vendredi 20 janvier 2023

Mur des BRICS 2030 ? Le basculement de l'Économie mondiale

L'AUTRE AGENDA 2030 - 

2030, c'est l'année qui revient souvent dans les agendas politiques et économiques qui menacent et plombent les «démocraties» en déclin de l'Occident, avec des objectifs environnementaux ultra-stricts, dont sont exclus par exemple, la Chine, la Russie et l'Inde. Ces objectifs repris par un discours propagandiste consistent de plus en plus en des incitations à cesser de vivre d'une part; avec les pénalités et surtaxes élevées pour des régions du monde (comme le Canada et le Québec) qui ont déjà des normes strictes et des filets sociaux. Certains initiés ou autres, informés, savaient ce qui suit, mais pas le commun des mortels. Il s'agit de cette révolte des 5 pays désignés comme les BRICS. Ceux-ci sont en voie de quitter la devise américaine. Et cela est plus qu'amorcé (voir la vidéo en fin d'article). 

Comprenez-moi bien. Je n'appuie pas davantage le capitalisme néolibéral qui n'a rien à voir avec les libertés (relatives et souvent corruptibles) permises par le capitalisme plus modéré. Mais soyez conscients que l'alternative suivante balaie les droits humains plus encore que la corruption de nos démocraties. 

Mur des BRICS 2030 ? Allons-nous vers un grand basculement de l'Économie mondiale?

BRICS est formé par les premières lettres des noms de 5 pays (B-R-I-C-S) : 

Brésil

Russie

Inde

Chine

- South Africa (Afrique du Sud)

À ceux-ci, veulent se joindre d'autres exploitant leurs richesses naturelles, comme le pétrole, le gaz, et d'autres énergies fossiles.


Ci dessous, photos de rencontres-clés, prises avant l'élection du nouveau président du Brésil.



Actuel président brésilien, Lula (Luiz Inacio Lula da Silva), élu en 2022. En novembre 2019, un jugement serré de la Cour Suprême, abrégeait sa sentence, le libérant de la prison où il était détenu pour corruption.


Le FMI prévoit qu'en 2030, les 5 pays BRICS détiendront 50% du PIB mondial, ce qui annonce un basculement de l'Économie mondiale

lundi 9 janvier 2023

Emprisonnement politique au Canada ??? L'avocat constitutionnaliste du JCCF, John Carpay raconte son arrestation

L'État canadien est-il en panique? L'avocat John Carpay, du Justice Centre for Constitutional Freedom (JCCF), a été très impliqué pour la défense des droits constitutionnels des Canadiens au plus fort de la crise Cov au Canada. Dans cette entrevue en français, il raconte le contexte de son arrestation et de sa détention provisoire à partir du dernier jour ouvrable de 2022, soit le 30 décembre.

Devant la multiplication, en pleine crise sanitaire de 2020 et les mois suivants, des décrets, amendes et arrestations de citoyens, l'avocat aide juridiquement et sans frais, beaucoup de ceux-ci via le JCCF ou son volet francophone : Centre de Justice pour les Libertés Constitutionnelles (CJLC). En 2021, il a personnellement fait surveiller passivement quelques dirigeants du Manitoba, pour lesquels l'organisme recevait divers signalements de la part de citoyens, de ce qui semblait le non-respect par les autorités, des règles strictes qu'elles imposaient à leur population.


Mieux surveillé que Jeffrey Epstein !

Dans une cellule éclairée à toute heure, avec caméra en permanence et sans matelas pour dormir, on peut conclure que l'avocat canadien a été mieux surveillé que Jeffrey Epstein aux États-Unis, dont le témoignage aurait pu faire traduire en justice des pédophiles de la haute société, s'il n'avait été trouvé mort dans sa cellule, suite à une série hautement improbable d'événements.

Me Carpay nous raconte les faits entourant son arrestation en ce qui le concerne, et le futur probable.


La séparation des pouvoirs (en supposant qu'elle ait réellement existé)

Les citoyens devraient comprendre qu'ils doivent effectivement garder un oeil sur les hauts-dirigeants face à ce qui a l'apparence d'une intimidation qui remet en question la séparation des pouvoirs juridiques et politiques. Face à un scepticisme populaire tout à fait compréhensible, ou à un enjeu constitutionnel de plus en plus évident, les dirigeants de l'État semblent profondément contrariés, du fait que les citoyens exposent les potentielles violations de leurs propres décrets. On n'est pas loin de la détention politique.


jeudi 5 janvier 2023

«La DEA a saisi suffisamment de fentanyl pour tuer chaque Américain en 2022»

(Titre original par ABC : DEA seized enough fentanyl to kill every American in 2022). 

