jeudi 17 octobre 2013

24h Montréal – Actualités - Accès à l'information: cri d'alarme de la Commissaire à l'information du Canada


Mon point de vue

Un problème à mon avis, concernant cette nouvelle sur la loi d'accès, c'est que cette législation ratisse trop large. Visant au départ surtout à permettre à une personne d'accéder aux dossiers de l'État la concernant, pour en corriger les erreurs ou inexactitudes ou indiscrétions éventuelles, on a accouché d'un droit de faire travailler des fonctionnaires des divers paliers de gouvernements durant des heures, voire des jours ou des semaines pour compiler des données en vue de satisfaire une curiosité idéologique, ou politique, ou citoyenne très (trop) personnalisée ou orientée. Il faudrait en resserrer et recadrer le recours aux demandes d'accès à l'information. Une loi ça se change. En restreignant, on pourrait mettre plus de pression sur ce qui est essentiel et choisir ses combats. 

Par exemple, connaître comment sont gérés et dépensés les fonds publics, ou savoir ce qui est dans notre dossier médical, ou autre, cela est important. Et que les partis politiques ne s'y trompent pas. Ce qui les sert aujourd'hui dans l'opposition pour dénicher des scandales réels ou imaginaires chez un parti au pouvoir, devient leur épée de Damoclès (suspendue au-dessus de leur tête par un seul crin de cheval) s'ils prennent le pouvoir.

Un exemple : connaître les dépenses de Radio-Canada, société d'État largement subventionnée

Moi par exemple, j'aimerais savoir si les producteurs et auteurs du Bye Bye à Radio-Canada sont des salariés ou des travailleurs autonomes (Ce qu'on nous dit ces dernières années). Parce que s'ils sont des travailleurs autonomes (entrepreneurs), alors où sont les appels d'offres publics des dernières années dans la communauté artistique? Dans quels journaux ou plate-formes ces appels d'offres ont-ils été publiés? Et s'ils sont salariés, quels salaires ont touché ces donc, «fonctionnaires» de l'État, millionnaires de surcroît, très à gauche économiquement, pour promouvoir durant des années leurs positions idéologiques et politiques?

La fille de Woody Allen : « J'avais 7 ans. Je voulais que ça s'arrête » -- Enfant de la Société -- Sott.net

Une affaire de  plus de 20 ans refait surface. Dylan, une des filles adoptives de Mia Farrow et Woody Allen, a déclaré pour le magazine Vanity Fair de novembre 2013 se souvenir d'une agression sexuelle par son père adoptif. Mia Farrow avait déjà soulevé le cas en 1992, mais faute de preuves, aucune accusation n'avait été portée. 
«En 1992, Mia Farrow accusait son compagnon d'avoir abusé sexuellement de leur fille adoptive Dylan, qui avait sept ans à l'époque des faits. Faute de preuves, Woody Allen n'a jamais été jugé. Dans le numéro de novembre du magazine Vanity Fair, Dylan ose parler pour la première fois de ses souvenirs "dans le grenier" qui la hantent encore aujourd'hui».
Le problème pour le célèbre cinéaste, c'est que Dylan parle ouvertement ces jours-ci, dans le Vanity Fair de novembre. Une histoire à suivre...
«Dylan se fait appeler Malone désormais. Incapable de prononcer le nom de Woody Allen, elle explique qu'elle a "peur de lui, peur de son image." Elle raconte: "Je me souviens que j'étais mal à l'aise, j'avais l'impression d'être une mauvaise fille parce que je n'avais pas envie de faire ce qu'il me demandait de faire. J'avais sept ans, je l'ai fait parce que j'avais peur. Je voulais que ça s'arrête.»
Allen serait-il un pédophile adoptif?
La fille de Woody Allen : « J'avais 7 ans. Je voulais que ça s'arrête » -- Enfant de la Société -- Sott.nethttp://fr.sott.net/article/17138-La-fille-de-Woody-Allen-J-avais-7-ans-Je-voulais-que-cas-arrete

D'autres faits troublants:
  • Le cinéaste et producteur a épousé une autre de ses filles adoptives, Soon-Yi; c'est un fait connu.
  • Mais deux autres enfants adoptifs seraient décédés. Un de ses enfants le soupçonne.
Cela fait beaucoup pour une seule famille.