagande. 

«Ce nouvel ordre, les seigneurs ont voulu le voir avant leur mort», dit-il. «Ils sont allés de plus en plus vite!» ajoute-t-il sèchement, comme frappé d'un tic du visage et des bras, révélant une souffrance post-traumatique. «Fallait-il rétrograder le niveau d’instruction moyen, et à cette fin, créer des difficultés d’apprentissage et des retards de développement chez nos jeunes; notre relève? Sur le fond de cette guerre nouveau genre, vécue sur de multiples fronts, la réponse est un OUI évident».


Les malveillants et les pratiquants du «chacun pour soi» et des alliances occultes (cachées)


Systématiquement les décisions destructrices des libertés

Il marque une pause, comme pour se replonger dans ses souvenirs, avant d'ajouter : 

«Étrangement, nous ne savions pas pourquoi au départ, mais face à une multitude de choix, les décisions les plus mauvaises, les plus dommageables, étaient étonnamment les décisions prises par Votre Gouvernement». 


 

Il énumère des aspects tel que :

  • socialement, avec l'interdiction de se rencontrer et les couvre-feux. 
  • pour la continuité sociale; la distanciation était bien majoritairement nommée «sociale» et non physique, et nous aurions dû nous en apercevoir.
  • économiquement en fermant les commerces, les services, une grande partie des activités normales d'une nation dynamique...
  • pour la santé physique, comme avec le retrait des vitamines des centres des personnes en perte d'autonomie et l'absence de prévention en général, ou encore, l'interdit de pratiquer les sports d'équipe ou de s'entraîner
  • Les décisions affectaient grandement aussi la jeunesse
  • les plus âgés étaient depuis des années déjà poussés vers la grande sortie dont on ne revient pas, via la mort «dans la dignité». La «crise» fit une différence sur le moyen. 
Des images défilent sur un écran au fil de son discours. 

«Les grands médias, du moins ce qu'il en restait de crédible, lorsqu'ils incarnaient une illusion de contestation parlaient parfois "d’incompétence" de nos leaders, alors que les citoyens des démocraties apparentes assistaient impuissants, mais d'une manière de plus en plus évidente, à un phénomène mondial. Les mêmes mauvaises solutions étaient suivies en divers pays, malgré le scepticisme ou l'opposition des plus grands spécialistes de l'avant-crise. Les personnages-clés mouraient avant leur fin naturelle, ou étaient enfermés ou menacés de perdre leur droit de pratique. Certaines décisions politiques centralisées semblaient donc concertées sur le moyen, bien que pas toujours au même instant précis. Souvent même, après l'essouflement d'une approche, un autre État prenait la relève, comme pour garder l'argumentaire actif dans la propagande pour le nouvel ordre. Nous savions après quelques mois que les confinements, le port du masque par toute une population, les couvre-feux qui ne faisant que concentrer plus de gens aux autres heures, toutes ces choses ne donnaient pas de résultats significatifs. Même que nos systèmes immunitaires s'affaiblissaient, comme nos spécialistes l'avaient prédit».

Ce que les citoyens ont subi et le non-recevoir rencontré par notre Gouvernement, pour un simple retour à une vie normale, nous est apparu de plus en plus préparé et non improvisé. 

Tous ceux-ci, par exemple, nous semblaient des actes planifiés:

  • Les règles instables en tirs croisés contre les citoyens que nous étions
  • Les mauvaises solutions appliquées et l'absence, comme obstinée, de correctifs malgré les évidences
  • L'empêchement de quitter le Kanada
  • Les failles ou les trous insérés dans les lois ayant permis la suspension du débat démocratique, des tribunaux, des chartes des droits et de nos constitutions. Avec le recul, nous avions compris que la crise H1N1 était une préparation (1). Ce virus a permis de montrer là où il fallait créer la brèche dans les lois, les chartes et les constitutions. La santé et la sécurité seraient le talon d'Achille de nos démocraties.
  • Le retrait de molécules de traitements médicinaux bien connues des spécialistes, pouvant traiter ou prévenir l’infection virale, etc. (2).
  • Les nouveaux «traitements» génétiques imposés, accompagnés de l'affaiblissement de nos systèmes immunitaires

