Des ravisseurs d'âmes du showbiz utilisent la faiblesse d'un parent ou des manipulations pour capturer et exploiter certaines victimes attrayantes ou prometteuses ou ultra-payantes comme Britney Spears, Lindsay Lohan, et plusieurs autres ... Un documentaire de Liz Crokin, journaliste indépendante, ex-journaliste des médias de masse initiée de l'industrie du divertissement. Pour employer une métaphore, dans le terrier du lapin, les merveilles d'Alice (1) sont en fait un cauchemar.
1. Une référence ici au célèbre roman pour adulte publié en 1865 par Lewis Carol et mis ensuite sous forme de conte pour un jeune public : Alice au Pays des merveilles.
La lionne des montagnes de l'Alberta protège son territoire et part en mode d'exploration et de chasse. C'est le temps de prendre position (to take a stand) ou comme on dit au Québec, de mettre son pied à terre, dit-elle dans sa présentation en lançant le projet de consultation des Albertains de toutes allégeances politiques. Le résultat de l'exercice des prochains mois via l' « Alberta Next Panel» pourrait mener à un référendum sur l'avenir de la province, face à la Constitution canadienne.
Danielle Smith, Première Ministre de l'Alberta, Canada, 24 juin 2025
Lionne des montagnes, Alberta, Canada
Traduction en français du sommaire texte, via @yapasdepresse et Deepl sous la publication.
Albertans have had enough of Ottawa’s economic attacks on our province and know it’s time to take a stand.
That’s why today I am launching the Alberta Next Panel.
Our province has contributed immensely to the prosperity of this country, yet Ottawa continues to attack our… pic.twitter.com/UcS8WAtqCt
— Danielle Smith (@ABDanielleSmith) June 24, 2025DÉBUT DE LA TRADUCTION :
Sommaire textuel des enjeux ayant conduit à l'«Alberta Next Panel» et de son objectif
[DÉBUT DE LA TRADUCTION]
« Les Albertains en ont assez des attaques économiques d'Ottawa contre notre province et savent qu'il est temps de prendre position.
« C'est pourquoi je lance aujourd'hui le groupe d'experts « Alberta Next ».
« Notre province a immensément contribué à la prospérité de ce pays, mais Ottawa continue de s'attaquer à notre économie, d'abuser des contribuables albertains en leur imposant une péréquation injuste et des transferts fédéraux, et de s'ingérer de manière destructive dans de nombreux domaines de compétence provinciale - de l'exploitation des ressources à la politique environnementale, en passant par les services de garde d'enfants et les soins de santé.
« Ce statu quo menace l'avenir économique et le mode de vie de notre province. Nous devons à tous les Albertains et aux générations futures de relever et de résoudre ce défi sans délai.
« Le « Next Panel » de l'Alberta consiste en une série d'assemblées publiques en présentiel et virtuelles à l'échelle de la province, où votre voix, vos idées et vos valeurs contribueront à façonner l'avenir de l'Alberta.
« Le panel vous donne un siège à la table pour :
S'entretenir directement avec des responsables gouvernementaux et industriels, des constitutionnalistes et des experts en politique.
Explorer des idées permettant à l'Alberta de faire valoir ses droits constitutionnels afin de prospérer et de devenir un partenaire égal au sein de la confédération.
Discuter de la manière dont nous pouvons protéger l'Alberta contre les attaques économiques extérieures.
À l'issue de ses travaux, le groupe d'experts recommandera les idées à soumettre à la population de l'Alberta lors d'un référendum en 2026.
IMPORTANT : L'enjeu principal soulevé ET clairement expliqué ne consiste pas en la seule péréquation (anglais : "equalization"), mais dans le blocage (la retenue) de l'économie Albertaine durant les 10 dernières années de Gouvernement Libéral, l'empêchant de se développer;
une perte estimée à plus de 500 milliards de dollars en retraits d'investissements dans des projets d'envergure, souvent dus à des politiques de limitation de production ou de blocage de transport vers l'extérieur du Canada (ex. effets des lois C-69 et C-48).
Ce qui compte, c'est ce que donne une province en surplus de ce qui est reçu; non pas ce qu'elle reçoit pour ses infrastructures et programmes pour ses impôts. Par exemple, l'Alberta contribue annuellement pour 20 milliards de dollars de plus que ce qu'elle reçoit en contributions du fédéral.
Depuis 1980, l'Alberta a envoyé à Ottawa 653 milliards de plus en impôts fédéraux (2). que ce qu'elle a reçu en retour. Il ne s'agit plus d'entraide ou de mise en commun dans l'esprit originel de la Constitution (avant 1982), mais d'un système inéquitable, voire carrément inique. L'Alberta a ainsi aidé des provinces, la plupart avec une économie plus importante que la sienne, en combinant programmes, transferts et péréquation.
Bref, on aura compris qu'au regard de plusieurs Albertains, certains partis politiques fédéraux, notamment le Parti Libéral du Canada et les partis alliés comme le NPD, pourraient tenter de monnayer des votes en tordant la Constitution et en permettant à Ottawa de s'ingérer dans les responsabilités des provinces par des programmes et promesses diverses (3).
Dans une entrevue récente diffusée à Québec, la Première Ministre de l'Alberta, Danielle Smith, a déclaré que la démarche pour le futur de l'Alberta et son développement, y inclus à l'international, est inspirée de celle du Québec. Bien que les angles et buts soient différents, il a été conclu que le Fédéral s'ingère là où il n'a pas à faire. Ceci rejoint le Québec, l'Alberta et les intérêts des autres provinces.
Conclusion : l'Alberta ne peut plus s'en remettre aux partis fédéraux pour parler en son nom (porter ses dossiers et projets) sur le plan canadien et international. Elle dénonce aussi, sans en faire son point principal, le fait que des provinces avec des richesses inutilisées et une population importante reçoivent l'aide sous forme de péréquation, de provinces comme l'Alberta (4). Le lancement de l'« Alberta Next Panel » un 24 juin, date de la Fête du Québec, constitue-t-il un clin d'œil envers nous Québécois? On peut bien penser que oui.
Seule petite chose que je lui conseillerais : donner plus de place à l'équipe, car vu d'une autre province canadienne mal informée sur l'ouest canada, on peut se demander par moment si c'est son point de vue ou le point de vue de son gouvernement.
1. Source : Danielle Smith, Plateforme X @ABDanielleSmith , June 24th, 2025 (fr. Panel sur l'Avenir de l'Alberta)
2. En anglais, taxes et impôts sont une même chose au Canada et quand on veut parler de taxe(s) on dit de quelle taxe(s) il s'agit.
