16 mars 2016 - Je vous partage une expérience décevante avec un service de partenariat en vue de la monétisation par la publicité sur une plate-forme de blogue mondialement connue. Ceci est pour éviter que les blogueurs, perdent leur temps avec une solution de moins en moins payante.
(dernières modifications : 20 mars 2016)
À considérer, avant de diffuser des annonces sur votre blogue non corporatif
Il peut sembler intéressant de diffuser de la publicité sur un blogue citoyen pour monétiser son contenu ou le rentabiliser (à tout le moins, faire ses frais).
CEPENDANT...
Premièrement, indépendamment de la qualité des services du fournisseur, si vous êtes un blogueur qui n'atteint au maximum que quelques centaines de visiteurs par jour, l'utilisation de filtres antipublicités activés sur le web est tellement répandue en 2016, que vous ne ferez probablement pas d'argent pour justifier l'effort que vous mettrez à optimiser votre site pour satisfaire vos annonceurs et l'entremetteur qui sert de lien avec ceux-ci.
Les abonnements en lignes et les bannières publicitaires en général sont insuffisants pour la rentabilisation de la diffusion en ligne, même pour un média aussi important que le Toronto Star (thestar.com), le journal le plus lu au Canada (1). Imaginez comment un blogueur-citoyen non associé à un média, peut en 2016, espérer vivre de son écriture dans une mer de contenus. Il y a peu d'appelés et peu d'élus.
En plus, même si vous n'aimez pas le résultat de votre campagne d'hébergement de liens publicitaires,
À preuve, même de grands médias professionnels demandent à leurs visiteurs web de désactiver les filtres antipublicités comme Adblock. Je le fais par respect pour leur travail lorsque je visite leurs sites.
CEPENDANT...
Premièrement, indépendamment de la qualité des services du fournisseur, si vous êtes un blogueur qui n'atteint au maximum que quelques centaines de visiteurs par jour, l'utilisation de filtres antipublicités activés sur le web est tellement répandue en 2016, que vous ne ferez probablement pas d'argent pour justifier l'effort que vous mettrez à optimiser votre site pour satisfaire vos annonceurs et l'entremetteur qui sert de lien avec ceux-ci.
Même le journal le plus lu au Canada en arrache!
Les abonnements en lignes et les bannières publicitaires en général sont insuffisants pour la rentabilisation de la diffusion en ligne, même pour un média aussi important que le Toronto Star (thestar.com), le journal le plus lu au Canada (1). Imaginez comment un blogueur-citoyen non associé à un média, peut en 2016, espérer vivre de son écriture dans une mer de contenus. Il y a peu d'appelés et peu d'élus.
En plus, même si vous n'aimez pas le résultat de votre campagne d'hébergement de liens publicitaires,
- l'intermédiaire en publicité (fournisseur du service) aura votre identité très détaillée
- et la firme récupérera (conservera) vos gains les montants non réclamés si vous fermez votre compte ou si eux le ferment sous divers prétextes justifiés ou non. Ils exigent en effet un minimum (ex. 100 dollars ou 100 euros, etc., variable selon la devise) avant d'émettre un paiement.
Donc, ne vous laissez pas séduire par le chants de sirènes du marketing qui vous font miroiter qu'un blogue accélérera votre retraite. Cela arrive, mais c'est l'exception, plus accessibles aux personnes déjà dans un journal, une émission de TV, etc.
Crédits images : Banque du Canada. Au premier-plan, un billet de 100 dollars |
Si vous générez tout au plus quelques centaines de visiteurs par jour
comme la grande majorité des blogueurs bénévoles
et considérant les filtres antipublicités
qui sont maintenant très utilisés sur le web,
il est probable que cette forme de monétisation de votre site ou blogue
ne soit PAS pour vous (2).
À preuve, même de grands médias professionnels demandent à leurs visiteurs web de désactiver les filtres antipublicités comme Adblock. Je le fais par respect pour leur travail lorsque je visite leurs sites.
J'ai tenté l'expérience de la diffusion de publicité selon le modèle de paiment au clic (pay per clic) contre monétisation durant quelques semaines ET voici mes impressions
Une formule que je croyais réputée car associée à une grosse plate-forme connue mondialement, soulève pourtant des doutes. Ayant vécu un désagrément récemment au point que je décide de désactiver temporairement les publicités pour environ 2 semaines pour chercher une solution adaptée à ma situation, j'étais toujours perplexe et je suis allé consulter le forum OFFICIEL d'aide DU FOURNISSEUR et non un forum quelconque. Mais les réponses et l'attitude étaient «quelconques» quant au respect des clients et aux interprétations contractuelles, comme sur un forum gratuit bas de gamme, sans apparente supervision d'un service à la clientèle digne de ce nom, considérant une entreprise milliardaire de renommée mondiale.
