samedi 22 février 2020

Un Conte politique : Le chef immature de l'ADANAC et ses habitants

Politi-Conte du pays de l' ADANAC


Un jour, en ADANAC, les gens ont élu comme chef un garçon immature, beau de figure et bien vêtu. Son père s'était enrichi en politique, dont chaque année, il retirait plus que son salaire. Les vrais dirigeants du pays, des gens fort riches, se dirent que celui qui se croyait chef pouvait dire des âneries, du moment qu'il souriait et amusait les sujets de ses farandoles et habits. 





Pendant qu'eux détournaient les lourdes taxes et impôts pour se bâtir des villas de joie et donner aux ogres dirigeant des contrées, les sujets riaient avec le garçon. Mais les vrais chefs, dans l'ombre, s'occupaient de l’avenir. 





Un jour, les sujets se réveillèrent sans maison et pauvres. Le boulanger, le charretier, plusieurs fermaient boutique. Les sujets n'eurent plus assez d'argent pour avoir des enfants, ni pour vivre bien jusqu'à la fin de leur temps terrestre. 




Trop tard, hélas, les sujets comprirent que l'on s'était amusé d'eux; que l'on ne doit pas laisser les autres planifier sa propre vie. D'autres personnes vinrent habiter leurs maisons et
les pauvres sujets, travaillèrent jusqu'à la fin de leurs jours, de plus en plus courbés et sans argent pour se reposer, ni endroit pour se faire soigner.



Désolé si ça ne finit pas bien. 
Dessine-moi des images à colorier pour illustrer cette histoire.





lundi 10 février 2020

TRUMP - Discours sur l'état de l'Union en français 2020

YaPasDePRESSE vous partage une version doublée en français du Discours sur l'état de l'Union 2020, par le Président Donald Trump. Remerciements à André Pitre | Le Stu-dio et Stu-dio.tv pour le rendre disponible.





dimanche 2 février 2020

L'université UBC a capitulé devant l'Antifa pour la tenue de l'événement Andy Ngo

VANCOUVER, BC : L'organisme Justice Centre pour les libertés constitutionnelles (www.jccf.ca) avait donné jusqu'au 10 janvier au président de la University of British Columbia (UBC) [Université de la Colombie-Britannique au Canada], sous une action en justice si l'institution ne revenait pas sur l'annulation d'un événement prévu au cours duquel le journaliste Andy Ngo devait discuter de la violence Antifa. L'UBC a refusé de revenir sur sa décision et a ainsi plié devant la menace antidémocratique. 

Le journaliste Andy Ngo devait donner une conférence à UBC à la fin de janvier 2020. Tout était organisé et l'acompte était déjà versé, quand le 20 décembre 2019, UBC a annulé l'activité par un simple courriel, sur des rumeurs de violence. UBC a reçu une mise en demeure de rétablir l'événement sous peine d'une action en justice. Selon le journaliste du Post Millenial, il faut organiser la sécurité et non entraver la liberté d'expression, car sinon, les demandes des groupes violents antidémocratiques augmenteront. 

Agissant à la demande du Free Speech Club, le Justice Centre avait adressé une lettre de mise en demeure au président de l'UBC, M. Santa Ono, le 31 décembre 2019, demandant que l'UBC rétablisse l'événement Andy Ngo sous peine de poursuites judiciaires. La lettre précisait notamment :

«Nous demandons instamment que l'UBC n'abandonne pas l'une de "ses fonctions principales" qui consiste à "fournir un forum où les idées peuvent être exprimées, débattues et remises en question".  Les préoccupations en matière de sûreté et de sécurité doivent être traitées conformément à l'État de droit du Canada en tant que société libre et démocratique.» 


Dans sa réponse du 8 janvier la direction de l'université (UBC) a préféré ne pas organiser l'assistance nécessaire pour assurer la sécurité d'un événement démocratique et ainsi décidé de ne pas perpétuer la tradition universitaire occidentale de la liberté d'expression. Ce faisant, la direction a manqué de courage selon l'association organisatrice: The Free Speech Club.


La réponse de la direction a été un refus de tenir l'événement et de maintenir sa suspension à quelques semaines d'avis.