«Une partie des humains nous apparaissait devenir un produit»

«On le voyait par exemple, avec
  • le droit d’imposer des traitements dont on gardait le contenu secret, et ce même si inefficaces
  • le droit d’emprisonner des résistants (prisonniers politiques) et de les traiter plus durement que les vrais criminels, ou la suspension de leur poste ou encore, priver de leur droit de pratique des professionnels
  • le retrait du droit des parents de décider pour leurs enfants, en utilisant la protection de la jeunesse pour injecter manu militari
  • l'interdit incompréhensible de traitements préventifs peu coûteux ou de simples vitamines en centres d’hébergement de personne âgées non autonomes ou l'interdit des traitements à fort potentiel (des molécules déjà existantes) et que des milliers de médecins du côté de la population ont utilisé efficacement en divers pays, conditionnellement au bon moment d’intervention et au dosage approprié.
  • l'entretien systématique de la panique pour mieux imposer des règles, maintenir une gestion par décrets et encore le changement des lois. On nous menaçait constamment de pires variants ou de nouvelles vagues virales. »

 

«Après quelques mois sans relâche, plusieurs citoyens y ont vu un coup d'État administratif ou du moins, une marche accélérée vers un autoritarisme. Mais ils se sont fait traiter de fous par des médias se déchaînant contre les populations qu'ils desservaient autrefois».


Pourtant, quelle est la distinction entre un dictateur traditionnel et l’autoritarisme montant de la nouvelle géopolitique?

Durant les années, le dictateur typique était souvent isolé, travaillait surtout pour son seul intérêt ou celui de sa famille ou de son clan, formant des alliances avec des amis du régime qui ont l’argent et la connaissance. Pour l'implantation du «nouveau monde», à la différence du dictateur traditionnel, le système issu d'une réorganisation mondiale se fondait de manière croissante sur les oligarques, des non élus, au-dessus des politiques. 


«Les plus riches en sont venus à réclamer le droit de diriger le monde»

«Ceux-ci scellaient des alliances ou adoptaient une approche commune en divers États dans le monde. Ils étaient structurés et suivaient parfois un plan détaillé, et à d'autres moments, des concepts élargis qui nous semblèrent avec les temps, des tests psychologiques ou médicaux sur population réelle. Ils s'assistaient de l'Intelligence artificielle dans ces modèles visant à resserrer les contrôles. Ils se partageaient à notre insu, les territoires, les richesses et les futurs serviteurs qu'ils voyaient en nous, considérés inférieurs. On nous avait dit que le bannissement de la foi amènerait une ère de lumières et de justice comme jamais l'humanité n'avait connue. C'est exactement le contraire qui a fondu sur nous comme un filet. Ils ont décidé encore davantage des guerres et des morts. Si nous n'allions pas à la guerre, c'est la guerre qui venait aux États alliés, sous diverses formes. Car, il n'y eut pas que des ententes, mais aussi des désaccords. Certains États ont résisté».


Tests sur populations réelles

«En situation de crise, divers essais, en diverses régions du monde, nous ont paru être effectués sur populations réelles pour déterminer jusqu’où les pouvoirs connus et méconnus pourraient aller et où se trouvaient les résistances, soit la résistance des personnes ou la résistance des mécanismes de protection dans la société civile, les lois, les droits et les constitutions ou toute autre résistance inconnue». 
«Il y avait aussi les manipulations des masses. On peut penser par exemple, à la technique psychologique de la distraction / diversion; faire regarder à un endroit, quand l'action se passait ailleurs. Ou le recours à la technique de la peur, pour induire psychologiquement la crainte de fausses menaces. Les citoyens plus informés ou plus âgés se souvenaient de ce qui a été appelé du nom de Bug de l'an 2000. Ils avaient compris qu'on avait alors entretenu la peur durant plusieurs mois, par les médias, et ce, bien avant le passage 1er janvier 2000, alors qu'en réalité, nous les citoyens avons payé les milliards pour la reprogrammation des ordinateurs des gouvernements, des grandes corporations, des banques ... La facture avait été inévitablement refilée aux gens d'en bas que nous étions. C'était ça le truc que l'on nous dissimulait par des récits décrivant les possibles catastrophes du bug, diffusés dans des médias déjà convergents».

