Au Québec et en plusieurs autres États ou centres urbains en 2020-2021, le système gouvernemental, gestionnaire de la santé et des droits, se contredit, dévoilant ainsi que les actions politiques calculées, sont sans lien avec une soi-disant compassion des États et des politiques (les élus ou les élites politisées au-delà de la partisannerie mais plutôt idéologiquement).
Cela explique la fin des oppositions avec l'arrivée de la COVID, tellement attendue. Par exemple, pourquoi les sans abris (sdf) sont-ils dans la rue en plein hiver glacial québécois, très souvent avec des problèmes de santé mentale ou de toxicomanie (drogues)? Pourquoi ne les place-t-on pas, par la contrainte préventive, en institution pour les protéger contre eux-mêmes et «sauver des vies» comme on dit pour la COVID ? On dit que c'est à cause des chartes et des libertés individuelles. Bref, tu as le droit de crever déconnecté de la réalité, drogué, et au froid...
Mais inversement, on place des personnes en bonne santé en quarantaine, on leur impose la distanciation sociale, on les empêche de se voir, on les prive de leur droit de circuler et voyager librement et les tient en détention dans des hôtels à cette fin à leur retour, malgré des tests et des vaccins. On force l'isolement des personnes et leur impose les couvre-feux, sans justification. On ferme des entreprises arbitrairement et on tue les économies locales. On fait cesser les sports. On force des enfants à porter des masques durant des heures pour une maladie qui ne les fait pas mourir, afin de sauver des aînés qu'ils n'ont pas le droit de voir; ces mêmes masques qui nuisent à leur développement et à leur santé mentale ou à leur santé (contamination respiratoire par des bactéries), tout en leur inculquant une perception traumatisante de l'expérience de l'apprentissage et des relations avec le monde adulte extérieur et le monde réel. On ne traite pas les malades avant qu'ils soient en détresse respiratoire... On interdit aux médecins de prendre position contre les règles gouvernementales illogiques et non scientifiques. On suit, ou pas, au gré des politiques, des règles envoyées depuis l'autre bout du monde (OMS)...
Mais là, avec l'actuel coronavirus, les contraintes sont pratiques courantes et les chartes et les libertés individuelles n'ont plus d'importance; exit la compassion de l'État et des politiques qui survivent aux élections, peu importe les partis au pouvoir. Les partis d'opposition sont couchés. C'est parce que la cause est ailleurs que dans la compassion; ailleurs que dans la préoccupation à «sauver des vies». Réfléchissez là-dessus.