jeudi 12 novembre 2020

Existe-t-il un vaccin contre le totalitarisme ? Cet éditorialiste en a un besoin Express !

Existe-t-il un vaccin contre le totalitarisme ? Un éditorialiste du Journal l'Express en a vraiment besoin. Dictatorial et éditorial riment très bien ici. Je vous partage ce lien vers une capsule vidéo éditoriale sur Twitter, vers le futur possible... 


Voilà exactement ce que plusieurs sentent venir en faveur du vaccin imposé. Je ne dépose par une copie de la vidéo, pour ne pas être bloqué pour pseudo «atteinte aux droits d'auteur». Lien en fin d'article

Un éditorialiste de l'Express qui a même dirigé la rédaction du journal durant 10 ans, recommande, dans une capsule édito vidéo (sur Twitter), un confinement social de ceux qui refuseraient le vaccin. Ils se seraient eux-mêmes auto-confinés, se privant du droit de socialiser. La vidéo du 10 novembre 2020 avait déjà été vue près de 314,000 fois au moment d'écrire ces lignes.



(dans la citation qui suit, «les autres» désigne ceux qui n'ont pas d'allergies ou contraintes médicale contre le vaccin)

CITATION:

«Ensuite, pour les autres, ceux qui se méfient de ce que l'on leur inocule, ceux qui tombent souvent dans le complotisme, il faut être coercitif, mais plus malin peut-être qu'une obligation de type militaire. On ne va pas mettre les gens en prison. 
Eh bien, instaurons une règle. Si vous n'êtes pas vaccinés, vous ne pouvez plus aller au restaurant, vous ne pouvez plus aller au théâtre, vous ne pouvez plus prendre l'avion. Vous êtes, de vous-mêmes, retirés de la vie collective. Vous êtes auto-confinés. Il faudra avoir son certificat de vaccination comme un laisser-passer pour être dans la société».

FIN de la citation.

Et il oppose ensuite, l'intérêt particulier à l'intérêt supérieur de la nation. C'est très pervers car un comité dictatorial dirait essentiellement, c'est toi qui te fais souffrir, parce que tu refuses de te soumettre à notre «bienveillance». C'est 1984 en 2020

La prochaine étape, c'est quoi? Les transports en commun, les hôpitaux, les écoles, le simple droit travailler, ... ? Mais la prison, non. Ça en ferait des martyrs et il faudrait les nourrir. Et ça laisserait des traces de pratiques dignes du nazisme ou des régimes totalitaires. On ne veut surtout pas de chasse aux criminels comme après la défaite de l'Allemagne en 1945.

En tout cas, si le mal n'existe pas (comme le croient quelques uns), les esprits du mal, oui!