Une chronique de tourisme publiée samedi le 18 mars dans Le journal Le Soleil (au Québec) suggère à mi-mots, le boycott touristique des États-Unis pour pénaliser l'administration républicaine du président Donald Trump.
Cette tentative du milieu du journalisme et des communications n'est pas isolée. Elle renforce la tendance persistante, à l'effet que la gauche, des deux côtés de la frontière, entend nuire à l'administration de Donald Trump par tous les moyens possibles, incluant la désinformation et la propagande, jusque dans le tourisme, sans oublier l'immigration illégale qui lorgne le Canada.
Phobie / haine «made in Quebec» et «mad in Quebec»
Comment appelle-t-on la phobie / haine des Américains (États-Unis, U.S.)? Eh bien, il faudra maintenant en apprendre le nom. Dans la page titre (introduction) de la chronique touristique, son auteure fait référence à nombre de Québécois (plusieurs). Puis, dans l`article, les spécialistes interviewés pondèrent et parlent de peu d'impact anticipé. Un pseudo cas-type (anecdotique) est par hasard un Mexicain... Mexique dont on sait la criminalité et l'exode massif vers les États-Unis; deux preuves de l'échec mexicain que l'on tente de faire passer sur le dos des Américain et plus particulièrement de Trump. Pourtant, l'immigration massive n'est pas du nord vers le sud, mais bien du sud au nord. Obama lui-même a dû faire expulser au moins 2 millions d'illégaux. En moins de 4 ans, il s'est volé aux États-unis (piratage et achat), au moins 1,1 million d'identités reliés à l'emploi, crimes généralement commis par des illégaux en vue du travail et des programmes sociaux. C'est lorsque quelqu'un s'approprie votre numéro d'assurance sociale (unique) pour se créer un dossier. Aussi pour pouvoir voter pour les partis les plus à gauche. Votre historique personnel est ainsi en quelque sorte corrompu (travail, impôts, contributions aux programmes sociaux, crédit banquaire, ...).
Pourquoi peut-on parler d'hystérie anti-Trump de la gauche?
On peut parler d'hystérie (donc démarche déconnectée du réel) car les pays visés par le décret du président Trump sont des pays en guerre avec les États-Unis, sinon avec plusieurs éléments hostiles, très anti-américains. Ce sont des États où même un journaliste du Québec ne pourrait pas marcher dans les rues, sans une garde armée rapprochée. Selon la Sécurité intérieure aux États-Unis, déjà le président Obama avait été informé que des éléments tentaient de passer à l'ouest via le flux migratoire déplacé par les conflits, pour y poursuivre le djihad via des attentats. Ou sinon qu'il était très difficile de valider les origines réelles des migrants.
Si la menace a continué d'évoluer depuis le bras de fer de 2015 entre l'administration Obama et les services du renseignement, le principe demeure à l'effet que les États-Unis sont ciblés pour les attentats par des combattants se mêlant aux victimes de la guerre pour entrer en occident. Aucun Québécois ne sera refoulé à la frontière s'il n'a pas récemment voyagé dans l'un des pays ciblés par le décret ou s'il n'a pas la nationalité de l'un de ces États.
Si la menace a continué d'évoluer depuis le bras de fer de 2015 entre l'administration Obama et les services du renseignement, le principe demeure à l'effet que les États-Unis sont ciblés pour les attentats par des combattants se mêlant aux victimes de la guerre pour entrer en occident. Aucun Québécois ne sera refoulé à la frontière s'il n'a pas récemment voyagé dans l'un des pays ciblés par le décret ou s'il n'a pas la nationalité de l'un de ces États.