vendredi 31 décembre 2021

Les réponses du COVID sont contraires à la Constitution canadienne, selon le dernier architecte vivant du cadre juridique de 1982

Selon le dernier ancien premier ministre vivant d'une province ayant participé à la rédaction de la loi constitutionnelle de 1982, les juges et tribunaux errent en droit en disant que les tribunaux ne pourraient valider les privations des droits décrits dans la Charte des droits et libertés. Leur argument s'appuient sur leur non-expertise scientifique pour tenter de justifier leur point de vue, alors que c'est le travail des juges et des tribunaux d'entendre des experts qui ont des argumentaires différents.




EXTRAIT SUR L'EXEMPLE DU MANITOBA

A été retenue ici uniquement la portion du texte selon laquelle le tribunal du Manitoba a prétendu devoir se fier uniquement à la santé publique de la province, sous prétexte que les juges  n'auraient pas l'expertise scientifique pour juger des justifications des réponses au COVID, en conflit potentiel avec les droits constitutionnels. Dans l'extrait, il est question de la province du Manitoba, mais la même logique et critique s'appliquent à l'ensemble des provinces du Canada. D'après un article paru dans le EpochTimes.com, du 22 décembre 2021 où 

«L'ancien premier ministre Brian Peckford affirme que les gouvernements provinciaux outrepassent les droits des Canadiens dans le contexte de la pandémie».

 

Huit premiers ministres provinciaux à une conférence de presse à Ottawa, le 16 avril 1981, en appui aux changements constitutionnels proposés par le gouvernement fédéral. De gauche à droiteBrian Peckford de Terre-Neuve, Allan Blakeney de la Saskatchewan, William Bennett de la Colombie-Britannique, René Lévesque du Québec, Sterling Lyon du Manitoba, John Buchanan de la Nouvelle-Écosse, Angus MacLean de l'Île-du-Prince-Édouard et Peter Lougheed de l'Alberta.


Brian Peckford, ancien premier ministre de Terre-Neuve. (Courtoisie de Brian Peckford). On le voit premier à gauche sur la photo précédente.

TITRE : COVID Responses Defy Canadian Constitution, Says Last Living Architect of 1982 Legal Framework

(By Lee Harding, December 22, 2021 Updated: Dec. 27, 2021)


[ EXTRAIT traduit en français avec avec DeepL ]

[...]

« Le Justice Centre for Constitutional Freedoms a présenté 2 000 pages de preuves examinées par des pairs, composées de données scientifiques et gouvernementales, lorsqu'il a contesté la constitutionnalité des lockdowns au Manitoba. Dans une décision rendue en octobre, le juge en chef Glenn Joyal a refusé de déclarer les lockdowns inconstitutionnels.

« Il a plutôt déclaré que "ceux qui prennent des décisions rapidement et en temps réel pour le bien et la sécurité du public" ont droit à "une marge d'appréciation". Il a ajouté que, plutôt que de les infirmer, il devait garder "l'humilité judiciaire requise qui découle de la reconnaissance du fait que les tribunaux n'ont pas l'expertise spécialisée pour remettre en question les décisions des responsables de la santé publique".

« M. Peckford, un ancien enseignant qui s'exprime aujourd'hui sur son blog Peckford42, estime que Joyal a échoué, et non la Constitution.

"Je suis complètement en colère contre ce juge parce qu'un juge prend chaque jour des décisions basées sur des sujets dont il n'est pas un expert. S'il ne prend des décisions que sur la base de ce qu'il sait faire, il ferait mieux de démissionner maintenant", a-t-il déclaré.

"Les juges sont censés prendre une décision fondée sur la loi et sur les informations dont ils disposent... et [Joyal] ne l'a pas fait. Il a donc commis une erreur de droit, une erreur de pratique, une erreur de procédure. ... Donc je rejette complètement la décision de ce juge comme étant complètement non pertinente." »

[...]