3. Ceci, pendant que le parti Libéral crée ou promet des programmes sociaux dans des sphères qui relèvent des provinces comme la santé, les subventions aux services de garde des enfants, l'éducation, etc., en imposant même des normes (lois) restrictives qui atteignent sévèrement les provinces, économiquement et ne sont pas appliquées dans la majorité des populations (Inde, Chine, etc.). Ce qui m'a surpris : les Albertains ne semblent plus avoir autant confiance en l'avenir du Parti Conservateur du Canada. Il faut dire que le PCC a été capable de perdre les 2 dernières élections devant un Trudeau de plus en plus impopulaire. Et si l'on regarde un «conservateur» comme Ford en Ontario, qui a soutenu les politiques libérales récemment, cela en dit long sur la santé du conservatisme, même du conservatisme strictement économique, au Canada. Si "Orange Is the New Black" dans une série télévisée américaine, "Red Is the New Blue" au Canada; du moins, les valeurs libérales deviennent la tendance de tous les partis, du point de vue économique... Dilapider pour être élu et pour avoir l'aval du FEM ou Forum de Davos (WEF).
4. ... pour se donner de la vertu avec l'argent des autres, comme font si bien les politiques, selon mon point de vue.
Je vous présente, Med, Lex et Pol. Aujourd'hui, il existe en quelque sorte, des «pharisiens»* des soins de santé (Med), du Droit (lex = loi), du leadership politique (Pol) et de tout ce qui devait à l'origine être bon pour les peuples, mais qui a dévié de son rôle.
Med, Lex et Pol
Comme à une époque pas très éloignée, au vingtième siècle, nous pourrions entendre leurs collaborateurs dire, pour se justifier : «Nous obéissions aux Ordres» («Ordres», un mot à méditer). Au lieu de protéger les populations, plusieurs haut perchés de nos sociétés occidentales ont protégé et protègent le(s) système(s). Un Décret divin pend au-dessus de leurs têtes, à moins qu'ils ne se repentent de leurs œuvres (s'il reste du temps), car le règne de Dieu est proche et ils n'ont pas aimé les gens, ou ont gardé le silence devant les oppresseurs. Ils ont même permis que les enfants soient instrumentalisés et exposés aux risques pour des profits. Le Médecin des médecins, Juge des juges, Roi des princes de la Terre et Roi des peuples l'a scellé.
__________________
* NOTE de contexte : Jésus a, par amour, choisi de dénoncer les leaders religieux qui étaient violents et assoiffés du pouvoir et a parlé de leur destinée finale. Le principal groupe était les Pharisiens.
OPINION : La fédération unie sous la Constitution canadienne a été designée pour être une union des forces et des économies, et non une succursale de quelques monopoles ou intérêts. C'est mon opinion et cela semble rejoindre celle de Danielle Smith, la Première ministre de la province de l'Alberta, au Canada, si l'on se base sur son discours historique du 5 mai 2025.
Danielle Smith, Première ministre de l'Alberta, avril 2025
Selon une vision dystopique du monde occidental, on pourrait croire que des pouvoirs ou monopoles ont besoin du déclin des pouvoirs nationaux (le post-nationalisme annoncé par le Premier ministre du Canada précédent ?). Il faut croire que le surendettement des nations, qu'on croirait planifié, mène à cela; se penser libre quand on a été vendu pour rembourser une dette (1).
Dans son discours en DIRECT, adressé aux citoyens de la province de l'Alberta diffusé sur certains médias sociaux, dont X, le lundi 5 mai 2025, elle a réitéré les points déjà exprimés au nouveau Premier ministre du Canada, Mark Carney, pour corriger une situation (ou un effort ?) de destruction de l'économie et du dynamisme de la province. Le démantèlement (post-nationalisme ?) ne doit pas se poursuivre sous un troisième mandat consécutif des Libéraux. Le non-accès économique aux ports des deux océans, alors que la devise du Canada est «D'un océan à l'autre» (lat. A Mari Usque Ad Mare) irrite et pénalise l'Alberta qui a transféré et transfère, via la péréquation fédérale, beaucoup d'argent aux provinces moins nanties (ou moins proactives ex. le Québec, ma province de résidence, qui devrait être un état prospère).
Traduction en français de l'essentiel du résumé du discours du 5 mai 2025, prononcé par celle qui se lève telle une lionne pour défendre les Albertains.
Albertans will not stand idle while Ottawa continues to block our resources, decimate our economy, and violate our constitutional rights.
After a decade of destructive Liberal-NDP policies that have cost us over half a trillion dollars in lost investment and hundreds of… pic.x.com/gdjZbpp5OO
Ci-dessous, la traduction en français du texte de la publication X
«Les Albertains ne resteront pas les bras croisés pendant qu'Ottawa continue de bloquer nos ressources, de décimer notre économie et de violer nos droits constitutionnels»
«Après une décennie de politiques libérales et néo-démocrates destructrices qui nous ont coûté plus de 500 milliards de dollars en investissements perdus et des centaines de milliers d'emplois, le moment est venu d'agir concrètement. Nous défendons l'avenir de l'Alberta avec force et détermination».
«Nous prenons des mesures résolues pour protéger notre province :
«Poursuivre un nouvel 'Accord de l'Alberta' [Alberta Accord] au sein du Canada.
Exiger un accès garanti aux ports pour l'énergie et les ressources de l'Alberta.
Demander l'abrogation des lois fédérales néfastes comme la C69 et le plafonnement des émissions.
Exiger le consentement de l'Alberta pour toute restriction à l'exportation de nos ressources.
Accorder à l'Alberta les mêmes transferts fédéraux qu'à la Colombie-Britannique, à l'Ontario et au Québec.
Lancer le panel Alberta Next pour explorer les options à long terme en matière de protection économique et constitutionnelle envers Ottawa.
Préparer un référendum en 2026 sur les propositions clés issues de ces discussions.
Défendre les droits autochtones et les traités sans compromis».
«Nous n'avons pas choisi ce combat, mais l'Alberta le mènera à bien et en sortira plus forte que jamais.»
Ce refus de l'Alberta de se laisser broyer par une doctrine économique suffira-t-il à réveiller les provinces et territoires de la fédération canadienne, unis par une Constitution qui présente les indices d'être sous attaque, laquelle constitution, a fait l'envie du monde entier?
