mardi 3 septembre 2019

Le débat entourant UNPLANNED révèle une facette troublante... (article 2 sur 2)

La controverse créée de toutes pièces pour le film UNPLANNED révèle une facette troublante... Si l'on aimait vraiment les femmes, on voudrait qu'elles soient parfaitement informées des aspects de l'avortement, et pas uniquement en privé, par une représentante du mercenaire.

Dernière modification : 5 SEPT. 2019

Informer ne se limite pas à faire du cas par cas non validé par des tiers, en privé. C'est justement ce qui a motivé Abby Johnson, ex-directrice d'une clinique d'avortement, à partager son vécu. Son histoire personnelle publiée dans un livre a inspiré le film UNPLANNED (année de sortie 2019). J'ai commandé le film contesté, UNPLANNED de mon «pusher» de films; achat tout à fait légal d'un fournisseur, mais dans une pensée illégale du point de vue du Parti Libéral du Canada et de ses médias subventionnés, lesquels ont tout fait pour interdire le film et le démoniser au Canada. Je l'ai visionné à deux reprises, afin d'identifier ce que les Canadiens n'auraient  supposément pas le droit de savoir. Derrière le blocus médiatique, une pseudo-élite se donne un rôle de magistère de la pensée qu'elle n'a pas selon la Constitution du pays et par moment, avec des méthodes proches du monde criminalisé (menaces de morts aux propriétaires de salles de cinéma). Ce fût très enrichissant de confirmer ce que je croyais. Une industrie puissante ne veut pas que vous sachiez ce qui se passe vraiment et ce qui n'est pas dit à la «cliente», lors d'un avortement en clinique privée. Elle veut que vous croyiez que l'enfant à naître, à 10 ou 12 semaines de développement intra-utérin, serait comme un simple kyste ou comme une masse cancéreuse, ne ressentant pas la douleur, sans identité propre, sans activité cérébrale et sans son propre code d'ADN humain, entièrement reçu à la conception.

Cachez la réalité de l'avortement «que je ne saurais voir» : La novlangue dans le contrôle du message


Déjà, dans la novlangue (1), l'avortement n'est plus un avortement provoqué (à distinguer des avortements de type fausse couche), mais une interruption volontaire de grossesse (IVG). La différence? Elle est évidente. Dans le terme original «avortement», on interrompt subitement, par un acte irréversible et intrusif, la vie d'un humain en développement dans l'endroit vivant le mieux protégé. Dans le second, on met fin à un phénomène, la grossesse, à peine visible à l’œil avant 12 semaines.

De quoi ont-ils peur, en fait, que le public soit informé?


Ces dernières années, aux États-Unis, des militants anti-avortement, à l'occasion d'une manifestation pacifique et silencieuse, présentaient aux automobilistes des affiches montrant des images de fœtus humains à différentes étapes, selon les semaines du développement. Des activistes qui militaient pour l'avortement, se disant plutôt pour la liberté de choix quelque soit la raison de l'acte d'avortement, faisaient une contre-manifestation. Les contre-manifestants que l'on peut qualifier de «anti-information» allaient s'interférer entre les affiches des pro-vie et les passants. Le but était évidemment que les passants ne puissent pas voir les affiches pro-vie. QuestionMAIS de quoi avaient-ils peur? Et de quoi ont-ils toujours peur, si selon eux, le public est déjà bien informé des stades de développement fœtal dans l'utérus? Les avortements à 10 semaines et plus sont pourtant chose courante aux États-Unis et au Canada.