«Dans la seconde crise, par le nouveau virus respiratoire, 10 ans après H1N1, puis par des crises différentes mais complémentaires, générant des surtaxes, faisant flancher l'Économie en se servant de l'environnement, comme si des milliards intraçables allaient sauver le monde, les leaders visibles et invisibles, ont vu qu’ils ont sous-estimé les réseaux et médias sociaux et les télécommunications en direct, comme via nos téléphones intelligents. Mais devant ce constat, ils ont dû sacrifier le fou pour la tour, car ils avaient besoin de ces canaux pour surveiller nos comportements et mesurer et tester les résistances ou le degré de soumission des populations. Mais surtout, ils voulaient comprendre comment ces moyens technologiques seraient utilisés, avec quels impacts, avant de prendre action pour modifier la technologie ou infiltrer ces canaux».

«À l’inverse, ils ont surestimé le pouvoir résiduel de leurs médias, malgré la grande convergence médiatique et malgré leur soutien financier par les gouvernements en certains endroits du monde comme le Kébec ou le Kanada en général».

«Les populations ont accepté, au Kébec sans broncher, la violation de leurs libertés pour avoir accès à quelques loisirs et à une vie en apparence libre. Ils obtenaient par une telle soumission, une apparence d’accès à une vie sociale. Ceci a accru le pouvoir pour un éveil d'une nouvelle génération de tyrans. Certains de ceux-ci pouvaient avoir bien commencé, avec de bonnes intentions, mais ils ont pris goût à dominer, séduits par leurs propres pensées et leur enrichissement matériel».


«Une tendance déjà perceptible s'est alors confirmée : la redéfinition du chef»

«Chef de parti ou chef de pays, les compétences de l'élu sont devenus pour la Machine, moins importantes, du moment qu’il était contrôlé et contrôlable, par sa coopération, ou à cause d’informations ou d'un scandale que les non élus retenaient contre lui. Une fois en place, par exemple chef d'un parti qui tardait à se soumettre, ces personnes d'influence comprenaient qu'elles pouvaient à tout moment être discréditées et que leurs histoires secrètes, souvent des pièges dans lesquels elles étaient tombées, comme la corruption, la pédophilie, et d'autres, pouvaient être révélées au grand public et les faire passer de héros à zéros en un seul jour». 

«La politique d'alors, en est venue à consister de plus en plus, pour accéder au pouvoir, en une question d'image, de perceptions, de manœuvres, mais aussi d'alliances secrètes. Après une élection remportée, les électeurs partisans ne comprenaient pas les revirements inexplicables. Des élus sur la base des libertés économiques se révélaient de tendance marxiste après quelques mois. Mais cet aspect du symbole de l'un pour le tout, le personnage servant de figure à la Machine, a bientôt culminé avec la nouvelle réalité du chef apparent;  plus ou moins servant d’image ou d'avatar d'un parti politique ou de l'opposition, aux fins de ce qui restait de ce que nous avions cru être des "démocraties" ». 

«L'on tendit, de plus en plus vite, à ne plus vraiment avoir la possibilité de choisir les valeurs directrices de la société, mais à voter pour un mirage, sous forme d'un programme et de promesses, lesquels  s'estompaient après les élections» (heureusement pour quelques politiques tordues ou idiotes).


La grande triche 

«Le choix préalable des candidats d'un parti et leur intégration dans les élections semblait désormais non aléatoire, mais une pratique parfaitement contrôlée».

«La Machine écartait les aspirants politiques indésirables des partis ayant une chance de faire élire des candidats. Dans les meilleurs cas où les personnes d'influence étaient moralemet inattaquables et jouissaient d'un appui massif de la population, les élus se trouvaient tellement contraints, médias aidant, et ceci par les haut-fonctionnaires, les lobbys oligarchiques, les manifestants rémunérés, les rumeurs et les mensonges, que leur besoin de sécurité économique les poussait à se conformer à ces pressions qu’ils recevaient. Sinon, ils seraient tombés en disgrâce et n'aurait pu trouver un travail dans un fast food (la dernière apparence de liberté). En échange de leur coopération, à servir d'avatar et de motivateurs, ils bénéficiaient de la protection de la police, de l'encensement des médias, d'un sauf-conduit devant les tribunaux et du mutisme imposé aux professionnels payés par l'État, ou par les ordres professionnels et les grands syndicats. Les individus les plus vils et sans conscience, quant à eux, en échange d’avantages, collaboraient pleinement, faisant partie du projet de la vaste réingénierie sociale».