Le moins que l'on puisse dire, c'est que la Constitution canadienne est attaquée dans sa souveraineté et frappée par un ver de répression économique. Ce genre d'attaque semble cibler les États qui font partie de la Résistance au chaos. Selon une certaine doctrine, le chaos est une étape pour compléter la transition vers une nouvelle ère ou un «nouvel ordre» qui profite à certains intérêts. Serait-ce un retour à une ère féodale postmoderne, sous des seigneurs territoriaux. OU sont-ce des seigneurs sectoriels, par le partage du butin selon un découpage des secteurs de l'économie ? Ceci serait possible, entre autres, avec une aide de l'intérieur par la dilapidation de l'argent des taxes et impôts des états comme le Canada et ses provinces, et par des décisions et politiques (ex. surtaxes) pour nuire à l'économie et créer de la sur inflation. Il y a aussi des attaques de l'extérieur pour qui sait observer l'évolution de l'état du monde post-Bug de l'An 2000. Et il y a encore beaucoup d'autres «choses» (mesures) qui surchargent, entre autres, les personnes, les entreprises, les programmes gouvernementaux, etc.
Distractions médiatiques : regardez ailleurs que là où les médias le veulent
De mon point de vue personnel, il y a beaucoup de distractions, sous forme de bruit médiatique, avec le président Trump, alors que la principale menace de ce troisième mandat libéral national, ressemble à une tentative de vente de liquidation; une vente après feu ou après incendie de notre autodétermination et de là, des droits et libertés.
Pensée : Pour qui sait discerner les temps, il ressort que le moyen de la délivrance ne peut pas être uniquement politique et idéologique.
La Première ministre conservatrice, de la province albertaine, Danielle Smith lance un coup de semonce au gouvernement Libéral fédéral canadien reporté au pouvoir le 28 avril 2025. Ce soir-là, le Parti Libéral du Canada, dirigé par son nouveau chef Mark Carney, a devancé le Parti Conservateur du Canada de quelques sièges. L'Alberta ne se laissera plus abuser par le Fédéral, si le PLC est reporté au pouvoir, avait-elle déjà averti, les 20 mars et 1er avril.
Dès le 20 mars 2025, devant la montée soudaine de Mark Carney, à peine sacré nouveau chef du Parti Libéral du Canada en remplacement de Justin Trudeau, la dame s'était déjà levée telle une lionne, imposant le RESPECT pour l'Alberta. Elle a alors lancé un coup de semonce (averti sérieusement) que si les Libéraux sont élus, les Albertains ne toléreront plus brimée dans l'économie de la province.
At his request, I met with Prime Minister Mark Carney @MarkJCarney today. We had a very frank discussion in which I made it clear that Albertans will no longer tolerate the way we've been treated by the federal Liberals over the past 10 years.
Less than 2 weeks ago @MarkJCarney told me in person that C-69 was a barrier to large national energy projects and needed to be dealt with. Now he says he has no intention to do anything with it.
Make no mistake. If this law stays there will be few if any large scale energy… pic.twitter.com/GxJ7uhC5Cn
Si une séparation de la province de l'Alberta semble encore à ce moment-ci peu probable, cela pourrait changer. En attendant, la PM a trouvé la voie:
tenir des négociations serrées avec le nouveau gouvernement fédéral,
parler directement au peuple albertain,
le préparer à une possible sortie (exit) de la fédération canadienne si cela s'avère nécessaire,
instaurer une démocratie plus directe avec ses citoyens; ce qui nécessite certaines adaptations législatives,
tenter de s'allier à d'autres provinces pour la défense des droits constitutionnels des provinces devant un gouvernement Fédéral envahissant,
parler aux Premières nations qui font face aux défis économiques imposés à l'Alberta et devant des nouvelles tentatives politiques radicales dignes du marxisme, en faire des partenaires économiques de projets.
Danielle Smith, s'adressera en DIRECT à la population albertaine, ce lundi 5 mai, 2025 sans le filtre médiatique
Il vaudra sûrement la peine d'écouter le direct de 3:00 PM, heures HAC, pour informer sur les résultats de la rencontre du caucus politique.
This Monday at 3:00pm I will deliver a live address to Albertans on the province’s path forward with the federal government following a special meeting with the Alberta government caucus.
Tune in live on Facebook, YouTube, and X as I announce the bold steps our government is… pic.twitter.com/Dw5VAx45vd
Quelques exemples simples, illustrant les politiques récentes de son administration:
Dans la foulée de sa sortie du 20 mars 2025, semoncer le Fédéral de retourner à son niveau administratif, dans le respect de la Constitution, et laisser la province s'administrer et se développer, avec les partenariats qu'elle veut bien se donner.
Just finished a positive first meeting with Prime Minister @MarkJCarney. We spoke at length about the policies and legislation that are holding back Alberta’s economy, and specific proposals for projects and legislative reforms that will significantly increase market access for… pic.twitter.com/ge1HcPpDUk
Des programmes sociaux pour s'en sortir, plutôt que s'enliser.
À titre d'exemple : une loi pour venir en aide à ceux qui souffrent d'une dépendance sévère.
ICYMI: Alberta is introducing the Compassionate Intervention Act to help those suffering from severe addiction get the treatment they need.
Backed by $180 million for new centres in Edmonton and Calgary, we’re taking bold action to save lives and support recovery. pic.twitter.com/7ZWW5Hl2q3
Dénoncer les dangers immédiats de certaines politiques comme le Zéro Carbone
Ottawa is risking blackouts, higher bills, and the safety of every Albertan with their radical net zero power scheme. Their agenda could drive up electricity costs by 35 percent and leave families in the dark when they need heat or air conditioning most.
Une probable anticipation d'un problème observé ailleurs et au Canada.
ICYMI: Alberta is taking bold action to protect the integrity of our elections.
We’re eliminating the use of electronic tabulators, requiring all ballots be counted by hand, strengthening Voting ID rules, and expanding access to special ballots to make sure every vote is secure,… pic.twitter.com/NppuBcFX3c
Quelque chose se prépare-t-il sous nos yeux? Que le Premier Ministre du Canada, élu sous la bannière du Parti Libéral (PLC), invite le roi Charles à prononcer le discours du Trône au Canada en 2025, devrait nous interpeller. À une époque de réorganisation mondiale où l'on dirait que les coyotes comptent les poules, tout geste politique peu habituel mérite une grande attention.
(article revu et augmenté le 24 mai 2025)
Ce discours annoncé, qui a semblé au départ une bonne blague politique sur les médias sociaux, est maintenant confirmé par le nouveau Premier Ministre du Canada.
«C'est le roi Charles III qui ouvrira la prochaine session parlementaire à Ottawa. Le premier ministre Mark Carney lui a personnellement demandé de faire la lecture du discours du Trône, le 27 mai prochain.» (1)
Dans les semaines et mois qui viennent, nous devons regarder au bon endroit. Le Canada a encore des liens avec la Grande-Bretagne et cette dernière peut aussi offrir les conseils de juristes spécialisés.
Faut-il une ou des clefs que possèderaient encore la nation mère ?
Ce n'est pas le discours prévu le 27 mai, qui importe le plus, mais la présence du Roi et le contexte géopolitique. Par exemple, deux derniers mandats d'un gouvernement Libéral de plus en plus restrictif envers les libertés avant la réélection de 2025, pourraient-ils être annonciateurs de la mise en application de plus grandes restrictions. Pensons à du «Droit nouveau», pour qu'une province puisse moins facilement accéder à son autonomie, ou pour limiter la sortie de sa prospérité et de ses ressources naturelles, ou droits de passage, ou autres comme celui de survoler son territoire, l'accès au ressources de l'Arctique, etc. ? Ou, par exemple, faut-il quelques changements pour imposer des lois liberticides en attente, contre les médias sociaux, et autres ?
Les Britanniques possèdent-ils encore quelques clefs législatives nécessaires au Canada ?
Cela pourrait sembler exagéré, mais le Canada a :
une monarchie constitutionnelle et un système parlementaire hérité des Britanniques,
un ou une Gouverneure générale sanctionne encore les lois et pourrait bloquer des lois.
une fédération encore subdivisé en provinces (et territoires)
le serment d'allégence des élus fédéraux et provinciaux envers le Roi ou la Reine
la Reine ou le Roi du Canada, encore mentionnés dans les contrats publics (ex. je l'ai personnellement vu dans les devis de travaux) du Gouvernement fédéral
et d'autres racines avec des impacts potentiels réels.
Je n'adhère pas à une théorie en circulation, à l'effet que cet événement du 27 mai 2025 constituerait un acte de soumission à la royauté britannique; à une étape vers une même alliance économique et idéologique, peut-être, mais pas en soumission à la Couronne britannique. La suite royale est peut-être nécessaire pour rouvrir la Constitution OU la modifier en vue des prochaines décennies. Faut-il certaines signatures et changements au Droit, pour retirer du pouvoir au peuple ou l'inverse (moins probable).
Penser géopolitique
Il faudrait regarder au bon endroit dans les prochaines semaines de 2025 et 2 années suivantes. La venue du roi britannique, Charles III, quelques années après que le Canada ait été décrit par le précédent Premier ministre comme le premier État postnational, ne semble ni fortuite, ni folklorique, ni uniquement protocolaire, en contexte d'effervescence mondiale et de montée en pouvoir d'anciens organismes consultatifs qui se dotent de pouvoirs exécutifs en voie d'être accordés à des non élus (ex. FEM, OMS, et d'autres). «Où dois-je signer», pourrait peut-être devoir dire le Roi du Canada, à l'écart des médias.
Le roi Charles recevait M. Mark Carney, alors nouveau chef du Parti Libéral du Canda (PLC) à Buckingham Palace le 17 mars 2025 (source: BBC)
Le roi Charles III prononcera le discours du Trône devant le Parlement, composé des élus canadiens issus de l'élection du 28 avril 2025.
La Reine Elizabeth II a déjà prononcé un tel discours
La reine Elizabeth II a déjà prononcé un tel discours en 1977. Il faut se rappeler que c'était avant le rapatriement (partiel ?) de la Constitution du Canada, réalisé le 17 avril 1982. Mais au fait, était-ce simplement avant ou en préparation de... ? Car les deux événements sont arrivés sur deux mandats de Trudeau père, séparés par un bref mandat du Parti Progressiste-Conservateur du Canada.
Contexte géopolitique rapproché : une province irritée contre les politiques du Gouvernement Libéral des dernières années
Constitution : La PM de l'Alberta, Danielle Smith, veut consulter rapidement la population de sa province via un référendum sur la place de l'Alberta dans le Canada actuel
Mme Danielle Smith veut consulter sa province, quant à l'avenir de l'Alberta, dans un Canada qui applique selon elle et son parti majoritaire au pouvoir dans sa province, des politiques intrusives et abusives affectant les économies et le développement des provinces; par exemple, la décarbonisation agressive, opposée à l'exploitation et la marchandisation et la simple utilisation de ses sources d'énergie (2).
La PM Smith veut garder une porte ouverte pour amener rapidement la Province de l'Alberta en référendum sur la question de son appartenance au Canada, s'il advient que des conditions jugées essentielles pour l'avenir de la province ne soient pas respectées (3). Elle avait déjà déclaré plus tôt en 2025, face à la remontée du Parti Libéral avec l'arrivée de M. Mark Carney, encensé par plusieurs grands médias, que les Albertains n'accepteront plus que les prochaines années sous le Parti Libéral du Canada (PLC) soient comme les 10 dernières. Trudeau fils a repris les politiques de Trudeau père qui avaient elles aussi grandement nui au Canada et particulièrement à l'Alberta (4).
Pierre Eliott Trudeau, dans un extrait d'un essai de Tom Velk, basé sur une publication co-écrite avec Al Riggs, l'autre co-director de North American Studies.
Madame Smith et son parti se sont faits porte-étendard de la cause énergétique et économique. Elle souhaite aussi, avec une nouvelle loi, instaurer une démocratie plus directe avec les citoyens ce qui nécessite certaines adaptations législatives.
Danielle Smith en LIVE, lundi le 5 mai 2025.
On observe par ailleurs, que les Libéraux n'offrent plus tant de différences par rapport aux idées très à gauche, défendues historiquement par le Nouveau Parti Démocratique (NPD) et le Parti Vert. Ces deux partis sont d'ailleurs privés de leur raison d'être par le PLC. En effet, il y a quelques décennies les Libéraux étaient des libertariens pour qui la prospérité des entreprises privées avait une importance. Maintenant, pour ce qui est de la direction prise pour le futur immédiat et proche, on peine à voir des grandes différences avec le NPD; même chose avec les revendications du Parti Vert.
Constitution : La réponse de Mark Carney ?
M. Carney, discret, prépare-t-il, derrière les rideaux de la Couronne, sa réponse à la Première ministre de l'Alberta et aux provinces, en lien avec quelques obscures nuances du droit constitutionnel lié d'une façon à la Grande-Bretagne, protégeraient encore sous certains aspects, la Constitution canadienne ? Aurait-il besoin de clés que posséderaient encore la Grande-Bretagne, pour déverrouiller des aspects constitutionnels ?