Le même vieux mensonge


Cela me ramène au milieu des années 1980 au Canada. Un documentaire était sorti aux États-Unis, réalisé par un médecin, le Dr Bernard N. Nathanson. Ce dernier expliquait un avortement à un stade de 12 semaines du développement, comme il s'en pratiquait déjà régulièrement. Au moment de la réalisation du film The Silent Scream, il se pratiquait plus de 4,000 avortements quotidiennement aux États-Unis, en comptant 7 jours par semaine et davantage encore (plus de 4700 par jours) en comptant 6 jours (1,5 millions par année selon les chiffres de 1983). Se servant d'un modèle 3D en plastique et des instruments des avorteurs de l'époque, le spécialiste exposait au départ les étapes. Puis, il faisait la narration d'un avortement filmé (conservé) pour la première fois en vidéo, grace à une échographie (ultrasons), en temps réel, tout en se servant d'un modèle plus grand pour s'ajuster à l'échelle de l'écran et expliquer les images. Dans une salle d'une ville de l'est du Québec où une projection publique était organisée pour la version en français, «Le Cri muet», trois personnes d'un CLSC (2) s'étaient déplacées; une femme médecin et deux infirmières. 

Après le film, la femme médecin manifestait une vive opposition. Elle affirmait que ce qui nous était montré dans le documentaire, n'avait rien à voir avec une échographie d'un fœtus de 12 semaines. L'échographie montrait en image agrandie, un fœtus qui bougeait et se mettait à tenter de se soustraire aux outils d'un avorteur et semblait éprouver de la douleur et se débattre pour sa survie. Puis, quand ses membres commençaient à être déchiquetés, il semblait que sa bouche s'ouvrait de douleur pour émettre un cri que personne n'entendait; d'où le titre du film, The Silent Scream. La femme médecin contrariée et sur la défensive avait semé un doute sur le stade de développement de l'enfant en développement. Puis, quand j'ai été marié et que nous avons eu nos deux enfants, nous avons eu accès aux échographies en temps réel. Maintenant, je pouvais prendre la mesure du mensonge qui nous avait été PUBLIQUEMENT raconté par les professionnelles du CLSC (où se pratiquait un certain nombre d'avortements). Et encore là, on ne parle même pas d'une médecin de clinique privée. La femme médecin nous avait sans équivoque affirmé avec une assurance béton, qu'un fœtus de 12 semaines ne pouvait se mouvoir comme dans le film du Dr Nathanson. Elle induisait aussi la pensée que le fœtus ne ressent pas la douleur et n'aurait pas d'instinct de survie. Elle voulait ignorer que le réalisateur du film était lui-même Docteur en obstétrique et qu'il avait déjà pratiqué un grand nombre d'avortements en cliniques privées aux États-Unis en plus de suivre les avancées de l'obstétrique, science médicale pour laquelle le fœtus pouvait maintenant devenir un patient comme la mère, en raison des nouvelles connaissances et technologies.

Le Dr Nathanson nous apprenait dans sa narration, que le jeune médecin qui a pratiqué l'avortement du film The Silent Scream, pratiquait lui-même dans deux cliniques et avait déjà réalisé près de 10,000 avortements. Il avait accepté d'assister à l'étape du montage. Lorsqu'il a réalisé ce qu'il avait fait, il est sorti du studio, tellement il était interpellé. Il est revenu pour terminer son  travail d'observation du montage, mais il a cessé à ce moment précis, de pratiquer des avortements. La jeune femme qui opérait la caméra ultrason pour capter la vidéo en temps réel était une fervente féministe, pro-avortement. Elle aussi a été tellement émue par les images animées qu'elle a captées, qu'elle a cessé de faire la promotion de l'avortement.

Un étrange hasard


Pour en revenir à cette projection du film dans une ville de l'est du Québec, par un étrange hasard, la femme médecin d'un CLSC, elle-même enceinte au moment de la soirée de la projection du film, a eu un accident d'automobile peu de temps après et a perdu la vie, emportant avec elle, le petit être qui se développait en elle.

Industrie abortive et argent


Selon le Dr Bernard Nathanson (1983-1984), les montants impliqués dans les avortements aux États-Unis ont tellement connu de croissance entre la légalisation dans les années '60 et les années '80 (documentaire The Silent Scream), que cela a eu pour effet que certaines cliniques d'avortement ont commencé à se développer sur le modèle des franchises de fast food, et que l'on a constaté que ces opérations se sont mises à attirer de plus en plus l'argent du crime organisé.