FIN DE LA CITATION

Le juge du Manitoba utilise l'argument selon lequel il faudrait se fier entièrement aux responsables de la santé publique... En réponse, faut-il rappeler que ni les experts en santé, ni les élus, et ne sont des experts en droit! Et les élus peuvent tendre à choisir ce qui leur plait. Qu'arrive-t-il lorsque les experts se trompent ou exagèrent la marge sécuritaire, ou sont compromis (ex. conflits d'intérêts financiers ou pressions politiques; les attentes du chef d'État élu), ou encore lorsque le pouvoir politique surréagit (en rajoute aux recommandations) ou utilise ou prolonge indument, une situation inhabituelle pour en tirer avantage ? C'est justement pour éviter des erreurs, des abus ou des incompétences (laissons le bénéfice du doute aux politiques), que des experts sont chaque jour au Canada interpellés pour témoigner devant des tribunaux.

 

Lire l'article complet sur Epoch Times où il est aussi questions des sections du cadre juridique de 1982 qui sont outrepassées par les règles actuelles.

«Brian Peckford, qui a été le troisième premier ministre de Terre-Neuve de 1979 à 1989 et qui réside sur l'île de Vancouver depuis les années 1990, affirme que " les gouvernements de Saint John's à Victoria " ont défié la liberté de réunion énoncée à l'article 2 de la Charte des droits et libertés - la partie la plus reconnue de la Constitution - et ont également tourné le dos à trois autres articles»


https://www.theepochtimes.com/covid-responses-defy-canadian-constitution-says-last-living-architect-of-1982-legal-framework_4169653.html?utm_source=morningbriefnoe&utm_medium=email_MB&utm_campaign=mb-2021-12-25&utm_content=News_COVID_Responses_Defy&est=9CeQEdIOZjJZQ5R1yuhsiHJk3rq%2Fsas6lg4lPhqhaFRjpK86YtBScabZ8R%2BgC82B

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)


lundi 27 décembre 2021

Ces chiffres COVID-19 de 2020 à ne JAMAIS OUBLIER

Voici un IMPORTANT RAPPEL des données de mortalité  par COVID-19, diffusées par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, pour l'année 2020. Les chiffres de la mortalité par COVID seule, ont dû être réduits considérablement, par rapport aux chiffres bruts non corrigés et monstrueux diffusés les premiers jours après les décès de ladite année. 


Pourquoi ce rappel de données de mortalité /COVID de l’année de référence 2020?

  • Parce que c’était le pire de la crise en fait de mortalité.
  • Pour ne jamais oublier.
  • Parce que les médias traditionnels en ont très peu parlé.
  • De plus, les révisions de dossiers pour la période de calendrier depuis la semaine se terminant le 1er février 2020, jusqu'à la semaine se terminant le 5 décembre 2020, ont donné des résultats encore plus révélateurs sur le nombre de problèmes sérieux de santé combinés à la présence du virus de la COVID-19.

Ces comorbidités cumulatives pour les décès enregistrés sont statistiquement désignées comme «Pathologies contribuant aux décès impliquant le COVID-19» aux États-Unis pour ladite période de 2020 (1).

La période où l’Occident a dérapé

En 2020, les informations sur le pire de la crise COVID ont fait paniquer l’Occident. Or, parmi le nombre de décès aux États-Unis, ce sont seulement 6% des décès avec COVID qui constituaient en réalité une mortalité avec virus de COVID seul. Pour les autres 94% des décès avec virus de la COVID, les malades avaient au moins 1 autre cause potentielle (comorbidité), avec une MOYENNE de près de 3 autres causes concourant à la mortalité (comorbidités).

La façon de fonctionner est la suivante. Au début, par principe de précaution, les intervenants de la santé attribuaient le virus de la COVID au décès, comme une cause de mortalité lorsqu'il était décelé. Un décès pouvaient avoir plus d’une cause (les chiffres du tableau en référence dont la page 1 est extraite comme exemple ne peuvent donc pas être additionnés). Mais le travail ne s’arrêtait pas là. Les jours et semaines suivantes, les dossiers étant revus pour épurer les statistiques des biais sur les données et ainsi, le National Center for Health Statistics /National Vital Statistics System ajustait les statistiques, pour préciser les causes de décès cumulatives (présentes, concourantes, comorbidités). Au final, sur la base des données disponibles, l’organisme pouvait établir au 6 décembre 2020, que parmi le grand nombre de morts annoncés comme étant victimes «du virus de la COVID», seulement 6% se sont avérés de la COVID seule (2). Cela représente, par exemple, 30,000 cas par tranche de 500,000 cas (500,000 X 0,06 (6%) = 30,000 cas de décès uniquement COVID. Ce sont les proportions officielles que les médias traditionnels convergents ont à peine effleurées, sinon ignorées. 