DÉBUT DE L'EXTRAIT

«Hubert Lai, conseiller juridique de l'UBC, a répondu le 8 janvier 2020 que l'UBC ne rétablira pas l'événement Andy Ngo, déclarant que "M. Ngo a été la cible de violences dans le passé" et affirmant que "le risque pour les personnes et les biens était trop élevé". 
«Le Justice Centre a [par conséquent] été chargé par le Free Speech Club de déposer une requête en justice contre l'UBC pour son annulation de l'événement Andy Ngo. 
«Le refus de l'UBC de défendre la liberté d'expression montre qu'elle a perdu de vue son "rôle central de forum où les idées peuvent être exprimées, débattues et remises en question, et où les participants peuvent acquérir une meilleure compréhension mutuelle", a déclaré l'avocat Marty Moore du Centre de justice. "La décision de l'UBC pénalise effectivement une victime de violence en lui interdisant de s'exprimer à l'UBC, dans ce qui semble constituer une tentative d'apaisement du groupe violent Antifa", a poursuivi Moore.

FIN DE L'EXTRAIT
LIRE L'ARTICLE INTÉGRAL EN ANGLAIS : ICI

Les nouvelles victimes punies deux fois


Dans la nouvelle justice qui transcende les états de droit démocratiques, les nouvelles victimes sont punies deux fois

Ce qui est en effet inacceptable dans cette conclusion est le fait de concéder que les victimes de violence soient punies deux fois; par l'agression et par l'interdiction d'en parler soutenue par une étrange complicité étrangère aux traditions canadiennes. Avec une telle pensée, nous nous retrouvons devant un phénomène de déni d'une nature semblable à la collaboration contre un état envahisseur; ici l'adversaire étant des organisations mystérieuses et ennemies de la liberté d'expression et de la démocratie. Ces groupes fluides pourraient tout autant être commandités par des intérêts criminels ou encore des intérêts gouvernementaux ou étrangers, que cela ne serait pas surprenant. 

La violence Antifa contre l'information alternative ou citoyenne


En 2019, en Orégon (États-Unis), le journaliste Andy Ngo avait été violemment attaqué par des Antifas, avec ce que la gauche appellent un «Milkshake», qui constitue en fait une agression (lancer un objet) et une entrave à la liberté d'expression. Sur cette base et sous la menace contre l'establishment de la petite liberté, l'université a préféré ne pas lui ouvrir ses portes pour un exposé devant des étudiants.


Résultat de ce que la gauche appelle un «milkshake»




Attaque par une organisation autoproclamée Antifa en Oregon aux États-Unis en 2019. La gauche appelle cela, avec humour, un «milkshake» mérité. Les photos détaillées plus bas, montrent bien une agression. Lorsque vous entendez les Démocrates menacer d'un «milkshake», c'est bien d'un geste d'agression anti-démocratique qu'ils menacent.

Les photos de l'agression en Orégon montrent au moins 2 impacts ou plus (visage et yeux, et oreille droite partiellement déchirée au lobe, plus un serrement du cou. Ceci porte clairement les signes d'une agression volontaire.

Cette histoire est pour moi celle de la victoire de la violence et d'un manque d'organisation et de courage de la direction de l'université. Par exemple, la direction aurait pu faire un appel légitime à la police, pour la tenue dun événement tout à fait légal et caractéristique de la grande tradition des débats universitaires. Cette histoire m'a sincèrement mis en colère, car encore une fois, un pilier de la liberté d'expression, un milieu universitaire, plie devant la violence. Envoyer le message que la violence ou la menace fonctionne, c'est concéder que dans une ou deux générations, les criminels seront encore plus au pouvoir (mon tweet aidé d'un traducteur):




LIRE L'ARTICLE ORIGINAL en anglais ICI : UBC capitulates to Antifa, refuses to reinstate Andy Ngo event, Jan 13, 2020, Justice Centre for Constitutional Freedoms.

Pour plus d'informations en anglais, Marty Moore, Staff Lawyer, Justice Centre
mmoore@jccf.ca , media@jccf.ca


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