En tant que banquier porteur de la pensée du World Economic Forum (WEF), il conseillait déjà l'Administration du PM Justin Trudeau depuis quelques années. Or, le WEF ne forme et ne rassemble pas des poulains politiques en vue de maintenir autonomies nationales fortes, bien au contraire. Cette entité, perçue comme un hybride entre un conglomérat d'ultra riches et une fédération qui pratique une forme de maraudage idéologique visant les leaders politiques et les élites non élues, semble planifier une dissolution des identités nationales ou nationalistes. Mais une plus grande autodétermination du Canada, transitoire, pourrait être nécessaire.
De plus, les restrictions visant
le droit d'expression et de pensée (ex. allant jusqu'à un projet de censure qui serait appliquée préventivement, avant même les publications);
la souveraineté individuelle sur nos corps et notre santé (forcer des traitements non homologués);
la mobilité des personnes;
la liberté en matière de monnaies,
ont été grandement ressenties depuis l'ère des décrets pandémiques.
Ce gouvernement parle selon un type langage qui occulte les impacts immenses des idéologies qu'il impose (exemple la politique «zéro carbone»), volant sous le radar des médias de plus en plus subventionnés directement ou indirectement (crédits) par les politiques de ce parti. Pour plusieurs intervenants politiques et observateurs ou critiques, le gouvernement issu de l'élection canadienne du 28 mai 2025 n'apporte pas un rafraichissement national. Bien sûr, il y aura quelques douceurs à payer par encore plus plus de dollars émis, mais non soutenus par une richesse réelle (augmenter la dette). La maison économique canadienne reposera encore plus sur le sable, riveraine qu'elle est devenue, des marées ou des crues de l'Économie. L'ingérence de l'État augmentera selon ce que l'on peut observer. Le Canada, un banquier à sa tête, nous condui-il vers une banqueroute planifiée, en direction d'un nouvel ordre?
Au travail, constitutionnalistes qui aimez le peuple ! Les élites mondiales sont déjà à pied d'œuvre
Mission : découvrir ce qui peut encore changer l'État du droit constitutionnel ou législatif canadien, par des manipulations des alchimistes politiques et sociétaux, avec ce qui reste encore de nos liens avec le système britannique.
La venue du roi britannique ne semble ni fortuite, ni folklorique. Je n'ai pas la prétention d'être un spécialiste constitutionnel, mais j'observe plus attentivement la politique depuis environ 35 ans. Le laboratoire dégage une odeur de tentative d'altération du droit canadien (avec intervention directe ou indirecte de la Couronne britannique). Des conseillers constitutionnels britannique accompagneront-ils la délégation (5)?
Il pourrait se prépare furtivement la potion pour permettre l'adoption de certaines lois ou articles de lois liberticides, actuellement au frigo. Le Canada a encore certains liens législatifs avec la Grande-Bretagne, et probablement plus que symboliques. Y aura-t-il des signatures clefs, dont nous ne verrons les impacts que par la suite. Si je me trompe, c'est tant mieux; je ne suis pas spécialiste de la Constitution et du Droit. Mais observez les années qui vont suivre de près cette visite du roi britannique. L'esprit du Canada pourrait bien changer, dans la même direction plus contrôlante, de manière plus marquée ou accélérée.
4.Pierre Eliott Trudeau, le père de Justin Trudeau, a été PM du Canada entre 1969-1978 et 1980-1983. Pour Tom Velk, de l'Université McGill, son bilan a été désastreux.
«M. Trudeau [Pierre Eliott Trudeau, père de Justin] a hérité d'une bonne situation, y compris d'un budget équilibré, et a entrepris de l'aggraver. Il a accumulé un déficit après l'autre et a fait grimper la dette fédérale de plus de 1000 %. À la fin de son mandat, l'inflation, les taux d'intérêt et le déficit étaient tous hors de contrôle. Le déficit de 38 milliards de dollars pour la dernière année de son mandat représentait 8,7 % du PIB. Par sa politique économique, M. Trudeau s'est aliéné l'Ouest canadien et les investisseurs étrangers en confisquant les droits de propriété sur les ressources énergétiques et en abrogeant les contrats privés, en particulier s'ils dépassaient les frontières internationales. Les conséquences à long terme comme l’inflation galopante, la chute libre du dollar, les taux d'intérêt élevés et l’aggravation du chômage, ont placé [le Premier Ministre suivant] M. Mulroney devant de graves problèmes structurels qu'il a mis longtemps à résoudre.» (Brian Mulroney: The Man to Beat, By Tom Velk)
(Original anglais "Mr. Trudeau ranks second to last. He inherited a good situation, including a balanced budget, and proceeded to make it worse. He accumulated one deficit after another, and ran up the federal debt by more than 1000%. By his final term in office, inflation, interest rates and the deficit were all out of control. The deficit of $38 billion in his final year in office represented 8.7% of GDP. On economic policy, Mr. Trudeau alienated Western Canada and foreign investors by confiscating property rights in energy resources and abrogating private contracts, particularly if they reached across international borders. The long run consequences— run-away inflation, a free-falling dollar, sky-high interest rates, and worsening unemployment—all presented Mr. Mulroney with serious structural problems that took along time to resolve.")
5. Par exemple pour indiquer comment jouer avec la Constitution, pour empêcher un genre d' #AlbExit (sortie de l'Alberta de la confédération canadienne), avec un mouvement de potentiellement d'autres provinces?
N'oublions pas le symbole fort que représenterait un Canada servant de modèle de test à l'encontre du premier État postnational. Article complet ICI.
EXTRAIT :
«Après son élection comme Premier Ministre du Canada en 2015, Justin Trudeau a déclaré en décembre 2015 que le Canada est «le premier État post-national».