En moins d'une heure de consultation de quelques questions et des fils de réponses, j'ai vu que des blogueurs bénévoles comme moi montent un compte en vue de diffuser de la publicité, puis se font fermer leur campagne de financement et reporter, voire suspendre leur paiement, pour diverses raisons parfois correctes, souvent exagérées. Cela est attesté par des blogues indépendants comme celui-ci, qui résume parfaitement les pour et les contres d'une campagne comme celle à laquelle j'ai adhéré: Faut-il vraiment choisir Google Adsense pour monétiser votre blog ? (Supermarketeur, 1 janvier 2015). Voici un extrait intéressant pour un webmestre ou blogueur qui pense monétiser son site ou blogue:
J'ai lu très attentivement deux cas précis sur le forum OFFICIEL. Un des blogueurs produit la majorité de ses textes. Il se plaignait que la branche de l'entreprise semble attendre que le montant accumulé soit arrivé près du minimum requis avant émission d'un chèque, pour désactiver ses campagnes de publicité. On leur répond
Crédits : Supermarketeur.com (1 janv. 2015) |
J'ai lu très attentivement deux cas précis sur le forum OFFICIEL. Un des blogueurs produit la majorité de ses textes. Il se plaignait que la branche de l'entreprise semble attendre que le montant accumulé soit arrivé près du minimum requis avant émission d'un chèque, pour désactiver ses campagnes de publicité. On leur répond
- que c'est normal de valider leur contenu lorsque le paiement approche, question de voir s'ils se confirment aux règles
- et que cet audit a démontré qu'ils récidivent avec leur contenu ne respectant pas les règles du contenu monétisé...
- ou qu'ils n'ont probablement pas acquis les droits d'auteur des images, etc. C'est une forme de chantage; je réponds plus bas à cet argument.
PAr exemple, pour le signalement des images, ils ne suivent pas l'esprit de l'entente. Vous abordez le sujet de l'ilam radical en Afrique et montrez un soldat armé et masqué africain appartenant au groupe islamiste Boko Haram, ou autre mouvement salafiste djihadiste du genre, et ils diront que le contenu est inapproprié et peut choquer des enfants. Si un blogueur conteste en disant qu'il ne fait pas la promotion de la violence, les experts pseudos qui se prennent tout à coup pour des procureurs et non des conseillers à la clientèle (vous êtes un client, voire un partenaire!), vous retourne le même argument qu'au départ et suggèrent aux blogueurs qu'ils ne se sont probablement pas acquittés des droits d'auteur (je réponds à cela plus bas).
Question: les grandes entreprises des communications et du web comme Google et autres, sont-elles infiltrées par des sympathisants des islamistes? Suis-je parano?
En fait, il faut plutôt poser la question ainsi: dans le domaine et de l'opinion, qu'avons-nous comme garantie que le «spécialiste» qui nous répond laisse de côté ses opinions personnelles dans une étude de cas d'un client, ou lors d'un audit.
Avant de répondre, lisez simplement ces statistiques compilées par un grand média britannique, The Guardian, en november 2014 sur plusieurs pays relativement aux potentiels sympathisants de l'État islamique établis à résidence et vous serez surpris. Vous comprendrez la situation actuelle de la Belgique, comme un foyer des radicaux islamiques en Europe. C'est un peu comme le test de jeter un caillou dans un puits dont vous ignorez la profondeur. Ce n'est pas infaillible, mais c'est exact.
Question: les grandes entreprises des communications et du web comme Google et autres, sont-elles infiltrées par des sympathisants des islamistes? Suis-je parano?
En fait, il faut plutôt poser la question ainsi: dans le domaine et de l'opinion, qu'avons-nous comme garantie que le «spécialiste» qui nous répond laisse de côté ses opinions personnelles dans une étude de cas d'un client, ou lors d'un audit.
Avant de répondre, lisez simplement ces statistiques compilées par un grand média britannique, The Guardian, en november 2014 sur plusieurs pays relativement aux potentiels sympathisants de l'État islamique établis à résidence et vous serez surpris. Vous comprendrez la situation actuelle de la Belgique, comme un foyer des radicaux islamiques en Europe. C'est un peu comme le test de jeter un caillou dans un puits dont vous ignorez la profondeur. Ce n'est pas infaillible, mais c'est exact.
