dimanche 21 mars 2021

Esclavagisme ancestral en Afrique

Sur Google, en mars 2021, je cherchais de l'information sur l'esclavagisme ancestral, entre tribus africaines, précédant l'arrivée des Européens. Rien, sauf ladite collaboration. En passant par Brave, j'ai immédiatement trouvé des informations sur ce que je cherchais. Il y a donc 2 réalités:

1) Google fait un travail idéologique extrêmement efficace contre l'Histoire, et donc très probablement aussi contre les autres vérités (en actualités, politique, médias sociaux, science, santé, ...), (1).

2) Comme il est dit dans la courte vidéo, cette réalité historique n'est pas explorée. Et ce ne sont pas des Européens continentaux, des Britanniques ou des Nord-Américains qui peuvent communiquer ce volet de l'Histoire, dans le contexte exacerbé actuel.


Ibrahima Thioub, Historien et chercheur à l'Universite de Dakar


L’esclavagisme était une coutume ancestrale pratiquée par les tribus africaines avant l’arrivée des marchands étrangers d’esclaves

Comme le dit l'historien et chercheur Sénégalais, Ibrahima Thioub, la traite dans le développement historique transatlantique et oriental qu'elle a connue, n'a pu se mettre en place aussi rapidement et efficacement avec peu de ressources (marins, marchands), qu'avec ce qui était déjà préexistant sur le continent africain (rivalités tribales, violences, enlèvements), avant l'arrivée des Blancs (2). Lorsqu'il l'avait exposé des années plus tôt dans une conférence, l'historien croyait dire des banalités évidentes. Mais ses propos avaient soulevé un tollé de protestations émotives, sans réponses scientifiques (recherche) à l'appui. Il s'était alors dit «Mais où sont les historiens ?!».

vidéo : 

https://youtu.be/xqjyEY5n150


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1.     Comme lorsqu'un employé me demandait de retirer des images qui parlaient de la persécution de la chrétienté en Inde (ex. Province d'Orissa) si je voulais être accepté pour monétiser YaPasDePRESSE.blogspot.com (période de probation). Pourtant, c'était un fait connue que la persécution dans certaines provinces de l'Inde, s'intensifie à chaque élection nationale. Avant mon premier abonnement internet, j'en avais déjà entendu parler via la radio ondes courtes dans la décennie 1990. Mais curieusement, mon interlocuteur semblait ignorer que chaque montant d'argent gagné dès mes premiers jours d'essais et de probation de la monétisation, disparaissait les jours suivants. J'ai alors compris que ces petits prélèvements passaient probablement inaperçus pour des gros comptes bien établis, mais qu'appliqués à des millions d'abonnés monétisés, il y avait forcément une forme de détournement rentable, sinon par la plateforme, au moins par des employés pour eux-mêmes, ou pour des causes. J'ai alors abandonné l'idée de monétiser en considérant l'ingérance sur mon contenu critique, constatant que la majorité de l'argent de la sponsorisation de mes premiers gains (et je ne trichais pas sur les clics) était soustraite et redirigée de manière mystérieuse.

2.     Et on verrait la même chose (guerres tribales, prise de territoires aux tribus précédentes, enlèvements, etc.), avec une histoire honnête des autochtones des Amériques, avant l'arrivée des Européens. Dinesh D'Souza aborde la question dans son film documentaire tiré du livre du même titre : America: Imagine A World without Her.

mardi 9 mars 2021

Conservateurs en exil ? On n'en est pas si loin

Les conservateurs traditionnels (trads) sont souvent placés sur la défensive par les libéraux (le libéralisme), les libertariens, et d'autres adversaires politiques. Au point, qu'au Canada, un conservateur trad ne peut plus aspirer à devenir chef du Parti Conservateur du Canada, malgré que cette exclusion ne soit pas fondée dans la charte de parti.

Soit un filtre est appliqué et sa candidature est rejetée, même s'il remplit les critères officiels (ex. Richard Décarie). Ou alors il est torpillé par des manœuvres douteuses, après une course à la chefferie perdue (ex. Brad Trost, Derek Sloan). Un sort identique attend les candidats nationalistes et populistes (Maxime Bernier). Inversement, des candidats qui se présentent sous les couleurs des conservateurs trads se révèlent en fait libertariens économiques ou adhérents du libéralisme moral, une fois en poste.