(La traduction en français suit la version originale)
«Terrorist groups have specifically said they are targeting Canada and Canadians. And on the subject of national security, Trudeau’s critics say he’s a lightweight and a dangerous one. Trudeau’s most radical argument is that Canada is becoming a new kind of state, defined not by its European history but by the multiplicity of its identities from all over the world. His embrace of a pan-cultural heritage makes him an avatar of his father’s vision. ‘‘There is no core identity, no mainstream in Canada,’’ he claimed. ‘‘There are shared values — openness, respect, compassion, willingness to work hard, to be there for each other, to search for equality and justice. Those qualities are what make us the first postnational state.’’ » (New York TIMES Magazine, Trudeau’s Canada, Again, DEC 8, 2015)
«Les groupes terroristes ont déclaré de manière précise qu'ils visent le Canada et les Canadiens. Et pour la sécurité nationale, les critiques de Trudeau disent qu'il est un poids-léger et constitue un danger. L'argument le plus radical de Trudeau est que le Canada devient un nouveau genre d'État, défini non par son histoire européenne, mais par la multiplicité de ses identités de partout dans le monde. Son adhésion à un héritage pan-culturel fait de lui un avatar [une figure représentative] de la vision de son père. "Il n'y a pas d'identité forte; pas de courant dominant au Canada", avance-t-il. "Il y a des valeurs communes; l'ouverture, le respect, la compassion, la volonté de travailler dur, d’être solidaires, de rechercher l’égalité et la justice. Ces qualités sont ce qui fait de nous le premier État postnational" (New York Times, section Magazine, propos recueillis le 8 décembre 2015 par Guy Lawson et diffusés en ligne le 13 décembre 2018». (New York TIMES Magazine, Le retour du Canada à la Trudeau, 8 déc. 2015)
Responsabilités et engagements sociétaux des églises : la «soupe populaire» c'est bien... Et si les églises s'attaquaient à certaines racines iniques du problème ? L'esclavagisme en pays christianisés, par exemple, n'a pas été abolie uniquement par la prière, mais par l'action, dans la prièr, dans l'amour et dans le respect du principe d'autorité en s'attaquant au problème et non aux personnes.
Durant le congé pascal de 2025, j'ai publié un article sur les enjeux réels de la disparition de l'argent comptant. Celui-ci se basait sur un rapport très sérieux d'un organisme de défense de la Constitution et de la Justice au Canada. Mais il y a d'autres enjeux sociétaux présentement, comme les surtaxes, l'inflation provoquée politiquement et idéologiquement, et d'autres, pour lesquels les églises franco protestantes (évangéliques) demeurent étrangement silencieuses. Cela affecte directement la situation des familles. Faut-il rappeler qu'en sus de la prière et du témoignage chrétien, l'Église a aussi une responsabilité prophétique à l'égard du péché et de l'injustice. L'esclavagisme en pays christianisés, par exemple (Grande Bretagne, États-Unis, ...), n'a pas été aboli uniquement par la prière, le témoignage de l'évangile et la formation de disciples dans la Parole, mais aussi par l'action et l'éducation patiente, soutenue dans la prière, dans l'amour et dans le respect du principe d'autorité. Cela a été fait progressivement en s'attaquant au problème et non aux personnes. Il vaut mieux que des sages agissent dans le corps social, sans en être découragés ou empêchés, plutôt que par la violence des «radicaux libres» (comme les zélotes du temps terrestre de Jésus).
Simplicité de la colombe ou prudence du serpent, quelle attitude adopter ?
Un jour, Jésus dit à ces disciples envoyés pour préparer le chemin devant Lui, où il doit passer par la suite:
«Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes.» (Matthieu 10:16)
Il n'est pas facile de naviguer entre les pièges du monde actuel (monde = dans son sens du mot grec cosmos, ordre, organisation, système organisé politiquement, idéologiquement, économiquement, etc.). On a vu au Canada, comment des déclarations d'un Premier ministre canadien en fonction ont servi à justifier une immigration irrégulière massive, via le Chemin Roxham. On a vu aussi une vague d'incendies d'églises des communautés de nos concitoyens catholiques canadiens, suivant des déclarations du même Premier ministre, qui ont semblé viser à attiser la haine entre les peuples du Canada (le projet du «Nouvel Ordre» aurait-il besoin du chaos ?).
Incendie d'une église catholique au Canada, s'inscrivant dans une vague d'événements semblables, suivant une déclaration d'un premier ministre Libéral du Canada qui a réveillé des anciennes tensions. Sa déclaration semble avoir été prise comme une autorisation à attaquer les symboles.
Un exemple de changement parmi d'autres : Disparition de l'argent comptant
Supposons que les églises du Canada (ici église du grec ecclesia = assemblée, donc les assemblées de Dieu ou chrétiennes) deviennent serrées par l'État, ce qui est de plus en plus politiquement possible, l'élimination de l'argent comptant pourrait faciliter le fait qu'avec la disparition de l'argent comptant, jumelée à un désir gouvernemental de museler les chrétiens, il devienne difficile aux croyants de soutenir leur église et leurs pasteurs rémunérés. En Amérique du Nord, il y a des précédents réels de contrôles monétaires, comme le gel des dons, au Canada avec le convoi des camionneurs en 2022 ou pour contrer le développement de la plateforme Gab Social aux États-Unis avant eux. Ces causes et d'autres ont été privées de sociofinancement de manière arbitraire de diverses façons:
comptes de banques de donateurs et de manifestants gelés, dans le cas du convoi des camionneurs pour la liberté,
annulation de dons sur des plateformes de financement social,
transactions bloquées par des banques, des grandes cartes de crédit et des services intermédiaires de paiement en ligne comme Paypal -à boycotter par vous-, etc.
Il y a aussi la possibilité de taxer et imposer les revenus des églises sur les dons.
Cela pourrait vous arriver très bientôt
J'espère que ce qui vient d'être dit sensibilisera quelques pasteurs professionnels (ceux qui vivent du ministère sans avoir à occuper un emploi séculier), ainsi que les chrétiens qui relativisent les problèmes sociaux et sociétaux avec des arguments comme «Il est écrit ...» ou «Il est prophétisé ...» dans la Bible, «que ces choses doivent arriver». Bref, l'un m'a dit : «Dieu sait déjà tout cela» Et «Quand bien même j'essaierais de changer ces choses..»
Permettez moi un brin d'ironie: Cessons d'enseigner, d'exhorter, de prêcher, car il est écrit que l'apostasie arrivera. Cessons d'arracher les mauvaises herbes d'un potager, car elles reviennent constamment.
Pourtant, la Parole de Dieu dénonce l'injustice en plusieurs textes, ainsi que l'indifférence face à l'injustice. Il faut aller au-delà du «ces choses doivent arriver», car il est aussi écrit que le mal augmentera et que l'amour du plus grand nombre deviendra froid (1), ce qui n'en fait pas pour autant la volonté de notre Dieu.
Est-ce que le fait qu'il soit écrit que les pratiques iniques augmenteront justifierait qu'il ne doive plus y avoir de dénonciation des dépenses insensées, d'exploitation politique des enfants par l'État (Éducation et idéologies, Santé, ...), d'arrestation et procès des criminels, ou de tribunaux et de prisons?