L'information de la Drug Enforcement Administration (DEA) a été diffusée par ABC, le 20 décembre 2022.  


Voici la traduction d'un extrait de la nouvelle publiée par ABC le 20 décembre 2022: 

«La Drug Enforcement Administration a déclaré mardi [le 15 décembre 2022] avoir saisi plus de 379 millions de doses mortelles de fentanyl cette année, alors que le pays continue de lutter contre une épidémie de décès par overdose.

«La DEA a précisé que les saisies comprenaient 50,6 millions de pilules contenant l'opioïde synthétique le plus mortel et 10 000 livres de poudre de fentanyl.» (1)


Suffisamment de doses mortelles en 2022 pour tuer chaque Américain 

Reprenant les informations d'un communiqué émis par la DEA le vendredi 17 décembre auquel fait référence ABC,

« "Ces saisies - suffisamment de doses mortelles de fentanyl pour tuer chaque Américain - reflètent l'engagement inébranlable de la DEA à protéger les Américains et à sauver des vies, en poursuivant avec ténacité les responsables du trafic de fentanyl à travers les États-Unis", a déclaré Anne Milgram, administratrice de la DEA, dans un communiqué vendredi» [le 17 décembre 2022].


 

La DEA avait déjà alerté à l'effet que les enfants sont potentiellement ciblés par du fentanyl présenté sous la forme de bonbons. 

Mon commentaire : il est clair qu'une guerre contre le modèle américain, ou du moins nord-américain, est en cours. 

Que l'on soit ami ou ennemi de l'Oncle Sam, la situation se veut un constat non partisan. Pendant ce temps, les Démocrates résistent tout de même au renforcement de la frontière sud, par un faux humanitarisme et le Canada de Trudeau est aussi ...

lundi 2 janvier 2023

Mandat d'arrêt contre le fondateur du Justice Centre for Constitutional Freedom au Canada en cette fin de 2022


- Mandat d'arrêt peu subtile, émis le vendredi 30 décembre 2022, contre un défenseur des droits constitutionnels au Canada


Assistons-nous à une attaque contre un défenseur des droits constitutionnels? Un mandat d'arrêt a été émis contre l'avocat Me John Carpay, président et fondateur du Justice Centre for Constitutional Freedom, un organisme de défense des droits constitutionnels des citoyens et visant l'éducation de la population sur les sujet. Le mandat a été délivré le dernier jour ouvrable de 2022. Les manifestations de ce qui a les apparences d'un État profond contre les citoyens sont en plus étonnantes (se cacher de moins en moins).


Me John Carpay du Justice Centre for Constitutional Freedom (JCCF), qui a été très impliqué pour la défense des droits constitutionnels des Canadiens au plus fort de la crise Cov au Canada, devant les divers décrets, amendes et arrestations, et qui a ainsi aidé juridiquement et sans frais, beaucoup des citoyens, est accusé d'obstruction à la justice. Mais l'organisme n'est même pas sûr de l'événement en cause. 

Un commentaire citoyen suit la traduction de la déclaration officielle de l'organisme.


TRADUCTION DE LA DÉCLARATION DU JCCF, note du traducteur ajoutée entre [ ] :

[DÉBUT]

Déclaration concernant l'accusation portée contre John Carpay

AFFICHÉE LE : 1ER JANVIER 2023

Calgary : Aujourd'hui [le 1er janvier 2023], le Centre de Justice pour les Libertés Constitutionnelles a émis la déclaration suivante concernant l'accusation portée contre John Carpay par la police de Winnipeg :

Au plus fort des restrictions et des lockdowns de Cov, il a été signalé que des membres clés de la gouvernance du Manitoba enfreignaient les règlements de santé publique. Comme nous l'avions déjà signalé à l'époque, John Carpay a pris la décision unilatérale d'engager un enquêteur pour vérifier la crédibilité de ces allégations en juin 2021.