Beaucoup de questions et très peu de réponses, la censure web aidant

  • Pourquoi, par exemple, comme le dit Abby Johnson, l'ancienne directrice d'une clinique de Planned Parenthood dont le vécu a inspiré le film UNPLANNED, les images du bébé obtenues par échographie dans ces cliniques d'avortement ne sont-elles pas montrées aux clientes qui viennent en évaluation pour un avortement? On apprend que le but de l'échographie initiale, en plus de confirmer la grossesse, sert surtout à déterminer le coût de l'acte, qui sera facturé en fonction du stade de développement du fœtus. On ne tient pas à ce que la femme ait une image mentale de l'enfant qu'elle porte.
  • De même, pourquoi les femmes sont-elles désinformées sur la véritable nature d'un avortement qui leur est décrit comme s'il s'agissait d'extraire un kyste ou un tumeur et non d'expulser un être distinct pour lequel son corps à elle vit une transformation importante, physique et hormonale pour, durant des mois, préparer la vie et non le deuil? 
  • Pourquoi le silence sur les conséquences psychiques possibles d'un avortement qui équivaut, au mieux, de façon hormonale, à une fausse couche pour le corps et le psychisme?
  • Ou encore, Pourquoi, par exemple, ne peut-on pas obtenir le coût réel d'un avortement au Québec? (3). Aux États-Unis, vers 1983, le coût d'un avortement était en moyenne de 300$ à 400 dollars, selon le Dr Nathanson (en argent de 1983, non actualisé). 

Que vaut la vie humaine?


Il y a évidemment, toute la question de la valeur de la vie humaine.

Le bouddhisme tibétain est évidemment aussi contre l'avortement (confirmé par le dalaï lama).

Dans le bouddhisme tibétain, on secoue les punaises d'un sac de couchage pour ne pas leur faire de mal, car elles sont des êtres vivants. Dans son livre de témoignage J'étais bouddhiste, Martin Kamphuis, un ancien initié de l'ésotérisme et du bouddhisme tibétain, raconte cette autre anecdote, de l'un de ses séjours de méditation dans une cabane au pied de l'Himalaya:
«Je remarquai un jour un rat qui s'introduisit dans mon sac suspendu à une  poutre du toit. Saisissant l'occasion, je pris le sac à deux mains, et relâchai la bête à quelques kilomètres plus loin - car on ne doit pas tuer les animaux» (pp. 88-89)
Dans un autre extrême, au Québec, dans la sécularité dite «humaniste», l'avortement est considéré comme un acte banal, un traitement, pour extraire une masse informe et sans vie. Toute femme enceinte se le fait offrir comme option, même si elle ne donne aucun signe de cette intention.


Dans le christianisme, l'identité de l'enfant à naître est déjà en programmation dans la matrice naturelle:

«Psaume 139
16Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient; 
Et sur ton livre étaient tous inscrits ceux qui m'étaient destinés
Avant qu'aucun d'eux existât.». 

Les traducteurs ont parfois eu tendance à ajouter l'expression «les jours», pour remplacer le «ceux» du texte originale hébreux. Mais il est question de la formation des membres du corps avant qu'ils existent et non d'une prédestination du contenu des jours à vivre. D'ailleurs, c'est la compréhension las plus naturelle que montre la mise en parallèle du texte hébreu et d'une équivalence en anglais (4). Le livre dont il est question ici, est comme un programme écrit pour le développement (ADN ?).

Dans la réalité politique récente des États-Unis


Le président Barack Obama est né en 1961 de 2 parents étudiants. Premier président Noir aux États-Unis, il n'aurait probablement pas vu le jour, si la grossesse de la mère était arrivée 20 ans plus tard. Ses parents étaient jeunes  et étudiants, il est très probable, si l'on considère le contexte depuis les années 1980, qu'il n'aurait pas vu le jour.

