dimanche 23 mars 2014

Le Québec devrait donner sa chance à Legault et une équipe CAQ

23 MARS 2014. Je crois que François Legault a la trempe d'un premier ministre. L'homme a en plus, un discours différent, plausible et ne dit pas uniquement ce que l'on voudrait entendre. Et il a prouvé et prouve qu'il sait calculer, ce dont on a besoin, pour éviter la disparition de la classe moyenne en sursis. Il sait aussi pondérer l'émotivité (être modéré), par exemple sur la question identitaire. Le Québec devrait à mon sens lui donner sa chance. Sinon, après cela, qu'on ne disent plus jamais que les politiciens ont la langue de bois. Il ose dire non à certaines dépenses.

AVIS : Ceci a représente mon opinion à la date de rédaction de l'article dans le contexte précis des élections du printemps 2014. Ce n'est pas une adhésion permanente aux idées de la CAQ.

François LEGAULT, 2011.
Source:  Wikipedia
Je dois m'en confesser, avant je n'y croyais pas. Comme ministre, peut-être, mais pas comme chef éventuel du Québec. Puis, les choses ont changé, mais pas le PLQ, ni le PQ. Bien sûr on peut tous être en désaccord avec certaines décisions de l'homme lorsqu'il a été ministre sous le PQ, mais lequel des autres chefs de parti ayant déjà été un élu, reçoit notre appui sur tous les sujets?


 
Durée : 18 min. 29 s. L'émission Tout le monde en parle était pré-enregistrée. Elle était diffusée en différé, le dimanche 16 mars 2014.

Le Plan Saint-Laurent, exprimé par un livre (un peu trop cher à mon sens) me semblait une coquille vide, tournée vers le grand fleuve, indigne d'être lue. Mais en l'écoutant l'expliquer brièvement,

Le DGE aux prises avec de nouveaux électeurs étudiants allophones et anglophones

Le DGE jongle avec une pomme de terre (patate) chaude pendant que le PQ ronge son frein. Intéressant ce phénomène des étudiants de citoyenneté canadienne originaires d'autres provinces, notamment de l'Ontario, qui veulent participer à la vie électorale. Selon le DGE (Directeur général des élections), les règles sont claires, mais l'application dans la pratique l'est beaucoup moins. L'organisme doit se garder de céder aux pressions politiques et de brimer des étudiants qui vivent véritablement au Québec au sens de la loi électorale

Le risque d'erreur (ou même d'abus administratif) de l'entité qu'est le DGE émerge apparemment au moins sous 2 aspects: