TIREUR AGISSANT SEUL ET DÉSÉQUILIBRÉ? COMPLOT? OU COUP D'ÉTAT?
Cette semaine, le 19 novembre 2013 à 20 heures, Télé-Québec (1) nous a présenté «Kennedy», un documentaire sur l’assassinat du président John Fitzgerald Kennedy (JFK) le 22 novembre 1963 à Dallas aux États-Unis. Dans ce documentaire du National Geographic, le journaliste Max Holland présente la thèse du tireur unique isolé. Dans le documentaire même, on note une déclaration d’un témoignage clé qui dure quelques secondes mais qui démolit la thèse du tireur unique avec une simple carabine à culasse. (dernière modification : 26 novembre 2013)
Cette semaine, le 19 novembre 2013 à 20 heures, Télé-Québec (1) nous a présenté «Kennedy», un documentaire sur l’assassinat du président John Fitzgerald Kennedy (JFK) le 22 novembre 1963 à Dallas aux États-Unis. Dans ce documentaire du National Geographic, le journaliste Max Holland présente la thèse du tireur unique isolé. Dans le documentaire même, on note une déclaration d’un témoignage clé qui dure quelques secondes mais qui démolit la thèse du tireur unique avec une simple carabine à culasse. (dernière modification : 26 novembre 2013)
LIRE AUSSI L'article du Paris Match:
ASSASSINAT DE JFK POUR BOBBY KENNEDY: C'EST UN COMPLOT
http://www.parismatch.com/Actu/International/La-conviction-de-Bobby-Kennedy-c-est-un-complot-537520
Voici ce que le documentaire reprend sans l'intégrer dans un ensemble logique: La preuve d’au moins 2 tireurs peut aussi se faire par le même documentaire du National Geographic (Max Holland) qui retient la thèse qui la discrédite.
Or à un point crucial du témoignage livré dans le film, par celui qui est maintenant un homme d’âge mûr, ce dernier nous donne audiblement la cadence des coups. De sa position, il en a entendu trois. Mais c’est le rythme qui importe. Première détonation – pause | Deuxième et troisième détonations très rapprochées, espacées de moins d’une seconde, rappelons-le, avec une carabine à culasse et le temps nécessaire pour viser. C’est à ce point-ci que la thèse principale du documentaire s’écroule. Sans s’en rendre compte, le producteur insère ainsi dans son propre documentaire, une déclaration d’un témoin clé de l’époque, qui rend impossible deux coups de feu (balles dites B et C) en moins d'une seconde tirés d'une seule arme à culasse actionnée manuellement.