Est-ce que le fait qu'il y ait inévitablement des incendies dans une cité impliquerait que les pompiers ne seraient pas nécessaires, puisqu'il y aura des incendies dans les villes, quoi que l'on fasse (métaphore)?
Même chose pour l'importance des juges justes et incorruptibles face à la criminalité inévitable; ne seraient-ils pas requis (pas une métaphore)?
Est-ce que la dégradation sociétale prophétisée signifierait que nous devrions abandonner les enfants, leur esprit et leur corps aux bêtes (métaphore) ou à la bêtise ?
...
Pas la peur, mais plutôt l'amour du prochain
Certains accusent les chrétiens impliqués «sociétalement» à un niveau soit d'information ou de dénonciation, ou du droit, de vouloir éviter la persécution. Ce n'est pas ici une question de «peur de la persécution», mais au contraire une préoccupation de justice et de responsabilité de la part de ces croyants, cherchant à influencer pour le bien, en amont de (avant qu'arrive) la dégradation des nations, donc avant les problèmes. D'ailleurs, au contraire, les chrétiens engagés s'exposent eux-mêmes au rejet social
par les médias traditionnels,
par les grandes plateformes web (censure),
par les partis politiques,
par les religieux,
par les corrompus dons les mauvaises œuvres sont mises au jour,
etc.
Si vous n'avez pas pris conscience sur combien de fois dans la Bible, Dieu démontre comment il déteste l'injustice, par exemple en dénonçait les péchés comme
la concentration de l'acquisition foncière immobilier (2),
alors, cela équivaut à avoir déchiré plusieurs pages de votre bible et cela est révélateur de quelque chose; d'une relation refroidie. Malgré ce que je dis ici, il n'est pas requis pour un chrétien de faire ce que d'autres voudraient lui imposer, contre sa conviction, mais de laisser agir ou même offrir du soutien à ceux qui s'engagent dans une voie différente de l'aide de fin de ligne habituelle; quand il est déjà tard.
Capture d'image montrant un Juge inique de la ville fictive de Gotham. Ce dernier est mentionné comme contrôlé par le crime organisé, dans une scène du film Batman Begins, 2005.
Toutefois, si des responsables d'églises sont capables de rester insensibles (ou accuser des chrétiens préoccupés) face à la traite humaine de jeunes d'âge mineur (et autres), ils sont des êtres narcissiques avec un sourire. Il est horrifiant de penser que ces derniers, en de telles dispositions spirituelles, puissent mener une congrégation. Dieu est la source de la Justice et de la Vérité. Il ne s'agirait pourtant pas pour eux de s'impliquer dans toutes les causes, mais de laisser travailler ceux qui s'impliquent dans une action pour aider les autres. N'est-ce pas aussi important que l'aide de fin de ligne comme les banques alimentaires ?
Récemment, il est une chose que j'ai compris, par rapport à la dénonciation du mal. La bonne attitude peut consister à dénoncer une mauvaise œuvre; non une personne en particulier. Ou encore, de laisser travailler ceux qui le font et même les soutenir (ex. l'organisme OUR qui a inspiré le film Sound of Freedom, ex. le soutien juridique et l'information en droit, ...). Il ne s'agit pas d'un piège pour vous imposer une œuvre quelconque(ex. vous forcer à vous impliquer dans une lutte x ou y),car chacun a son propre appel. Mais toute indifférence à l'injustice est simplement l'indice d'un besoin de retrouver la présence de votre Dieu.
Agir aussi avant l'aide de dernier recours.
Faut-il s'en tenir uniquement à une mentalité unique de «soupe populaire» (= aide de dernier recours)
Après les incontournables témoignages et enseignements de la la Parole, il ne faut pas se contenter du seul autre moyen qu'offre l'aide de dernier recours. Car l'intervention arrive alors en fin de dégradation sociale; une fin de cycle quand tout un pan de société d'un quartier, d'une ville, d'une région, d'une nation ... est gâché pour des années (ex. une génération). Bien des familles et des parents seuls ne se retrouveraient pas contraints à recourir aux services d'aide d'urgence en 2025, s'il n'y avait pas de la part des États :
détournement d'argent,
mauvaise gestion,
surtaxes et impôts iniques,
inflation provoquée et pourtant prévisible,
dilapidation en dépenses et en dons illégitimes,
etc.
Actuellement, des parents avec un emploi n'y arrivent plus. Si vous ne discernez pas ce qui se passe au Canada nécessitant une intervention immédiate (à commencer par électorale), je crains que ce soit tard pour vous (non pour le salut mais pour le discernement) et que vous deviez apprendre par la souffrance.
Un changement moral et spirituel
Tous les chrétiens qui vivent une relation personnelle réelle avec Dieu, savent par leur propre histoire, qu'il faut un changement spirituel personnel pour réformer une vie à la fois. C'est la même chose pour une société. Une régénération doit accompagner un engagement (ou la faveur) de ceux qui savent; du moins, ceux qui veulent prendre positions pourront-ils, eux agir avec mesure et sagesse sans le jugement. À titre de jugement, on peut penser au mot "complotiste" qui ne vise qu'à paralyser ceux qui aiment la justice)?
N'oubliez jamais que dans l'Histoire, les rois et chefs du monde se sont souvent ligués (alliés, associés) pour planifier et agir «contre le Seigneur et contre son Oint».
J'ai constaté récemment que les défenseurs non chrétiens de ce monde sous pression nous observent et s'étonnent de notre silence face aux injustices galopantes.
Selon mon humble point de vue, il n'est pas question pour l'ecclesia (l'assemblée des croyants), ni pour les pasteurs, de promouvoir dans la prédication un parti politique, mais de dénoncer les œuvres mauvaises (ou permettre à des gens matures de dénoncer et d'informer sur) ce qui est inique, indépendamment du parti; leur permettre aussi d'avoir accès aux communications (parler) avec le peuple de Dieu. Tant que nous sommes encore en démocratie, attaquons l'œuvre mauvaise et non le principe d'autorité, selon les exemples ci-dessous. Ce sont les œuvres mauvaises et leurs effets sur lesquels il faut instruire, plutôt que d'attaquer, ou plutôt que de cibler personnellement tel ou tel leader, personnalité publique, etc. Laissons les arrestations et jugements à la Justice et aux tribunaux.
La soumission aveugle aux autorités est un principe abusé depuis des années en certains milieux chrétiens (différemment abusé selon le courant)
Les grands modèles bibliques de la foi, Jésus et les premiers disciples se sont-ils soumis aux autorités en tout ?
