Il semble que pour l'école publique et les syndicats, se positionner consiste à éliminer la concurrence plutôt que de se tailler une place. C'est plutôt médiéval (moyenâgeux) ou inquisitoire ou hyper-socialiste comme méthode. Votre voisin est en croissance? Éliminez le voisin. Il y a ces jours-ci le journaliste et chroniqueur Jean-Jacques Samson (Journal de Québec, mardi 13 juillet 2010) confirme, chiffre à l'appui, ce que j'ai écris plus tôt cette année (par simple observation de familles que je connais); savoir que beaucoup de familles de classe moyenne se sont tournées vers le privé.
(Corrections ajoutées 6 octobre 2014)
(Corrections ajoutées 6 octobre 2014)
Sur la question du financement, il faut répéter et répéter que le gouvernement ne fait pas de cadeau aux écoles privées lorsqu'il y contribue pour une partie (ex. 60 %) du financement pour les services éducatifs. Au contraire, chaque enfant au privé partiellement subventionné constitue une économie pour les finances publiques.
C'EST QUE LES PARENTS DU PRIVÉ PAIENT DÉJÀ 100% DE LEURS IMPÔTS, TAXES SCOLAIRES ET AUTRES CONTRIBUTIONS. LE GOUVERNEMENT, LUI, CONTRIBUE (réinjecte) PAR EXEMPLE À HAUTEUR DE 60% (au privé) pour les services éducatifs PLUTÔT QU'À 100% (au public) PAR ÉLÈVE OU ÉTUDIANT. DONC, CHAQUE ÉLÈVE QUI RETOURNE AU PUBLIC REPRÉSENTE UNE DÉPENSE ADDITIONNELLE ET DES BESOINS (INFRASTRUCTURES, SALAIRES, ...) ET NON PAS UN REVENU.