La lecture d'un article de l'Actualité m'a fait sursauté, tant les raccourcis, le manque de recherche, la partisanerie anti-Donald Trump y sont évidents. Tout en taxant la droite conservatrice d'extrême-droite réelle ou imaginaire (robots informatiques) et de conspirationniste (théorie du complot), l'article titre en retour: «QAnon, la conspiration qui fait de Donald Trump le sauveur des États-Unis» (l'Actualité, 4 juillet 2018). L'article est publié le Jour de la Fête nationale des États-Unis en prime; indice de l'intention et de la motivation de Lopez.
NOTE: Je ne me suis pas relu en profondeur avant de poster sur la page de l'article, car la case je ne suis pas un robot se décochait à répétition quand je rédigeais directement en ligne.
Petites corrections:
- l'Actualité n'est pas un journal, mais un magazine mensuel
- et de plus en plus d'Afro-Américains délaissent (au pluriel et non pas «délaisse») le Parti Démocrate, car ils sont plusieurs à le faire (exemple: hashtag Twitter = #WalkAwayMovement).
Voici ma réaction sur le contenu de l'article de l'Actualité : QAnon, la conspiration qui fait de Donald Trump le sauveur des États-Unis :
«Manque de profondeur, cette «recherche» journalistique... Et question, pourquoi la case Je ne suis pas un robot se désélectionne À RÉPÉTITION pendant qu'on rédige???
«Q est beaucoup plus complexe et de plus en plus de membres de la communauté Afro-Américaine délaisse les Démocrates. Certaines personnes prises dans des scandales sont forcées de démissionner ou de ne pas se représenter à mi-mandant, en raison d'actes qui ont violé la sécurité américaine ou de leur mandat qui aurait dû être neutre (ex. cadres du FBI), mais qui a été partisan (pro-Hillary 2016). Plusieurs disent démissionner de postes stratégiques alors qu'ils ont été démis.
«Les rapports officiels, pas les nouvelles de CNN, ont discrédité le complot Trump vs Russie. Il y a eu des interférences comme les États-Unis en ont fait aussi ailleurs sous Obama (ex. en Israël). Et elles visaient à DÉSTABILISER / AFFAIBLIR les États-Unis au plan international en divisant le vote pro-Hillary.
« #QAnon ne dit pas qu'il n'y a pas eu d'enquête sur un possible lien Trump-Russie, mais qu'elle a été déclenchée basée sur d'informations partisanes soumises au Département de la Justice (DOJ) avec des demandes et renouvellement tronqués qui ont servi à espionner la campagne de Trump. Les infos de votre complot Russie-Trump (qui est complotiste sinon les médias qui ont alimenté durant plus de 1 an ?) émanent d'une source qui s'est ensuite avérée payée par les Démocrates via une entreprise interposée. Le fils de Trump avait autant le droit de consulter les Russes que Jean Chrétien pour les Libéraux du Canada durant l'année électorale 2015. Tous les partis font cela avant le lancement d'élections, pour évaluer les relations post-électorales, diplomatiques, commerciales, politiques, etc... Vous ne réalisez même pas que les fondations caritatives aux noms de politiciens, servent en partie au retour d'argent pour financer des candidats (ex. Iran à Hillary Clinton en échange de l'entente nucléaire).
«Quand des personnes sont arrêtées (ex. des proches de Hillary Clinton, ex. Joel DAVIS pour pédophilie et possession de matériel pédophile, qui avait lancé une organisation vouée à contrer la violence sexuelle un des jeunes organisateurs de Mme Clinton par le FBI 26 juin dernier) votre journal n'en parle même pas, mais vos plates-formes diffusent toute rumeur/accusation sur Trump. Comme celles de "Stormy" (la tempête porno) dont les Américains se fouent et qui sont tombées à plat.
«Quand une nouvelle sort enfin au Québec, c'est avec 2 ou 3 mois de retard sur les États-Unis et alors, une nouvelle rumeur sur Trump arrive selon "une source" et vous diffusez.
«Vous ne vous demandez même pas pourquoi la fusillade de Las Vegas a visé un festival de musique country surtout fréquenté par les Républicains et pourquoi l'enquête ne trouve ni le motif, ni le (la) probable 2e tireur. Vous ne diffusez pas que plus d'électeurs votent en Californie, que le nombre en âge de voter sur les listes électorales des comtés. Ou que des illégaux votent.
«Vraiment malhonnête et court comme journalisme. »
FIN du commentaire posté sur l'Actualité:
https://lactualite.com/monde/2018/07/04/qanon-la-conspiration-qui-fait-de-donald-trump-le-sauveteur-des-etats-unis/
Ça fait du bien...
Et ceci aussi:
Le croiriez-vous? il reste des journalistes et médias qui ne savent pas encore (ou feintent ne pas savoir) que les dons à des fondations appartenant à des politiciens sont en partie, des moyens de financement cachés en retour de services rendus ou des dons en échange de politiques favorables (pay for play). Cela explique bien des aveuglements volontaires de la part d'élus qui ont promis des choses à des entreprises ou même à des gouvernements étrangers.
Voici un exemple dans le contexte du Canada, de dons étrangers qui augmentent de manière suspecte. Est-on en train de vendre nos libertés et notre démocratie?
Ci-dessous, les montants donnés à la Fondation Trudeau sont en milliers de dollars ($), donc il faut multiplier par un facteur X 1000. La part des dons de étrangers (en bleu) est phénoménale; suspecte. Cela doit être investigué sérieusement, d'autant plus que du financement politique chemine par les fondations aux États-Unis (directement ou passés comme frais de gestion au pourcentage de la fondation). (1)
Everything in Canada is underperforming except Trudeau Foundation— Manny_Ottawa (@manny_ottawa) 5 juillet 2018
Hey Media this a huge smoking gun.
Why not research this 1000% jump in donations - we learnt #ClintonFoundation was at best suspect instead of #TrumpDerangementSyndrome reporting 24/7.
This might help Canada pic.twitter.com/VVWVi582O4
On observe avec stupéfaction que les dons étrangers à la Fondation Trudeau ont dépassé les dons canadiens. La part des dons étrangers est représentée en BLEU
Source : National Post |
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1. L'expérience d'enquêtes a démontré ailleurs que par moments, les dons étrangers aux fondations des politiciens sont des retours sur de l'argent public (argent prélevé du peuple et des entreprises) fourni à des États étrangers. Par exemple, le gouvernement élu donne des millions en argent pour un gouvernement (plus ou moins contrôlé), et ce dernier redonne à la fondation, un ou deux ans plus tard, année électorale comme par hasard, dont une partie (ex. 20 ou 25 pourcent) va "légalement" en administration, donc en partie au politicien. Imaginez par exemple un don de 100 millions de dollars des États-Unis (ou une faveur de la même valeur), avec un retour de 10 millions 2 ans plus tard en don de l'État étranger, dont la fondation prélèverait 20% en frais d'administration dont la moitié (10% de 10 millions) pour le politicien. Cela lui ferait 1 million, vite fait, pour zéro investissement personnel. Parfois, le don étranger est du tout gratuit en échange d'une politique attendue (ex. une aide matérielle plus ou moins contrôlée).