dimanche 31 octobre 2021

Un autre médecin du Québec dénonce l'injection forcée des enfants avec la technologie à ARNm

Entrevue réalisée après que la lettre ait été retiré par les anti-information. Un médecin omnipraticien du Québec (Canada) a rédigé une lettre d'opinion sur les risques réels associés à la vaccination des enfants avec la technologie à ARNm. Après avoir publié la lettre d'opinions le 26 octobre 2021 (1), le journal La P res se a rapidement retiré cette dernière sous la pression et une panique hyper-réactionnaire devant une lumière différente en provenance du terrain et non des grandes pharmaceutiques.

Dr René Lavigueur, du Québec (Canada). Capture d'écran de l'entrevue réalisée à THEOVOX.tv, le jeudi 28 octobre 2021, après que sa lettre dénonçant la vaccination des enfants diffusée le 26 octobre dans un média du Québec, ait été retirée suivant diverses pressions, en surréaction à la réalité observée par les intervenants sur le terrain (non pas des fonctionnaires ou contractuels poussés vers le haut pour défendre les fabricants). La lettre signée par le médecin avait été écrite avec des confrères et révisées plusieurs fois avant sa soumission aux médias. On y apprend par exemple, que l'injection de type ARNm a provoqué déjà 2 morts sur une population d'un peu plus de 11,000 personnes du territoire. Par déduction, tout cela semble indiquer que la théorie de 1 mort pour des millions d'habitants serait tout à fait erronée et même dangereuse pour le public qui n'a pas accès à un consentement éclairé.


Voilà le genre de situations pour lesquelles j'ai commencé à diffuser sur YaPasDePRESSE il y a une décennie.

VIDEO

ENTREVUE AVEC LE DR LAVIGUEUR, THEOVOX.TV, jeudi, 28 oct. 2021


Le Dr René Lavigueur, pratiquant dans la petite ville de Sainte-Anne-des-Monts, a accepté d'accorder une entrevue au média THEOVOX.tv le jeudi le 28 octobre, 2021. 

L'entrevue nous apprend entre autres que 

  • la lettre du médecin signataire, toujours actif sur le terrain, a été écrite avec des confrères et révisée plusieurs fois avant sa soumission aux médias;

  • que cette nouvelle technologie à ARNm est différente des vaccins des générations précédentes et donc, que les citoyens ne savent pas de quoi ils parlent en accusant les médecins et spécialistes dissidents de complotisme, et autres insultes de bas niveau;
  • que d'ailleurs, les fabricants ont négocié une immunité judiciaire (ne se tiennent pas responsables des effets de l'injection) [NOTE : alors qu'on parle de doses de rappel, voire d'abonnements aux injections];
  • que des personnes formées et informées œuvrant en santé le refusent, parce que les données sont encore inconnues;
  • qu'il n'y a pas d'effort significatif au Québec, pour obtenir les données sur les effets secondaires post-injection. Il s'agit d'un formulaire de 5 pages, de déclaration volontaire, sans rémunération des médecins et sans suivi de rappel, dans un contexte d'un système de santé déjà fragilisé depuis plusieurs années (mal attribution des ressources, centralisation, etc.). Historiquement, dans ce genre de situation volontaire, et devant l'impression que les déclarations vont tomber dans un puits,  un très faible de pourcentage des effets sont au final déclarées (quelques points de pourcentage % de cas accompagnés d'effets même sérieux ou graves). (2)
  • le Gouv. s'appuie donc principalement sur les données de l'industrie, qui n'a pas obligation de diffuser toutes ses données;
  • le risque de l'injection imposée aux enfants est injustifié par rapport au faible risque du virus pour le groupe d'âge, en contexte de manque de recul sur l'utilisation du vaccin. Dans ce contexte, le vaccin peut causer plus de dommages qu'il n'en prévient;
  • et d'autres informations importantes


VIDEO

ENTREVUE AVEC LE DR LAVIGUEUR, THEOVOX.TV, jeudi, 28 oct. 2021


LIRE LA LETTRE  (et mise en contexte)

Injection des enfants : Lettre d'opinion d'un médecin retirée après sa publication

Un médecin omnipraticien du Québec (Canada) a rédigé une lettre d'opinion sur les risques observés et nettement sous-documentés, associés à la vaccination COVID avec la technologie à ARNm. Cela suffit à mettre en garde contre l'injection imposée aux enfants non à risque. Après avoir publié la lettre d'opinions le 26 octobre 2021, le journal La Presse a rapidement retiré cette dernière sous la pression et la panique hyper-réactionnaire devant une lumière différente en provenance du terrain et non des grandes pharmaceutiques. 

https://yapasdpresse.blogspot.com/2021/10/Injection-enfants-lettre-medecin-quebec-retiree-dr-lavigueur.html


Gilles B.

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1.     Pour lire la lettre retirée par les éteigneurs de lumière:

https://yapasdpresse.blogspot.com/2021/10/Injection-enfants-lettre-medecin-quebec-retiree-dr-lavigueur.html

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2.     Un ami personnel m'a témoigné que sa fille dans la jeune vingtaine avait des effets assez sérieux encore après 3 mois, dont dès règles douloureuses et irrégulières, ainsi que des douleurs au site d'injection. Mais ces effets n'étaient toujours pas déclarés, car survenus après le départ du site d'injection et qu'elle n'avait pas entrepris de démarche. Combien de milliers de cas de la sorte, seulement au Québec, peuvent encore exister? Peut-être, entre autres, par crainte de se faire ignorer ou même ridiculiser si l'on considère l'emprise médiatique défavorable aux victimes.