L'amplification récente du débat aux États-Unis : une réaction à un extrême


Aux États-Unis, l'amplification récente du débat et le resserrement des règles par certains États, provient et cela les québécois ne le savent pas, du fait que certains États veulent autoriser l'avortement jusqu'à la naissance. Si la femme décide durant le travail qu'elle ne désire plus l'enfant, il serait alors possible de le laisser mourir et même de faire des prélèvements de tissus et d'organes humains pour la science ou à d'autres fins obscures.

Vide juridique sur le statut de l'enfant à naître au Canada


Au Canada, à la fin des années 1980, le sénat qui a refusé de sanctionner en troisième lecture, la loi présentée sous le Gouvernement de Brian Mulroney, nous a laissés avec un vide juridique sur le statut du fœtus qui est laissé, quel illogisme pour un droit de vie ou de mort, au choix du médecin avorteur qui est aussi celui qui émet les informations. Il est donc certain, ici aussi, que des avortements soient pratiqués sur des êtres humains viables. Nous vivons à cet égard sous un réel manque de neutralité.

Cela me rappelle quand, dans la région où je vivais étant enfant, les exploitants de services d'ambulances de la ville la plus proche (transport des blessés et malades) étaient les mêmes entreprises familiales qui étaient thanatologues (croque-morts pour employer un ancien terme). Cela était vrai pour 2 entreprises de la petite ville. Imaginez: le malade ou blessé transporté d'urgence vers l'hôpital était plus payant, valait plus cher pour l'entreprise, mort que vivant. N'est-ce pas la même chose pour l'enfant à naître, dans ce contexte?

L'ignorance et la censure, comme système


Dans les sociétés très étouffées par ses élites et pseudo-élites, comme le Québec (barrière de la langue encore réelle pour ceux qui ne font pas partie des mieux nantis), il est difficile d'obtenir toutes les informations nécessaires sur certains sujets tabous. Mais on prétend que l'interdit de savoir est pour vous garder informés et libres... Quelle duperie! Souvenez-vous que sans certaines pressions sociales, le film Unplanned aurait été totalement interdit de projection au Canada. Il a finalement été autorisé dans quelques salles, en anglais seulement, ce qui signifie que le Québec n'est pas libre de savoir. De quoi a-t-on peur en réalité? On a peur que vous connaissiez la réalité entourant l'avortement et ses conséquences. Si l'on mettait autant d'efforts à informer sur la vraie nature du fœtus et sur la contraception, cela prouverait que l'intention réelle est pour protéger la femme et les femmes à naître. 


Il existe plusieurs de ces tabous au Québec, dont il n'est pas permis de débattre librement:

