lundi 27 décembre 2021

Ces chiffres COVID-19 de 2020 à ne JAMAIS OUBLIER

Voici un IMPORTANT RAPPEL des données de mortalité  par COVID-19, diffusées par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, pour l'année 2020. Les chiffres de la mortalité par COVID seule, ont dû être réduits considérablement, par rapport aux chiffres bruts non corrigés et monstrueux diffusés les premiers jours après les décès de ladite année. 


Pourquoi ce rappel de données de mortalité /COVID de l’année de référence 2020?

  • Parce que c’était le pire de la crise en fait de mortalité.
  • Pour ne jamais oublier.
  • Parce que les médias traditionnels en ont très peu parlé.
  • De plus, les révisions de dossiers pour la période de calendrier depuis la semaine se terminant le 1er février 2020, jusqu'à la semaine se terminant le 5 décembre 2020, ont donné des résultats encore plus révélateurs sur le nombre de problèmes sérieux de santé combinés à la présence du virus de la COVID-19.

Ces comorbidités cumulatives pour les décès enregistrés sont statistiquement désignées comme «Pathologies contribuant aux décès impliquant le COVID-19» aux États-Unis pour ladite période de 2020 (1).

La période où l’Occident a dérapé

En 2020, les informations sur le pire de la crise COVID ont fait paniquer l’Occident. Or, parmi le nombre de décès aux États-Unis, ce sont seulement 6% des décès avec COVID qui constituaient en réalité une mortalité avec virus de COVID seul. Pour les autres 94% des décès avec virus de la COVID, les malades avaient au moins 1 autre cause potentielle (comorbidité), avec une MOYENNE de près de 3 autres causes concourant à la mortalité (comorbidités).

La façon de fonctionner est la suivante. Au début, par principe de précaution, les intervenants de la santé attribuaient le virus de la COVID au décès, comme une cause de mortalité lorsqu'il était décelé. Un décès pouvaient avoir plus d’une cause (les chiffres du tableau en référence dont la page 1 est extraite comme exemple ne peuvent donc pas être additionnés). Mais le travail ne s’arrêtait pas là. Les jours et semaines suivantes, les dossiers étant revus pour épurer les statistiques des biais sur les données et ainsi, le National Center for Health Statistics /National Vital Statistics System ajustait les statistiques, pour préciser les causes de décès cumulatives (présentes, concourantes, comorbidités). Au final, sur la base des données disponibles, l’organisme pouvait établir au 6 décembre 2020, que parmi le grand nombre de morts annoncés comme étant victimes «du virus de la COVID», seulement 6% se sont avérés de la COVID seule (2). Cela représente, par exemple, 30,000 cas par tranche de 500,000 cas (500,000 X 0,06 (6%) = 30,000 cas de décès uniquement COVID. Ce sont les proportions officielles que les médias traditionnels convergents ont à peine effleurées, sinon ignorées. 

Extrait du tableau : Conditions contributing to deaths involving COVID-19, by age group, United States. Week ending 2/1/2020 to 12/5/2020

Portrait de l'état de la situation au 6 décembre 2020 / Source: National Center for Health Statistics. National Vital Statistics System. Provisional data. 2020.

EXTRAIT : https://www.cdc.gov/nchs/data/health_policy/covid19-comorbidity-expanded-12092020-508.pdf


Traduction : 

« Pour 6% des décès, la COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès dont les conditions ou les causes s'ajoutaient à la COVID-19, il y avait en moyenne 2,9 conditions ou causes supplémentaires par décès. Le nombre de décès pour chaque condition ou cause est indiqué pour tous les décès et par groupe d'âge. Les valeurs dans le tableau représentent le nombre de décès qui mentionnent la condition indiquée et 94% des décès mentionnent plus d'une condition. » (3)

Cette tendance des données était déjà connue et diffusée par les CDC à l’été 2020, mais les médias du Québec, entre autres, en ont fait très peu état. Les rares références étaient-elles uniquement pour se protéger contre de possibles accusations de désinformation, particulièrement en contexte où les médias majeurs, même privés, sont maintenant subventionnés par de l’argent public (provenant des taxes et impôts) et ont par conséquent des obligations morales ou non plus uniquement commerciales qui en découlent?