«Le double langage est devenu un incontournable des étapes vers le nouveau monde»

«Le recours au double langage (3) devenait, pour les plus éveillés, de plus en plus manifeste à l'usage. Pour les moins attentifs qui ne cherchaient que leur avantage immédiat, ce sont les sens usuels des mots ou des expressions qui étaient perçus. Mais les mots devenaient dans les faits chargés d’un autre sens par les architectes de la réingénie sociale, tout en étant compris ou présumés dans le sens commun par les populations. Déjà, à peine entrés dans le début de la crise en 2020, les médias reprenaient en chœur ce genre de déclarations : «Le monde ne redeviendra jamais comme il était avant» OU «nous ne reviendrons plus à la vie d’avant». Mais qui avait semé cette pensée pour qu'elle soit si répandue et si facilement reçue ?

«Quoi qu'il en soit, au niveau de la compréhension, pour la majorité des gens de classe moyenne avant que s'intensifie l'oppression, cela signifiait que des pratiques de prévention seraient intégrées à la vie en société; exemple, lavage des mains, tousser dans l’angle de son bras, garder une distance ou port du masque quand on a les symptômes d'un virus respiratoire saisonnier, davantage de recours au travail hybride etc.. Mais pour les architectes en marche vers la nouvelle organisation mondiale recherchée, le monde qui ne redeviendrait jamais comme avant la crise du virus, si le plan réussit majoritairement, concernait l'état des lois et des constitutions, le déclin de l’autorité des nations au détriment d’organisations mondiales centralisatrices (ex. OMS, ONU, WEF, ...), la nouvelle Économie promue par une alliance de multimilliardaires qui tendaient vers le marxisme, dont ces derniers ne seraient évidemment pas affectés, selon le plan». 

«La préparation des prochaines étapes de crises environnementales (lutte aux GES) et économiques est ensuite devenue perceptible. Par exemple, les résistants ne se laissèrent pas tromper par des pièges comme le soi-disant virus chez les cerfs ou les oiseaux. Cette information visant des animaux en liberté et qui , selon la stratégie peu subtile, semblait créée pour un besoin, a paru constituer une préparation de l’opinion publique pour l’abattage massif d'animaux servant ceux-là, à la consommation humaine (préparation à la création d’une crise de l’approvisionnement en viande). Les sages comprirent et sonnèrent l'alerte. Dans certains cas, on voulait aussi leur imposer une spiritualité ascétique fondée sur le karma». 

«Citoyens considérés inférieurs, des dirigeants narcissiques et malveillants fantasment à l’idée de vous faire manger des criquets d’élevage, lesquels en captivité, marcheront sur leur nourriture chargée de bactéries et sur leurs excréments et déjections avant d’être réduits en farine d’insecte!»

«Consommer des insectes pouvait en fait s’avérer à l'usage, égal au présumé risque de certaines viandes dites "contaminées" pour imposer la transition. La simple "fuite" de criquets d’un site d’élevage pouvait détruire l’agriculture de toute un région. Et les résistants avaient appris que l'énergie ne fait que changer de forme. Un simple bout de bois constitue de l'énergie dormante. Mais si on l'allume, l'énergie accumulée se libére en produisant de la chaleur, de la lumière, des gaz et de la cendre. Nous savions donc que l'énergie requise pour le bon fonctionnement d'un corps humain, nécessitait une quantité équivalente de protéines, pour compenser la viande. La même quantité d'énergie devrait donc être produite par la Terre. Nous comprenions donc que c'était un leurre. Il n'y avait qu'un pas à franchir, pour craindre que pour avoir suffisamment de protéines, il leur fallait soit puiser la même quntité d'énergie de la Terre, ou sinon réduire la population; la nôtre et pas la leur, évidemment. Ceci nous préoccupa quelque peu...»

