dimanche 29 juillet 2018

Marxisme et appropriation culturelle: Qui seraient les prochains accusés?

Que ferait la gauche du Plateau, face à une attaque contre le Festival international de jazz de Montréal? 

Nous savons qu'en juillet 2018, le performeur et producteur Robert Lepage, opérant depuis la ville de Québec au Canada, a été accusé de pratiquer l'appropriation culturelle avec sa pièce SLĀV, présentant des chants d'esclaves recueillis en 1930. La controverse a amené Robert Lepage, avec Betty Bonifassi, à annuler une partie des présentations. Dans cette foulée, il a annulé Kanata, une production inspirée des Amérindiens, suite au retrait d'un commanditaire (sponser) insécure.

Logiquement, l'illogique propagande

dimanche 15 juillet 2018

Pourquoi Robert Lepage? Les esprits libres font peur à l'extrême gauche marxiste

La Caricature de Robert Lepage par FLEG (2018), illustre bien un activisme sournois qui promet un nouveau monde en privant le monde réel des libertés fondamentales de choix et d'expression. Le performeur Lepage (metteur en scène,  producteur, auteur dramatique, acteur, cinéaste, ...) est victime de la théorie néo-marxiste de l'appropriation culturelle avec sa pièce SLĀV.

vendredi 13 juillet 2018

Enquêtes du FBI : Peter Strzok, haut gradé de l'agence, avait une haine viscérale de Trump et de ses partisans en 2016

OU quand Peter Strzok mène l'enquête dans rien de moins que deux dossiers majeurs dans l'histoire des États-Unis: une possible tentative de la Russie d'influencer l'élection présidentielle américaine de 2016 (selon une source anonyme) et l'utilisation de serveurs (et téléphones mobiles) privés dans ses fonctions de Secrétaire d'État, par la candidate Hillary Clinton. Avec l'opinion haineuse que le sous-directeur adjoint du FBI, Peter Strzok, avait en 2016 du candidat Donald Trump et de ses nombreux partisans, il était pratiquement impossible qu'il mène une enquête impartiale.


Ceci, à mon sens, vaut pour les emails d'Hillary Clinton et pour une éventuelle ingérence russe pouvant éventuellement nuire aux Démocrates en 2016. De plus, les communications de la Secrétaire d'État sur serveurs et ordinateurs privés, ce qui est un fait reconnu, ont mis en danger la sécurité américaine, ce qui exposait Madame Clinton à des accusations criminelles. Monsieur Strzok (à prononcer Struck comme dans truck) a même un temps été affecté à d'autres dossiers, après avoir texté des messages méprisants, voire menaçants, dont nous apprenons le contenu avec étonnement, lors de son témoignage public en Chambre.

jeudi 5 juillet 2018

Je réagis au journalisme anti-Donald Trump de Camille Lopez de l'Actualité

La lecture d'un article de l'Actualité m'a fait sursauté, tant les raccourcis, le manque de recherche, la partisanerie anti-Donald Trump y sont évidents. Tout en taxant la droite conservatrice d'extrême-droite réelle ou imaginaire (robots informatiques) et de conspirationniste (théorie du complot), l'article titre en retour: «QAnon, la conspiration qui fait de Donald Trump le sauveur des États-Unis» (l'Actualité, 4 juillet 2018). L'article est publié le Jour de la Fête nationale des États-Unis en prime; indice de l'intention et de la motivation de Lopez.



NOTE: Je ne me suis pas relu en profondeur avant de poster sur la page de l'article, car la case je ne suis pas un robot se décochait à répétition quand je rédigeais directement en ligne.

Petites corrections:

- l'Actualité n'est pas un journal, mais un magazine mensuel

- et de plus en plus d'Afro-Américains délaissent (au pluriel et non pas «délaisse») le Parti Démocrate, car ils sont plusieurs à le faire (exemple: hashtag Twitter =  #WalkAwayMovement).


Voici ma réaction sur le contenu de l'article de l'Actualité : QAnon, la conspiration qui fait de Donald Trump le sauveur des États-Unis :