Extrait du tableau : Conditions contributing to deaths involving COVID-19, by age group, United States. Week ending 2/1/2020 to 12/5/2020

Portrait de l'état de la situation au 6 décembre 2020 / Source: National Center for Health Statistics. National Vital Statistics System. Provisional data. 2020.

EXTRAIT : https://www.cdc.gov/nchs/data/health_policy/covid19-comorbidity-expanded-12092020-508.pdf


Traduction : 

« Pour 6% des décès, la COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès dont les conditions ou les causes s'ajoutaient à la COVID-19, il y avait en moyenne 2,9 conditions ou causes supplémentaires par décès. Le nombre de décès pour chaque condition ou cause est indiqué pour tous les décès et par groupe d'âge. Les valeurs dans le tableau représentent le nombre de décès qui mentionnent la condition indiquée et 94% des décès mentionnent plus d'une condition. » (3)

Cette tendance des données était déjà connue et diffusée par les CDC à l’été 2020, mais les médias du Québec, entre autres, en ont fait très peu état. Les rares références étaient-elles uniquement pour se protéger contre de possibles accusations de désinformation, particulièrement en contexte où les médias majeurs, même privés, sont maintenant subventionnés par de l’argent public (provenant des taxes et impôts) et ont par conséquent des obligations morales ou non plus uniquement commerciales qui en découlent?

Pathologies contribuant aux décès impliquant le COVID-1

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jeudi 9 décembre 2021

Publicité COVID poussant l'injection des enfants de 5 à 11 ans du Québec

«Tiens-toi bien, COVID-19 !», lance une fillette québécoise non à rique de complications, menaçant le virus. Le but? Promouvoir l'injection d'un traitement génique encore expérimental, auprès des enfants de 5 à 11 ans du Québec : sommes-nous devenus un régime autoritaire?


Assistons-nous à une manipulation psychologique immorale, à une publicité contre la loi ou pire ?

(dernière modification : 11 déc. 2021)



Au Québec, où la publicité adressée directement aux enfants est interdite par la loi, le Gouvernement rogue ne se gène pas davantage pour adresser sa campagne de traitement expérimental à ARNm, «Tiens-toi bien, COVID-19», directement aux jeunes de 5 à 11 ans. Cette pression à recevoir l'injection se passe au su de tous, sans opposition médiatique, ni politique et sans science justifiant un acte d'une telle ampleur.

N'est il pas choquant qu'alors qu'on a voulu protéger les enfants du Québec contre des entreprises comme Mattel (jouets, jeux) ou McDonald (alimentation rapide), on les livre à l'industrie pharmaceutique dispensée de toute ses responsabilités légales et civiles devant les injectés (les enfants) dans le traitement génique actuel? Comme les autres groupes cibles, ces jeunes sont en fait simultanément des testeurs... Car si le traitement est autorisé, il est encore en phase expérimentale. Et il faut le souligner, les enfants sont très peu à risque de complications avec le virus et l'autorisation des autorités médicales, ne lève pas la dispense de la responsabilité d’entreprises pharmaceutiques multimilliardaires qui planifient les poursuites, les frais d'avocats et les compensations, comme des dépenses de mise en marché… Mais ici, il ne peut même pas y avoir de poursuites. Si un enfant vit des complications, ni l'État, ni les pharmaceutiques ne veulent assumer la responsabilité financière (ex. invalidité de moyenne ou longue durée). Les enfants et les parents seront livrés à eux-mêmes.