À cette dernière remarque, les rires se répandirent dans l'auditoire présent et sur des écrans.


«Ce que nous avons appelé le Neo Dark Age se concrétisait en un nouvel asservissement des masses par une nouvelle génération de tyrans, les nouveaux seigneurs d'un nouvel âge sombre»

«Ceux-ci étaient constitués de personnes ultra-riches, de présidents et vice-présidents de grandes entreprises, de propriétaires de médias, d'anciens chefs d'États, d'anciens officiers de services secrets, d'agents qui faisaient mourir ou stagner des enquêtes criminelles visant les élites amies du régime, de politiques utiles (élus ou non élus),  et ainsi de suite.» 

«Alors que l'on avait promis la prospérité pour tous et la fin de la famine dans le monde, l'égalité s'avéra une égalité dans la servitude, dans ce nouveau Moyen âge. Mais cette fois, les seigneurs de la Machine avaient accès à des technologies terrifiantes et dénuées de compassion, permettant les contrôles extrêmement resserrés des individus comme jamais auparavant. Certes, ils avaient quand même besoin de sujets ou d'un peuple pour la main d'oeuvre, de travailleurs, de professionnels …  Mais ce bassin d’individus devait absolument être contrôlable et faire preuve de soumission, en échange d'un allègement contrôlé, mais perceptible».

L'aîné leur expliquait ces choses depuis un bon moment. Et malgré leur fatigue après les efforts, les yeux des frères et des soeurs de la communauté demeuraient écarquillés, affamés qu'ils étaient de comprendre ce qui s'était vraiment passé, pendant ces dernières années durant lesquelles ils étaient trop concentrés sur leur satisfaction immédiate, incapables de se retrouver dans le silence pour réfléchir à leur vie et à leur éternité.














En avril 2022, l'adresse 

est toujours réservée et reconnu (ajout automatique du logo au début de la barre de saisie d'adresse) mais redirige le visiteur vers une page allégée sans référence au politique. 

Mais le UN NWO est toujours présent sur la page. Cela a toutes les allures d'un changement cosmétique. Le texte peut être modifié à n'importe quel moment, comme cela a déjà été fait comme le démontrent les captures ci-haut. Mais on affiche plus ou moins l'ancienne mission. Pas question d'alerter les journalistes trop curieux. Mais attention au leurre. Que signifie l'acronyme u-n_n-w-o? United Nation + New World Order. Ceci indique un changement de mission de l'organisme (deviendra centralisateur et directif, comme cela est aussi prévu pour l' O-M-S et d'autres organismes qui passent subtilement du niveau conseil au niveau autoritaire, suite à des votes sur des grands principes par nos chefs. Ces principes sont ensuite traduits  en nouvelles règles strictes et apauvrissantes par des officiers et haut fonctionnaires complices.



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1.     Surtout quand de nombreux pays ont cessé de suivre les directives d'une organisation non gouvernementale bien connue et que la médecin représentant l'organisme, voyageait de pays en pays en avion, pour promouvoir la vaccination, alors qu'elle-même, voyageant, ne l'avait pas prise après des mois, prétextant ne pas avoir eu le temps... La frime de la H1N1 devenait plus évidente que le nez au milieu du visage d'un clown. Cette crise s'estompa, mais des droits furent changés (pour y faire la brèche), ou à tout le moins des interventions ont été planifiées, en vue d'une prochaine fenêtre d'opportunité dont les initiés connaissaient les critères.

2.     Notamment, pour que l’usage de vaccins expérimentaux puisse être autorisé, il fallait qu’il n’y ait pas de traitement efficace. La condition a été réalisée. Heureusement, des médecins, surtout hors du Kébec et du Kanada, ont continué de traiter pour éviter l’aggravation et l’hospitalisation des porteurs diagnostiqués (pour les plus à risque).

3.     Ce double langage correspond à la novlangue, provenant de l'expression « Newspeak », un terme apparu dans le roman de George Orwell : 1984.