samedi 2 juillet 2016

Le débat canadien des redevances Netflix, Apple TV, Youtube ou autres

Sur les redevances canadiennes de Netflix, Apple TV et autres, le respecté Guy Fournier, comme tout humain, peut errer. Même Steeve Jobs a erré (film 2013). 


Les portes d'entrées des données et du divertissement numérique sont devenues incalculables: câble conventionnel, applications mobiles, serveurs de données, grands médias ou médias spécialisés... La seule chose commune (plus petit commun dénominateur), c'est le volume de données en lien avec la bande passante, qui lui est déjà taxé plus d'une fois si le client est en mode abonnement (fournisseur internet ou téléphonie mobile, par exemple). Et contrairement aux producteurs canadiens, les entreprises étrangères ne reçoivent pas de subvention canadiennes. Ceci, il faut en tenir compte. 


Nous faisons probablement fausse route dans le cas du dossier des redevances de Netflix, Apple TV, YouTube et autres producteurs et diffuseurs de données qui ne paient pas de taxes au Canada, ce qui pénalise logiquement les producteurs et diffuseurs d'ici (Québec ou Canada). Il n'est pas obligé qu'il en soit ainsi.

Guy FOURNIER. Netflix finira-t-il par cracher son dû? Journal de Montréal. 30 juin 2016


Si c'est le CRTC avec ses règles devenues inapplicables dans une nouveau contexte qui leur cause problème, alors...