Injection des enfants : Lettre d'opinion d'un médecin retirée après sa publication

Un médecin omnipraticien du Québec (Canada) a rédigé une lettre d'opinion sur les risques observés et nettement sous-documentés, associés à la vaccination COVID avec la technologie à ARNm. Cela suffit à mettre en garde contre l'injection imposée aux enfants non à risque. Après avoir publié la lettre d'opinions le 26 octobre 2021, le journal La Presse a rapidement retiré cette dernière sous la pression et la panique hyper-réactionnaire devant une lumière différente en provenance du terrain et non des grandes pharmaceutiques. VOICI son contenu 


Le Dr René Lavigueur a accepté d'accorder une entrevue au média THEOVOX.tv le jeudi le 28 octobre, 2021. On y apprenais entre autres que 

  • la lettre du médecin signataire, toujours actif sur le terrain, a été écrite avec des confrères et révisée plusieurs fois avant sa soumission à La Presse.


VOICI la lettre éclairante sur ce qui se passe dans une région du Québec

[Début de la lettre]

RENÉ LAVIGUEURMÉDECIN, SAINTE-ANNE-DES-MONTS

«Médecin de famille, je suis doublement vacciné et mon témoignage apporte l’éclairage d’un homme de terrain aux prises avec les dilemmes quotidiens particuliers qu’occasionne la crise du coronavirus.

«La pensée unique et la peur qu’ont entraînées 19 mois de campagne médiatique ont divisé cruellement et inutilement les familles, les professionnels, bref la société tout entière. Cette pensée interdit toute discussion et tout débat par peur de représailles.

UN CODE DE DÉONTOLOGIE MIS À MAL

«Le médecin de famille est soumis à un code de déontologie qui comprend des articles visant la protection du public et le respect du droit des patients à un consentement libre et éclairé.

«Je suis, en tant que médecin de famille, placé devant des choix déchirants lorsque l’application de ces principes entre en conflit avec la gestion politique de cette pandémie, gestion préconisée par les autorités de santé publique et soutenue par le Collège des médecins du Québec. Toute ma pratique s’est articulée autour d’un souci constant : celui de ne pas nuire. Mon allégeance première est envers la mère, l’enfant et toute personne qui sollicite mon aide. On me consulte donc au sujet de la vaccination des enfants, de la sécurité du vaccin, de l’obligation vaccinale, des complications du vaccin.

«Je constate au quotidien, tout comme les psychologues et les travailleurs sociaux, les dommages non seulement de la COVID-19, mais aussi de sa gestion.

«Pour respecter le droit de mes patients à un consentement éclairé, voici ce que je crois devoir leur dire concernant la vaccination des enfants :

«Acceptez-vous que votre enfant reçoive le vaccin à ARN messager ? Ce vaccin est différent de tous les vaccins que vous connaissez. Ce vaccin comporte une balance risques/bénéfices incertaine chez les enfants en bonne santé et sans facteurs de risque. Le fabricant ignore les effets à long terme de son produit. L’Organisation mondiale de la santé ne le recommande pas et il n’est pas encore approuvé par la Food and Drug Administration aux États-Unis, ni par Santé Canada pour les 5 à 11 ans. Il est offert aux enfants dans l’espoir de contribuer à limiter la contamination des personnes âgées et/ou vulnérables par la COVID-19. Acceptez-vous que votre enfant reçoive ce vaccin ? »

«On aurait pu ajouter que la mortalité chez les enfants âgés de 0 à 9 ans est nulle depuis le début de la pandémie (données de l’INSPQ). La balance risques/bénéfices est donc a priori difficile à défendre pour cette tranche d’âge, tout comme chez les jeunes en général.

«J’aimerais bien pouvoir dire cela librement, sans risque de représailles. Le médecin, comme les parents, devrait pouvoir défendre le « principe de précaution » et la prudence en ce qui concerne la santé des enfants.

«Les vaccinés, tout comme les non-vaccinés, peuvent héberger et transmettre le virus. Les enfants sont de mauvais propagateurs du virus dans la communauté. Alors, comment justifier la vaccination imposée aux enfants ?

«Il y a un grave problème éthique à forcer la vaccination chez des enfants sains dans le but hypothétique d’en faire profiter un autre segment de la population (les personnes âgées avec comorbidités). Les enfants n’ont-ils pas déjà assez souffert ? Pourquoi risquer de compromettre davantage leur santé ?

«Les parents ont eu le choix douloureux de signer l’autorisation vaccinale de leurs enfants ou de les condamner à l’exclusion et au rejet. C’est donc une vaccination obligatoire, mais qui ne s’affiche pas comme telle. Or, notre code de déontologie impose un « consentement libre » pour toute décision, c’est-à-dire sans pression, menace ou contrainte. Comment puis-je conseiller le parent inquiet qui ne veut pas que son enfant soit marginalisé ? Que gagne-t-on avec cette vaccination ? Pourquoi punir l’enfant non vacciné ?

UN VACCIN QUI ÉCHAPPE À TOUTE SURVEILLANCE

«Je traite des adultes avec des séquelles graves à la suite de l’administration de ce vaccin. Pour une population de 11 300 habitants, j’ai déjà signalé à la Santé publique deux décès, des cas d’ACV, de paralysie de Bell, de saignements menstruels, de palpitations et de fatigue extrême consécutifs à l’administration des vaccins.

«Des milliers de morts, des dizaines de milliers d’effets secondaires graves dus au vaccin sont rapportés à travers le monde. Pourquoi ignorer, au Québec, les risques associés à ces vaccins ? Si le fabricant n’est responsable de rien, s’il a pu négocier une immunité judiciaire, alors qui sera responsable des dommages bien réels de ces vaccins ?


[Fin de la lettre]