La déclaration du Centre de Justice sur ces événements en juin 2022 indiquait :

" La décision de M. Carpay de surveiller des fonctionnaires du gouvernement du Manitoba faisait suite à un certain nombre de cas très médiatisés où ceux qui imposaient et faisaient respecter les restrictions de confinement étaient eux-mêmes surpris à violer leurs propres règles, à faire la fête sur les toits, à ignorer les règles concernant les masques faciaux et la distanciation sociale, et à s'envoler vers des lieux de vacances exotiques dans des pays sans restrictions de confinement. Ce mépris flagrant des normes a eu lieu alors que les Canadiens étaient confrontés à des restrictions sans précédent de leurs libertés, garanties par la Charte, de se déplacer, de se réunir, de s'associer à d'autres personnes et de pratiquer leur culte. "

M. Carpay a assumé sans réserve la responsabilité de ses actes et s'est excusé auprès du juge en chef Joyal, lors d'une audience publique de la cour le 12 juillet 2021.

Le vendredi 30 décembre 2022, le Centre de Justice a été informé de l'existence d'un mandat d'arrêt contre John Carpay. Ce mandat a apparemment été émis en rapport avec les événements qui ont eu lieu en 2021 et allègue une entrave à la justice. Lorsqu'il a été mis au courant de ce mandat, M. Carpay s'est immédiatement rendu aux services de police de Calgary.

Cette accusation est inattendue et sans explication. Les événements en question ont eu lieu il y a plus de 18 mois, et la police n'a jamais contacté M. Carpay, ni le Centre de Justice. M. Carpay a coopéré à l'enquête menée par la Société du Barreau du Manitoba sur cette affaire.  Au moment des événements, le conseil d'administration du Centre de Justice a également pris des mesures appropriées pour renforcer la gouvernance et la surveillance de l'organisation pendant que M. Carpay était en cessation de travail pour sept semaines.

Le Centre de Justice est profondément déçu par la décision de la police de Winnipeg de porter une accusation criminelle pour des événements qui ont eu lieu il y a plus de 18 mois et qui sont déjà traités de façon appropriée. Il est doublement décevant qu'il ait été décidé que ces actions devaient avoir lieu pendant la période des fêtes, alors que M. Carpay passe du temps avec sa famille. Curieusement, la seule condition de mise en liberté sous caution de M. Carpay stipule qu'il ne peut pas contacter le juge en chef Joyal, une personne avec laquelle M. Carpay n'a eu aucune communication, à l'exception des excuses qu'il a présentées en 2021.

Malgré ces procédures, le travail du Centre de Justice se poursuivra sans entrave pour défendre les droits et libertés constitutionnels des citoyens en vertu de la Charte canadienne des droits et libertés en fournissant gratuitement une représentation juridique aux Canadiens. Le travail du Centre de Justice est axé sur la défense de la société libre du Canada, y compris les libertés de conscience, de religion, d'expression, d'association et de réunion pacifique des Canadiens, ainsi que leur droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne. En particulier, le Centre de Justice a été actif en réponse aux fermetures et aux restrictions sévères des gouvernements de Cov qui ont empêché les Canadiens de se rassembler, de pratiquer leur culte, de s'associer, de travailler, de voyager et de se réunir pacifiquement.

Toute l'équipe du Centre de Justice reste fermement engagée à défendre les libertés constitutionnelles des Canadiens.


-30-

FIN DE LA DÉCLARATION; original anglais ici : Statement Regarding Charge Laid Against John Carpay

https://www.jccf.ca/statement-regarding-charge-laid-against-john-carpay/


Commentaire citoyen (perception citoyenne sans valeur juridique)

Une action judiciaire pas très subtile...

  • Bien que Me Carpay ait agi de manière indépendante, si la cause est bien celle présumée, cette action judiciaire n'est pas très subtile. Il reste un un fil extrêmement mince, pour penser qu'il pourrait s'agir d'une action avec réelle intention d'intimider les organismes de défense, des avocats ou des organismes de plaintes qui oseraient questionner dans les prochains mois, le bien fondé d'une action ou d'un décret d'un palier de gouvernement (fédéral, provincial, municipal) suspendant des droits des citoyens. Cela est inquiétant face aux redéfinitions des notions de crises ou de menaces, pour englober un plus grand nombre de «menaces» ou «crises» donnant des pouvoirs extraordinaires aux autorités.
  • Cela renforce le sérieux doute sur la réelle séparation des pouvoirs au Canada (ex. le politique et la justice). Un journaliste pourra-t-il encore dénoncer un politique dans le Canada post-2022 ? 
  • La date est hautement symbolique, comme marquant la fin d'une époque pour forcer l'entrée