Le prophète Élie fût appelé à s'opposer au roi Achab et à son État profond; Jézabel et son système religieux idolâtre. Lorsque la pluie revint après une longue sécheresse prophétisée par lui, le prophète courut devant le char du roi pour crier et dégager le chemin comme cela était la pratique. C'était de la part d'Élie, une preuve de reconnaissance de l'autorité, même envers un roi impie.
Daniel et ses amis restés fidèles à Dieu refusèrent de se prosterner devant une statue dans un pays étranger, la Babylonie, où ils étaient déportés. Ils n'ont pas dit : «notre action ne va rien changer». Ils se sont prononcés publiquement, par leur refus de se courber.
Joseph et Marie ont fui en Égypte pour éviter que Jésus soit tué dans sa petite enfance.
les mages ont pris un autre chemin de retour après avoir adoré l'Enfant, désobéirent ainsi intentionnellement à Hérode.
Le prophète Jean Baptiste, contemporain du ministère terrestre de Jésus, a dénoncé l'œuvre mauvaise d'un autre roi Hérode (dynastie) sans toutefois renier l'autorité du roi.
Le même Jean-Baptiste a exhorté les soldats romains à se contenter de leur salaire et de ne pas piller la terre occupée.
L'apôtre Paul en a appelé à César, donc à la cour suprême de l'Empire Romain, pour défendre la foi chrétienne contre les fausses accusations portées par des autorités religieuses en place, ou par des groupes d'intérêts commerciaux (vente des objets de divinités païennes, livres de magie, ...) etc.
Jésus ne s'est pas soumis aux mensonges et injustices de son époque. Se soumettre à un mensonge n'est ni un don spirituel, ni un fruit de la sagesse...
La Bible enseigne de reconnaître l'autorité mais lui obéir en tout peut devenir de la lâcheté.
En fait, tous les partis politiques ont part au problème, à des degrés différents, par un ou des députés, ou par certains candidats immoraux ou compromis (sujets au chantage, ou au passé répréhensible caché qui offre une prise pour ceux qui vont les manipuler à un moment favorable, ...). Ceux-là, priez pour eux. Pensons par exemple aux compromis sur la Justice et aux mensonges (ou mensonges par omission), dans le but de pouvoir gagner une élection.
La juste soumission biblique aux autorités civiles ne sera ni une soumission aveugle, ni une collaboration (complicité) inique
La soumission aux autorités selon les Écritures ne sera pas une soumission aveugle, mais une soumission juste et responsable fondée sur la Vérité. La soumission à un mensonge n'est ni une preuve de sagesse, ni une prescription biblique. Se soumettre à un mensonge que l'on sait être un mensonge serait un péché. Qui est le père du mensonge? Le mensonge produit l'injustice. Ne pas chercher la vérité, ce qui est juste, en est un autre. Nul ne pourra dire «Ah, nous ne savions pas! ...» , par exemple, quand des enfants sont abusés dans leur esprit ou face à la traite humaine. D'ailleurs les lâches sont dénoncés dans la Parole.
Ni un évangile social, ni une approche œcuménique (le prétexte d'inaction des «spirituels» autoproclamés)
Je ne parle pas ici d'un Évangile social (implantation du royaume par les œuvres humaines), ni de compromission œcuménique dans le sens de compromis, vidé de la Vérité et syncrétique, consistant en la fusion des religions abolissant la nouvelle Alliance du Seigneur. Je parle des responsabilités liées à l'appel et au don de chaque personne, née de Dieu, en vertude la Parole de Dieu.
L'aide alimentaire c'est bien et certainement nécessaire pour une part, mais la justice mise en œuvre en amont (soit avant qu'arrive la dégradation de la situation) c'est mieux, et de beaucoup. Par exemple, des migrants sont en plus mauvaises postures financières au Canada que dans les pays qu'ils ont quittés, parce que quelqu'un leur a menti. La justice peut prévenir que beaucoup d'interventions sociales soient provoquées à cause des surtaxes sur les biens et services, de la surimposition, des fraudes jumelées à la corruption OU des compromissions, qui font que les économies nationales s'écroulent ou que l'inflation croisse beaucoup plus rapidement que les revenus. Réfléchissez sur ce qui s'est passé au Venezuela. Ce dernier était un pays prospère, mais qui a été détourné par une idéologie politique, par l'avidité maléfique et par la corruption. Les pauvres sont les premières victimes et ensuite viennent les classes moyennes; tous victimes de la sur inflation.
Devoir de mémoire
Le degré de la soumission de l'Église demeure une question pertinente à la sortie d'une période de grâce pascale en 2025, nous rappelant la rédemption de nos péchés par la mort et la résurrection de Jésus. L'Église naissante avait compris qu'elle était redevable à Celui qui est la Vérité et la Vie et non pas au père du mensonge. Se fermer les yeux pour obéir au mensonge n'était pas une option : https://www.bible.com/fr/bible/3877/ACT.4.23-30.NEG%2525201979
Logo largement utilisé par le Gouvernement du Québec durant les décrets restrictifs incessants de la dernière pandémie. Le symbole de la fleur de lys, de notre héritage des Français, arbore un design amputé de sa partie basse, de manière à représenter ici une couronne dans une démocratie. La formule froide «Votre Gouvernement» contraste avec l'habituel expression plus neutre, «Gouvernement du Québec». On pourrait facilement penser que le but probable serait d'impressionner. Le message semble dire: «Nous sommes Votre Gouvernement» et vous avez intérêt à nous utiliser comme source unique d'information et de ne pas vous fier pas à ce que disent les autres États ou les professionnels insoumis aux ordres.
L'Économie va mal depuis plusieurs mois déjà, au Québec (province de) et à Québec (ville de) ce qui est préoccupant. En effet, Québec est une ville normalement prospère, avec un faible taux de chômage, mais un nouveau phénomène est apparu. Avec la hausse du coût de la vie, même les personnes avec un emploi (donc non comptabilisées comme chômeurs dans les statistiques), souvent n'y arrivent plus et doivent recourir à de l'aide sous formes de crédits ou subventions, voire de l'aide alimentaire. Elles accumulent des dettes et se sentent coupables, pendant que vos divers paliers de gouvernements ajoutent taxe sur taxe et règle sur règle, alourdissant la machine de l'État .
L'Économie va mal pour les familles depuis plusieurs mois déjà, au Québec (province de) et à Québec (ville de).
(démontre une fois de plus que l'instruction seule n'amène pas la justice et que les églises politically correctes reçoivent quand même en leur sein les corrompus)