Pathologies contribuant aux décès impliquant le COVID-1

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Déjà à la fin du printemps 2020, les causes potentielles de mortalité (comorbidités, note 4) étaient connues comme fréquentes, avec en moyenne, entre 2 et 3 maladies + la COVID. Mais avec l’évolution de la maladie et les ajustements statistiques, les chiffres pour la période de 2020 indiquent maintenant de l’odre de 3 problèmes de santé, en moyenne, en plus de la COVID, pouvant avoir contribué au décès ou causé celui-ci; soit 2,9 cas de pathologies, sans compter le virus, et ce pour 94% des morts avec COVID.

Autrement dit, 94% des décès avec présence de COVID touchaient des personnes avec un état de santé combinant au moins 1 comorbidité en plus de la COVID (en moyenne 3 problèmes de santé présents en plus de la COVID). Il s'agissait souvent de victimes hypothéquées par divers problèmes de santé; souvent des personnes à qui il restait quelques mois ou même semaines à vivre ou en fin de vie, et qu’une grippe ou un rhume présents auraient pu tout autant emporter, ou qui décédaient d’une autre maladie avec présence COVID détectée (y inclus ce qu'on appelle la mort naturelle).

Ne jamais déléguer votre privilège et votre liberté de réfléchir face aux prétentions de l'État

Cette variation majeure entre les premières heures suivant les décès et les chiffres pondérés par la suite, nous montre à quel point il est important d’aller aux sources et non de dépendre uniquement des bulletins de nouvelles de médias convergents, ayant perdu leur indépendance éditoriale, qui ne représentent souvent plus l’intérêt premier des populations, mais plutôt de leurs propriétaires. Cela indique que la panique des leaders a mal servi les populations, au moins par ignorance, quand il ne s'agissait pas de fraude politique ou même de corruption. Et 2021 en est la suite. 

Commencez-vous à comprendre qui nous dirige?

Pensez par exemple au fait que l'on vous disait au Québec, qu'il n'y avait plus (presque disparition) de décès dus à l'influenza (grippes) ou aux complications de rhume en 2020. C'est totalement faux, comme le montrent les données américaines. En fait, c'était le moyen de tout compiler sous COVID. Nous savons donc quels intérêts sont aux commandes.

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1.     Conditions contributing to deaths involving COVID-19, by age group, United States https://www.cdc.gov/nchs/data/health_policy/covid19-comorbidity-expanded-12092020-508.pdf

Ces chiffres officiels ont été diffusés par le CDC américain, bien connus comme agence de surveillance (veille) de la santé publique pour les États américains.

2.     Et faut-il rappeler que les porteurs du virus détecté n’étaient généralement pas traités avant les éventuelles complications, ce qui les mettaient à risque (interdit de traitement avec des substances déjà connues et peu coûteuses).

3.     Original en anglais : "For 6% of the deaths, COVID-19 was the only cause mentioned. For deaths with conditions or causes in addition to COVID-19, on average, there were 2.9 additional conditions or causes per death. The number of deaths with each condition or cause is shown for all deaths and by age groups. Values in the table represent number of deaths that mention the condition listed and 94% of deaths mention more than one condition."

(CDC et état des données le 6 décembre 2020, selon le National Center for Health Statistics. National Vital Statistics System. Provisional data. 2020.)

4.     Les pathologies concourantes pour la mortalité en présence de COVID-19 sont, par exemple, les maladies respiratoires, les diabètes, les maladies cardiaques, l’hypertension, les infections déjà présentes comme l’influenza (grippes saisonnières) ou les rhumes, les pneumonies, etc.