  • Le refus de considérer comme une solution normale et naturelle de rendre l'enfant à terme et de le confier pour adoption. On entend que ce serait inenvisageable et cruel pour une mère, mais on permet les ententes de mères-porteuses sur commande. Quelle hypocrisie!
  • Le vide juridique sur le statut de l'enfant à naître, au Canada. En théorie, il serait possible de pratiquer les avortements jusque quelques heures avant la naissance. Ceci vient du fait qu'à la fin des années '80, le sénat a refusé de confirmer en troisième lecture, une loi présentée par le Gouvernement Progressiste-Conservateur pour fixer une limite pour l'âge du fœtus avorté. Seule la conscience de l'avorteur(e) trace la ligne de la vie humaine.
  • L'avortement et le développement fœtal vs la responsabilité de la contraception n'est pas ouvertement abordé comme pour ne pas choquer les couples. À entendre les militants anti-information, ce serait toutes des agressions ou des grossesses chez des mineures, ce qui est évidemment nous prendre pour des idiots. Les statistiques démontrent que les avortements sont majoritairement chez des femmes qui ont dépassé la mi-vingtaine.
  • La sélection du sexe, chez certaines cultures, même lorsqu'établies au Canada, et qui favorisent activement la sélection des garçons et l'avortement des filles. Des spécialistes le soulignent et soulèvent des avertissements sur la dérive, mais leurs propos trouvent peu d'échos médiatiques.
  • Les enfants élevés en troupeau dans les services de garde et les effets de ceci sur leur développement psychosocial, leurs relations, etc. 
  • Le «modèle» socioéconomique québécois qui fait, pour prendre un exemple, que vous avez théoriquement un système de santé «gratis» (lequel vous payez via beaucoup d'impôts et taxes), mais auquel les gens établis ici depuis des générations ont de plus en plus de difficultés à avoir un accès réel et efficace. Même lorsque, en théorie, vous avez un médecin, bonne chance pour obtenir un rendez-vous en cas de besoin. On peut ajouter: les gens qui meurent en étant sur les listes d'attente d'un traitement médical. Par exemple, un ami d'un collègue de travail diagnostiqué avec cancer avait un délai minimal de 3 mois avant le début des traitements. Il est décédé. Mon beau-père atteint d'un cancer du pancréas a été appelé après plusieurs semaines pour voir le spécialiste oncologue de l'hôpital régional qui lui a dit en le voyant: «Ha! Je ne savais pas que vous étiez en stade aussi avancé». Il a fait inutilement 1h30 de route aller-retour, sans obtenir aucun soulagement. Et tout le monde dénonce les longues attentes dans les urgences des hôpitaux.
  • Le mépris des garçons dans le système scolaire avec un modèle d'enseignement très féminisé au cours des dernières décennies; enseignement statique, assis sur une chaise. Les parents des garçons qui bougent subissent des pressions énormes pour médicamenter ceux-ci.
  • La souffrance de plusieurs pères et l'injustice qui les frappe, lors des divorces
  • Le recul du droit au respect des valeurs des familles chrétiennes, versus le respect en VIP aux autres religions et aux spiritualités ésotériques; témoignant d'un antichristianisme rampant au Canada.
  • Et d'autres encore.
1.     Terme repris et adapté du Roman d'anticipation de George Orwell 1984 (publié en 1949).

2.     CLSC: Centre local de services communautaires. Au Québec, cette désignation correspondait à peu près à un centre de services médicaux et sociaux d'un petit centre urbain ou d'un quartier, surtout pour la santé et les services complémentaires (vaccination, clinique médicale publique, consultation en santé mentale, services aux personnes handicapées, aide aux aînés, ...). Aujourd'hui, les CISSS ont remplacé les CLSC.

3.     Ici, on dit que l'avortement est «gratuit». On doit tenter de déduire le coût (basé sur un calcul statistique nombre d'avortement vs coût global) qui selon la formule serait d'environ 150 dollars par avortement; chiffre évidemment IMPOSSIBLE. Nous sommes obligés de conclure que la majorité des frais ne sont pas pris en compte. Si c'était vrai à 150 dollars l'acte, ce serait moins que le prix de réparation d'une dent chez le dentiste. J'ai eu une réparation à deux molaires récemment, et cela m'a coûté 500 $ canadiens. L'intervention de mon dentiste qui a duré environ une heure, impliquait uniquement 1 professionnel et 1 assistante (plus les locaux et équipements). Conclusion: on nous cache donc une partie des statistiques au Québec. Même au public, il faudrait tenir compte de 3 salaires, des examens pré- et post-intervention, ainsi que des coûts d'administration et d'amortissement et d'entretien des équipements et parties de bâtiments utilisés au fin de l'avortement. Ne pas tenir compte de tous ces frais réels fausse les données du secteur public où l'avortement peut être payé à l'heure (au professionnel, oui possiblement 150$ pour une heure) et non à l'acte. Il faut inclure les examens préalables, les autres salaires outre le professionnel, l'acte comme tel, et le ou les suivis et éventuelles complications (médication, infection, dépression postpartum, complications post-intervention, ...).

4.     Cette capture-écran montre le texte interlinéaire anglais et hébreu tiré du Psaume 139.16 de la Bible. Aucune référence aux «jours destinés» à la vie après la naissance de cette personne n'est mentionnée ici, contrairement à certaines traductions. On y voit plutôt que le développement des membres est comme programmé dans un «livre» avant qu'aucun d'eux existent. Ceci fait étonnamment penser au code génétique (ADN). Même un handicap, s'il est naturel, serait déjà connu et permis de Dieu, selon ce texte.