POUR HAÏTI (principalement Port-Au-Prince) je répète encore, moi qui veut que cela se fasse: «OUI, mais comment?». Il semble que mon «Oui mais comment?» soit compris par quelques-uns comme une opposition de ma part. C'est tout le contraire! Il s'agit de faire la nuance entre la théorie et la pratique. Voilà! Par exemple, l'expérience démontre que les comités traditionnels ne sont pas adaptés aux réponses rapides en situation de crise, lesquelles exigent une autorité forte et une centralisation des décisions pour se relever rapidement d'une crise. Il faut des leaders avec un mandat; une sorte de cellule de gestion de la reconstruction mais avec des pouvoirs pour décider et aller de l'avant au quotidien. Voir l'article et ses liens pour comprendre...
C'est pour cela (complexité et situation atypique) que j'ai proposé cet article d'opinion. Retenez ce qui est bon, s'il y a quelque chose de valable.
La situation ressemble à une Europe profondément blessée et à un Berlin démoli en partie après la Deuxième Guerre mondiale (1939-1945).
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Haïtiens assemblés devant les ruines du palais présidentiel (2010). |