Entrevue réalisée après que la lettre ait été retiré par les anti-information. Un médecin omnipraticien du Québec (Canada) a rédigé une lettre d'opinion sur les risques réels associés à la vaccination des enfants avec la technologie à ARNm. Après avoir publié la lettre d'opinions le 26 octobre 2021 (1), le journal La P res se a rapidement retiré cette dernière sous la pression et une panique hyper-réactionnaire devant une lumière différente en provenance du terrain et non des grandes pharmaceutiques.
Voilà le genre de situations pour lesquelles j'ai commencé à diffuser sur YaPasDePRESSE il y a une décennie.
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ENTREVUE AVEC LE DR LAVIGUEUR, THEOVOX.TV, jeudi, 28 oct. 2021
Le Dr René Lavigueur, pratiquant dans la petite ville de Sainte-Anne-des-Monts, a accepté d'accorder une entrevue au média THEOVOX.tv le jeudi le 28 octobre, 2021.
L'entrevue nous apprend entre autres que
- la lettre du médecin signataire, toujours actif sur le terrain, a été écrite avec des confrères et révisée plusieurs fois avant sa soumission aux médias;
- que cette nouvelle technologie à ARNm est différente des vaccins des générations précédentes et donc, que les citoyens ne savent pas de quoi ils parlent en accusant les médecins et spécialistes dissidents de complotisme, et autres insultes de bas niveau;
- que d'ailleurs, les fabricants ont négocié une immunité judiciaire (ne se tiennent pas responsables des effets de l'injection) [NOTE : alors qu'on parle de doses de rappel, voire d'abonnements aux injections];
- que des personnes formées et informées œuvrant en santé le refusent, parce que les données sont encore inconnues;
- qu'il n'y a pas d'effort significatif au Québec, pour obtenir les données sur les effets secondaires post-injection. Il s'agit d'un formulaire de 5 pages, de déclaration volontaire, sans rémunération des médecins et sans suivi de rappel, dans un contexte d'un système de santé déjà fragilisé depuis plusieurs années (mal attribution des ressources, centralisation, etc.). Historiquement, dans ce genre de situation volontaire, et devant l'impression que les déclarations vont tomber dans un puits, un très faible de pourcentage des effets sont au final déclarées (quelques points de pourcentage % de cas accompagnés d'effets même sérieux ou graves). (2)
- le Gouv. s'appuie donc principalement sur les données de l'industrie, qui n'a pas obligation de diffuser toutes ses données;
- le risque de l'injection imposée aux enfants est injustifié par rapport au faible risque du virus pour le groupe d'âge, en contexte de manque de recul sur l'utilisation du vaccin. Dans ce contexte, le vaccin peut causer plus de dommages qu'il n'en prévient;
- et d'autres informations importantes
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ENTREVUE AVEC LE DR LAVIGUEUR, THEOVOX.TV, jeudi, 28 oct. 2021
LIRE LA LETTRE (et mise en contexte)
Injection des enfants : Lettre d'opinion d'un médecin retirée après sa publication
Un médecin omnipraticien du Québec (Canada) a rédigé une lettre d'opinion sur les risques observés et nettement sous-documentés, associés à la vaccination COVID avec la technologie à ARNm. Cela suffit à mettre en garde contre l'injection imposée aux enfants non à risque. Après avoir publié la lettre d'opinions le 26 octobre 2021, le journal La Presse a rapidement retiré cette dernière sous la pression et la panique hyper-réactionnaire devant une lumière différente en provenance du terrain et non des grandes pharmaceutiques.
https://yapasdpresse.blogspot.com/2021/10/Injection-enfants-lettre-medecin-quebec-retiree-dr-lavigueur.html
Gilles B.
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1. Pour lire la lettre retirée par les éteigneurs de lumière:
https://yapasdpresse.blogspot.com/2021/10/Injection-enfants-lettre-medecin-quebec-retiree-dr-lavigueur.html
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2. Un ami personnel m'a témoigné que sa fille dans la jeune vingtaine avait des effets assez sérieux encore après 3 mois, dont dès règles douloureuses et irrégulières, ainsi que des douleurs au site d'injection. Mais ces effets n'étaient toujours pas déclarés, car survenus après le départ du site d'injection et qu'elle n'avait pas entrepris de démarche. Combien de milliers de cas de la sorte, seulement au Québec, peuvent encore exister? Peut-être, entre autres, par crainte de se faire ignorer ou même ridiculiser si l'on considère l'emprise médiatique défavorable aux victimes.