Les politiques justes sont indissociables des valeurs morales

Pourtant, la politique est indissociable des valeurs morales. Voici ce qui peut finir par être toléré dans une société où la majorité (ou inversement une élite) décide du bien et du mal. Par exemple, voudriez-vous que la pédophilie devienne tolérée en tant qu'orientation sexuelle? Ou encore, voudriez-vous que les drogues deviennent légales? Que pensez-vous de l'abaissement du consentement sexuel à 9 ans? Avez-vous réalisé que le droit à la vie privée, la fin de la propriété privée ou la censure de la liberté d'expression relèvent en fait de positions morales, avant d'être transposées en politique? Tout cela vous paraît-il exagéré? Pourtant c'est dans ce genre de situations que mène l'approche relativiste voulant nous faire croire que la science et la connaissance soient moralement justes.

Le relativisme moral engendre exactement ce qu'il prétend défendre

C'est vers une logique extrêmement confuse, que nous mène le relativisme. Trop souvent, on oublie que la morale libérale ou libertarienne, lorsqu'elle n'apparaît pas dans un premier temps si différente des conservateurs sociaux, provient du fait de la christianisation des démocraties occidentales durant des générations. Les libertariens, libéraux, socialistes, etc. ont hérité des valeurs des générations précédentes. Sans cet héritage (ex. avec la déchristianisation actuelle avancée des institutions), on se donne deux générations et l'on se retrouve en plein relativisme morale (situation actuelle de la perte du consensus moral). Si ces mêmes personnes avaient grandi dans une culture aux valeurs différentes, elles auraient un tout autre point de vue, relativiste ou autre, selon le cas. Dans ces cas, c'est souvent l'État se fait Dieu, comme depuis la crise politique actuelle, où l'État montre ses muscles, contrôle, opprime, menace économiquement, intimide (menace de donner la mort sociale), etc.

Voici un texte intéressant qui positionnait le conservatisme par rapport à quelques autres approches politiques. Il avait été publié dans la revue québécoise Égards, à l'hiver 2009-2010.

À LIRE :

Titre : «Quelle est la vision qui anime les conservateurs traditionnels (trads) ?»

Auteur : Richard Bastien - no 26 de la revue Égards, hiver 2009-2010

https://drive.google.com/file/d/1TejLWLvmmJc9x-Dv6RcAaUc1Yv1FW8ij/view

dimanche 7 mars 2021

Politiques démasqués pour qui veut bien voir

Au Québec et en plusieurs autres États ou centres urbains en 2020-2021, le système gouvernemental, gestionnaire de la santé et des droits, se contredit, dévoilant ainsi que les actions politiques calculées, sont sans lien avec une soi-disant compassion des États et des politiques (les élus ou les élites politisées au-delà de la partisannerie mais plutôt idéologiquement).

Cela explique la fin des oppositions avec l'arrivée de la COVID, tellement attendue. Par exemple, pourquoi les sans abris (sdf) sont-ils dans la rue en plein hiver glacial québécois, très souvent avec des problèmes de santé mentale ou de toxicomanie (drogues)? Pourquoi ne les place-t-on pas, par la contrainte préventive, en institution pour les protéger contre eux-mêmes et «sauver des vies» comme on dit pour la COVID ? On dit que c'est à cause des chartes et des libertés individuelles. Bref, tu as le droit de crever déconnecté de la réalité, drogué, et au froid...

Mais inversement, on place des personnes en bonne santé en quarantaine, on leur impose la distanciation sociale, on les empêche de se voir, on les prive de leur droit de circuler et voyager librement et les tient en détention dans des hôtels à cette fin à leur retour, malgré des tests et des vaccins. On force l'isolement des personnes et leur impose les couvre-feux, sans justification. On ferme des entreprises arbitrairement et on tue les économies locales. On fait cesser les sports. On force des enfants à porter des masques durant des heures pour une maladie qui ne les fait pas mourir, afin de sauver des aînés qu'ils n'ont pas le droit de voir; ces mêmes masques qui nuisent à leur développement et à leur santé mentale ou à leur santé (contamination respiratoire par des bactéries), tout en leur inculquant une perception traumatisante de l'expérience de l'apprentissage et des relations avec le monde adulte extérieur et le monde réel. On ne traite pas les malades avant qu'ils soient en détresse respiratoire... On interdit aux médecins de prendre position contre les règles gouvernementales illogiques et non scientifiques. On suit, ou pas, au gré des politiques, des règles envoyées depuis l'autre bout du monde (OMS)...

Mais là, avec l'actuel coronavirus, les contraintes sont pratiques courantes et les chartes et les libertés individuelles n'ont plus d'importance; exit la compassion de l'État et des politiques qui survivent aux élections, peu importe les partis au pouvoir. Les partis d'opposition sont couchés. C'est parce que la cause est ailleurs que dans la compassion; ailleurs que dans la préoccupation à «sauver des vies». Réfléchissez là-dessus.