On apprenait (et les médias et politiciens qui le voulaient) dans un rapport du 28 novembre 2014 du journal The Gardian, que plus de 15,3 pourcent (%) des posts émis dans une langue arabe depuis le Canada soutenaient les actions de l'État islamique (EI), soit près de 1 sur 6. Et parmi les 19 pays étudiés, l'État occidental en tête, en dehors du monde arabe, était la Belgique avec 31% des posts, identifiés comme sympathisants de l'État islamique. Voir mon résumé ici: Pourcentage des posts en langue arabe exprimant un sentiment favorable à l'État islamique (19 pays), 22 déc. 2015. Et regardez ce qui sort de la Belgique en 2015 et 2016 comme djihadistes. Le Canada et les États-Unis sont déjà infiltrés par de semblables radicaux, car un pourcentage important de posts émis depuis nos pays supportaient aussi l'État islamique en 2014 (Canada 15,3%, États-Unis 21,4%).
Éthique et promesses non tenues: les grosses plateformes mondiales font-elles affaire avec des sous-traitants ou ont-elles des employés ou administrateurs malhonnêtes ou idéologiquement orientés sur leur équipe?
Ou quelle garantie avons-nous qu'un «spécialiste» fera passer l'éthique professionnelle avant toute préférence personnelle. Selon moi à ce stade-ci, les méga-entreprises du web ont plusieurs personnalités à ce niveau. Cela dépend de qui évalue votre situation. Par exemple, un intervenant vous auditionne et vous accepte. Puis un autre dit que les blogues politiques sur des sujets sensibles et à débats n'intéressent pas les annonceurs (qui pourtant son affichés sur vos pages).
Sinon, ces entreprises devraient s'en préoccuper et surveiller ceux qui les représentent, car un compte fermé avec quelques dollars, le tout multiplié des milliers de nouveaux blogues ou sites partenaires dans une campagne, ça fait très vite un montant astronomique qui peut être détourné par des initiés sur des critères de pages dites «non conformes» ayant amené des clients à se retirer.
Avant de signer l'entente avec vous, l'entreprise web de monétisation via la publication de publicité sur votre site ou blogue, s'engage pourtant à adapter la publicité de ses clients à votre contenu et à votre audience.
Donc, elle voit le niveau de votre blogue; par exemple:
Engagement de la firme, tel que pouvant être lu le 18 mars 2016 |
Pourtant l'équipe fait un audit de votre site avant de l'accepter.
Donc, elle voit le niveau de votre blogue; par exemple:
- peut juger si vous écrivez pour des gens politisés ou publiez du matériel pour enfants, etc.
- ou voir si vous visez des gens ayant un certain niveau d'instruction, etc.
Après votre engagement dans cet échange monnayable, c'est là que les choses peuvent se gâter.
En fait, c'est ensuite l'inverse que j'ai vécu. On m'a recommandé
En fait, c'est ensuite l'inverse que j'ai vécu. On m'a recommandé
- que mon contenu s'adapte aux annonceurs.
- OU par exemple, qu'un enfant de 5 ans puisse visiter votre site sans être choqué par son contenu! Je ne suis pas d'accord et cela ne respecte pas les ententes lors de l'engagement. On ne peut y déduire une telle affirmation.
ET si vous contestez leur avis ou interprétation
Et si vous contestez l'avis d'un top contributeur ou contributeur expert, soit ces conseillers «pseudos» prennent un ton qui devient rapidement irrespectueux digne d'un forum à la petite semaine, ou soit ils font semblant de ne pas comprendre. Par exemple, un blogueur-client de la formule expliquait sur le forum, le contexte de ses images. Ses images sont en lien avec l'article et ne font pas la promo de ces choses, mais au contraire, dénoncent la violence. J'ai vécu exactement la même situation pour la photo de la petite fille d'Orissa en Inde.
Mauvais service aux clients et «e-power trip» de certains contributeurs
Bref, sur le forum d'aide pour la partie touchant les principes de fonctionnement de la méga plate-forme testée, je n'ai jamais ressenti qu'il y avait un véritable service à la clientèle digne de ce nom qui surveille ces conversations (questions sur le site en rapport avec les principes de la pub). Car il y a une marge importante entre l'information technique et l'interprétation légale d'un contrat, ainsi que le respect et la confidentialité.
