samedi 24 août 2013

Cannabis, haschisch, méthamphétamine et autre camelote : L'Enjeu au Québec

REFONTE de l'article original
Retour du lobby du Cannabis: Nationaliser les drogues?
Si la légalité d'une activité et son contrôle par l'État et l'éducation garantissent sa protection contre le milieu criminel, alors pourquoi avons-nous la corruption et la criminalisation dans le marché public de la construction au Québec, particulièrement dans la grande région de Montréal? Faut-il cesser d'utiliser l'argent à cause des faux-monnayeurs qui demain, frauderont autrement (sinon déjà; ex par cartes de crédit clônées, etc.)? De même, le problème du cannabis est beaucoup plus complexe. Et il y a la santé et la sécurité du public. 
(24 août 2013, dernière modification du texte : 2013-12-05)
(crédits photo : Sûreté du Québec)

En France, déjà en 2004, le cannabis était présent dans 1 accident mortel de la route sur 5 (davantage encore en y additionnant les accidents avec blessés). L'âge de la première consommation y était en moyenne de 13 ans. Il faut de la même manière savoir que présentement, au Québec, les comprimés de méthamphétamines, amphétamines et autres, vendus autour de 5 dollars l'unité, ont la cote auprès des jeunes. L'État devrait-il alors, suivant cette logique, légaliser cette merde en comprimés, vendue aux enfants et aux adolescents? Face à ces arguments dignes d'une radio étudiante d'école secondaire, avouons que notre jeunesse est en DANGER PÉRIL.

Pour une compilation de données québécoises : 

Cannabis et conduite automobile au Québec : danger bien réel (28 août 2013) http://yapasdpresse.blogspot.ca/2013/08/cannabis-et-conduite-automobile-au.html


1)  L'argument de l'impossible contrôle de la consommation des drogues