C'est probablement inspiré de la publicité de Pfizer avec les enfants super-héros, sauf qu'au Québec la loi interdit la publicité adressée directement aux enfants. «Votre Gouvernement» a donc approuvé des artifices ou moyens détournés pour le mandat reçu de s'adresser aux enfants :

  • pas de narrateur (ne peut être accusé de dire quelque chose),
  • le symbolisme d'un adulte pour suggérer une autorité présente dans chaque scène (comme pour suggérer «on n'interpelle pas directement vos enfants»):
    • la femme qui apporte le gâteau d'anniversaire
    • le grand-parent qui accueille l'enfant dans ses bras
    • la jeune adulte assise sur le banc dans la ruelle où les enfants jouent au hockey de rue
    • l'homme, vraisemblablement le père, qui accompagne la fillette au site d'injection 

  • le mot «Injection» subtilement lisible sur une affiche, mais non prononcé,
  • le soleil couchant à la fenêtre de la clinique, comme pour rassurer,
  • la manipulation psychologique à l'effet que les enfants sont plus forts (menaçants) comme une escouade contre le virus et seront des combattants unis contre le COVID-19,
  • la fillette de la dernière scène avec un vêtement proche des couleurs médicales, s'exclame avec la démarche assurée, digne d'un urgentiste d'un série TV de salles d'urgences: «Tiens-toi bien, COVID-19 !»,
  • la suggestion que seule l'injection donne la liberté de fêter son anniversaire, de voir ses grands parents, de jouer librement avec ses amis, mais sans que le Gouvernement du Québec ne s'engage verbalement (c'est de la suggestion efficace avec les plus jeunes mais sans engagement)
  • et probablement d'autres encore comme les adultes muets dans les scènes, aucune information, aucun avertissement sur les possibles effets secondaires OU sur l'inutilité de l'injection pour des enfants non à risque; le remède étant plus à risque que le virus pour les gens en bonne santé, etc.).

Malgré la mise en place calculée, il est évident que ce sont les enfants qui sont ici la cible désignée, appelée à former les principaux acteurs qui menaceront le virus. Une fillette prend la parole à la fin, ce qui indique bien que la publicité s'adresse aux enfants. Le jeu de caméra aussi, la fait parler à hauteur d'enfant. L'approche est probablement inspirée de la campagne des jeunes super-héros pour promouvoir le traitement expérimental d'une entreprise pharmaceutique américaine, P____.  Mais au Québec, il fallait être plus subtile à cause de la loi.

La pression du Gouvernement du Québec sur les enfants de 5 à 11 ans est évidente

Il n'y a pas de hazard, avec au même moment, le retour intense du port du masque à l'école pour les enfants du primaire du même groupe d'âge que ceux de la nouvelle phase de la campagne COVID-19 débutée en novembre 2021 (5 – 11 ans). Ceci révèle une pratique non pas simplement immorale, mais possiblement sujette à des poursuites. À mon avis, cette publicité bien conçue, mais choquante (une commande de «Votre Gouvernement»), cache une résistance rencontrée, ou du moins anticipée, dans la campagne de traitement génique. Fait-on face à une stratégie gouvernementale qui ne lève pas comme le voudrait le Grand Camarade. Pour le retour en force du masque chez un groupe non à risque (alors que le COVID s’essoufle), il s'agit vraisemblablement d'augmenter la pression sur le jeune groupe cible, en vue d’accélérer la cadence de traitement, en amenant les enfants et parents à penser que les piqûres amèneront la sortie de crise et le retour à la liberté, mais sans le dire ouvertement. Il ne faut pas trop le dire, car cette phase ciblant de jeunes enfants est plus délicate, si l'on osait mentir (jouer avec les chiffres et les mots) comme précédemment. Cette liberté, l'État n'est pas disposé à la redonner. La troisième dose commence à être poussée auprès d’autres groupes. Après bientôt 2 ans de désinformation, manipulations et contradictions, les personnes attentives discernent de plus en plus les techniques utilisées pour forcer des abonnements médicaux et une mutation politique mondiale. Le DANGER pourrait ne pas être immédiat pour les enfants de 5 à 11 ans (objet d'une grande attention collective pour leur première dose), mais davantage pour les doses à suivre. Car il y en aura; monétisation oblige. C’est payant, et pas seulement pour les producteurs de ces traitements expérimentaux. Mais que ceci soit claire: tout traitement superflu constitue un risque et un abus. 

Si nous ne protégeons pas les enfants, qui le fera?

Et si le véritable danger n’était plus le virus, mais le Grand Camarade «béni» par une alliance mondialiste?

Ci-dessous, des images extraites de la publicité. Les enfants menacent le virus.







https://youtu.be/MGrNG-uLJ7w