On se contente de laisser à des contributeurs la latitude de coter la meilleure réponse ou au choix, de ridiculiser les clients s'ils argumentent et se défendent. Mais ce qui est le plus surréaliste, c'est que vous avez signé une entente contractuelle chez une firme connue mondialement, vous vous attendez à échanger avec un véritable service à la clientèle dans un échange privé et non avec un type qui vit un e-powertrip. Bientôt vous réalisez qu'on vous a insulté («parano», «un peu complotiste», contenu «complot islamo-bobo-gauchiste») devant les autres lecteurs du forum OFFICIEL, suite à la question et à votre contestation subséquente. Alors là, instinct de blogueur, vous déchirez votre chemise virtuelle et sortez les armes argumentaires. Mais eux, en rajoutent. Alors vous fermez la valve. Exit la campagne qui leur profitent à eux plus qu'à moi.
On se contente de laisser à des contributeurs la latitude de coter la meilleure réponse ou au choix, de ridiculiser les clients s'ils argumentent et se défendent. Mais ce qui est le plus surréaliste, c'est que vous avez signé une entente contractuelle chez une firme connue mondialement, vous vous attendez à échanger avec un véritable service à la clientèle dans un échange privé et non avec un type qui vit un e-powertrip. Bientôt vous réalisez qu'on vous a insulté («parano», «un peu complotiste», contenu «complot islamo-bobo-gauchiste») devant les autres lecteurs du forum OFFICIEL, suite à la question et à votre contestation subséquente. Alors là, instinct de blogueur, vous déchirez votre chemise virtuelle et sortez les armes argumentaires. Mais eux, en rajoutent. Alors vous fermez la valve. Exit la campagne qui leur profitent à eux plus qu'à moi.
FAUSSE OU BONNE INFORMATION :
Dans le cas d'un blogue d'opinion et de chroniques politiques, c'est là que l'idéologie de l'intervenant peut influencer les évaluations et l'exactitude des conseils.
Par exemple, un «spécialiste» , contributeur au forum officiel de l'entreprise, me dit que les images devaient pouvoir être vues par un enfant de 5 ans...
1) Pas sûr qu'il a raison...
Ma Réponse qui est une question : Combien de blogueurs écrivent pour des enfants de 5 ans qui ne savent pas lire? ________
YapasdePRESSE parle de politique, de société, de criminalité, de guerres, de corruption, de terrorisme, et aussi de choses plus positives... C'est de l'éditorial ou de l'opinion. Ce n'est pas un site de Dora ou de Pingu. Mon contenu était visible dès l'audit, avant mon acceptation au programme de monétisation par diffusion de publicité sur mon blogue.
2) Pire encore, pourquoi un anonyme (expert écrivant sous un pseudo et sans sa véritable photo) me répond sur un site commercial milliardaire coté en bourse à qui je ferai gagner de l'argent au fil des prochaines semaines?
ET comprenez-moi bien. Même si vous ne leur faîtes gagner que quelques dollars ou euros pas mois en commission pour leur rôle d'intermédiaires avec les annonceurs, vous devez penser au nombre total de contributeurs comme vous. Pour faire un parallèle, c'est comme votre abonnement à un journal. Vous êtes un client à part entière à quelques dollars par mois et le journal fait ses revenus sur le volume. En monétisation par lien de publicité hébergée sur votre site aussi. Chaque page monétisée lui amène généralement peu. Mais de vendre le même produit (ex. une exposition pub) des milliers de fois, fait que le revenu se fait sur le volume et non uniquement sur les 50 blogues top d'un pays.
Ma Réponse qui est une question : Combien de blogueurs écrivent pour des enfants de 5 ans qui ne savent pas lire? ________
YapasdePRESSE parle de politique, de société, de criminalité, de guerres, de corruption, de terrorisme, et aussi de choses plus positives... C'est de l'éditorial ou de l'opinion. Ce n'est pas un site de Dora ou de Pingu. Mon contenu était visible dès l'audit, avant mon acceptation au programme de monétisation par diffusion de publicité sur mon blogue.
2) Pire encore, pourquoi un anonyme (expert écrivant sous un pseudo et sans sa véritable photo) me répond sur un site commercial milliardaire coté en bourse à qui je ferai gagner de l'argent au fil des prochaines semaines?ET comprenez-moi bien. Même si vous ne leur faîtes gagner que quelques dollars ou euros pas mois en commission pour leur rôle d'intermédiaires avec les annonceurs, vous devez penser au nombre total de contributeurs comme vous. Pour faire un parallèle, c'est comme votre abonnement à un journal. Vous êtes un client à part entière à quelques dollars par mois et le journal fait ses revenus sur le volume. En monétisation par lien de publicité hébergée sur votre site aussi. Chaque page monétisée lui amène généralement peu. Mais de vendre le même produit (ex. une exposition pub) des milliers de fois, fait que le revenu se fait sur le volume et non uniquement sur les 50 blogues top d'un pays.
Aux antipodes du respect auquel on a droit en étant des clients d'un fournisseur avec qui on signe une entente d'échange de services
En toute confiance, j'ai commis l'erreur de mentionner que j'étais peut-être victime d'un signalement des images publiées parce que je dénonce des choses. Par exemple, une photo d'une fillette de la région d'Orissa en Inde, appartenant à une minorité chrétienne persécutée avec le visage brûlé (en guérison tout de même je n'ai pas exagéré). Le premier répondant sous un pseudo, même pas foutu de s'identifier m'a répondu que j'étais parano de penser qu'un signalement pouvait avoir été fait par un adversaire idéologique. Wow! on est loin du service à la clientèle habituel. J'ai pourtant vu ce genre d'attaque des dizaines de fois chez d'autres blogueurs ou éditeurs en ligne, lorsqu'ils ont commencé à parler un peu plus souvent de ces sujets interdits ou à prendre certaines positions plutôt en faveur d'Israël ou encore, contre la gauche radicale. En 2009, le monde entier ridiculisait les rédacteurs qui tiraient l'alarme sur la menace des islamistes. Regardez ce qui se passe actuellement. Et les rapports d' organismes sociaux non gouvernementaux (ONG) qui ont des représentants dans divers pays confirment que les choses ne vont pas bien. Par exemple: INDEX mondial de persécution des chrétiens 2016 par l'ONG Portes Ouvertes
Des avertissements imprécis et pratiquement invérifiables
Voici une partie de ma réponse à ce qui ne ressemblait en rien à un service à la clientèle acceptable et confidentiel d'un diffuseur d'annonces commerciales, je répondais à un pseudo dit top contributeur me traitant de parano sur le forum OFFICIEL.
DÉBUT DE MA RÉPONSE du16 mars 2016 (note: trafic et non traffic)
Les entreprises en 2016 gèrent les plaintes des clients et ne les envoient pas paître.
«1) vous écrivez « AdSense qui demande que TOUT ton contenu puisse être vu par un enfant de 5 ans»
Réponse : Adsense est irréaliste, si votre affirmation est vraie. Questions: combien de blogueurs sur la toile publient des textes pour des enfants de 5 ans qui ne savent pas lire? ________ Par exemple, les photos comme celle de la fillette qui a eu le visage brûlé n'ont pas pour but de promouvoir la violence, mais exactement l'inverse.
2) Pour ce qui est des photos et droits d'auteurs, les grands médias ont généralement une tolérance si on fournit la source et le lien vers celle-ci. Pourquoi? Réponse, parce que si un blogueur leur envoie 100 ou 200 lecteurs ou plus encore, il leur génère du traffic. ET si c'est 50 blogueurs, c'est multiplié d'autant. Ce traffic verra de la publicité et cela les fera vendre ou avoir de nouveaux abonnés en lecture payante. Ils ont donc intérêt à être tolérants envers les internautes qui leur envoient du traffic...Avec de tels critères, on fermerait les réseaux sociaux en 2016. Même principe sur Youtube.
En plus, c'est comme cela que des entreprises parties à la base comme Google ou Blogger sont devenus milliardaires avec des millions de personnes qui génèrent du traffic sur le web et par leur membership. Le nombre de membres fait qu'ils ont acquis de la valeur et ont été cotées en bourse.S'il n'y avait que les médias mainstream et les gros sites corporatifs, Blogger ou son équivalent ne seraient probablement pas devenus multimilliardaires.
3) Enfin, j'en sais assez pour dire que le recours aux services SEO pour rétablir la réputation d'un site confirment un des volets qui sont les personnes mal intentionnées sur le web (ex. tentatives de faire déclasser un site). Certaines pénalités proviennent en partie de pratiques malhonnêtes la compétition sur le web, qui vont tenter de nuire à une réputation [...] Ce n'est pas de la parano, c'est dans la documentation des sites corpo qui publient sur le sujet.
Je n'affirme pas que le signalement de tiers en compétition serait ce qui est arrivé avec Adsense (signalement de contenu par des tiers en désaccord) spécifiquement étrangement pour des articles remontant à 2012 (!) et dénonçant la persécution des minorités en Inde ou ailleurs, mais que ça arrive couramment chez les clients des SEO. [...]
FIN DE MA RÉPONSECordialement, »
Ce à quoi, un autre qui semble un peu plus alerté cette fois, écrit avec ce qui semble une véritable identité le 17 mars 2016
Seulement, je lui rappelle que la firme entremetteuse avec les annonceurs s'engage à adapter ses annonceurs à notre contenu et à notre audience.
Mais ensuite, l'entreprise demande de s'adapter à des annonceurs et à un public d'enfants. Voici ma réponse honnête et finale sur le forum de l'entreprise milliardaire:
MA RÉPONSE du 17 mars (après quelques échanges infructueux)
«J'ai déjà fermé mon compte Adsense hier.
en lisant d'autres blogues sur le sujet, et d'autres commentaires sur le forum Adsense, j'en suis venu à la conclusion que ce type de rémunération nécessite des milliers de visiteurs par jour dans le contexte de 2016 où de plus en plus de personnes ont un filtre antipublicités. Même un grand journal canadien en ligne ne fait pas les gains prévus par la publicité selon une nouvelle du 17 mars et son directeur vient de démissionner.
Adsense était intéressant en 2008, mais plus aujourd'hui, pour les sites à quelques centaines de visiteurs par jour maximum.»
FIN DE MA RÉPONSE DU 17 mars 2016
18 mars 2016
Pour faire la boucle, le premier «Top Contributeur» à m'avoir dit que j'étais parano répond:
«Techniquement, un site qui parle de sujets comme le tien, n'intéresse pas les annonceurs pour faire simple.
ps : tu me permettras de ne pas répondre à ton laïus, j'ai bien compris que tu t'autoparlais»
Par contre, le solde d'argent inférieur au minimum pour l'émission d'un chèque laissé dans le compte pour se libérer d'eux, ça oui, ça les intéresse BEAUCOUP et d'autres clients le signalent aussi sur leur forum OFFICIEL.
Encore là, je dois rappeler à mes lecteurs que mon site a été auditionné et accepté quelques semaines auparavant et j'avais continuellement de la pub affichée et visible malgré ce dernier commentaire superflu.
AUX ANTIPODES D'UN SERVICE AUX CLIENTS CONTEMPORAIN
- La personne qui ne me connait pas me tutoie, ce qui ne me dérangerait pas du tout si elle me respectait.
- Et si je «m'autoparlais» dans ma réponse, je suis donc, selon ce top quelque chose, soit simplement malhonnête (je m'autoparlais) ou lâche (parlant par dessus mon épaule en me retirant) ou pire, je suis fou..
- L'insulteur qui a monté dans la hiérarchie selon le principe de Peter, n'a pas même pas saisi que c'était pour informer les autres clients (le tout est sur un forum public, son irrespect inclus) et surtout que je me débattais pour essayer d'attirer l'attention d'un véritable service aux clients en vue d'informer Google Adsense que je refuse que ce soit ça le service à un partenaire dans les campagnes Adsense, car mes contributions leur génèrent des revenus. Je ne m'adressais pas à un petit service avec un serveur dans l'appartement d'un adolescent mais à une firme mondiale qui a une réputation à protéger. Je voulais que cela se reflète dans les commentaires. J'ai déposé une plainte qui sera logiquement inutile ou moralisatrice. Il y a beaucoup d'argent en jeux en pour la firme, des graines pour moi.
- Ce service qui dit que les sites comme le mien n'intéressent pas les annonceurs a accepté mon blogue après audit par l'équipe et le franchissement de toutes les étapes. Ce sont donc eux qui ont fait preuve d'incompétence en m'acceptant dans leur processus. Il faut dire que quelques dollars multipliés par des centaines de milliers de blogueurs qui font un essai, ça vaut la peine.
LIENS SUGGÉRÉS
UN RÉSUMÉ FORT INTÉRESSANT SUR LE SUJET AVEC AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS de Google Adsense
source : Supermarketeur.com, page consultée le 18 mars 2016
Ici, article d'un autre blogueur n'ayant que des maximums de quelques centaines de visiteurs par jour tend à confirmer la non-rentabilité pour les blogues-citoyens comme le sien (3)
Page consultée le 18 mars 2016
_______________
1. Démission de l’éditeur du Toronto Star. Journal de Montréal et AFP, 16 mars 2016.
http://www.journaldemontreal.com/2016/03/16/demission-de-lediteur-du-toronto-star
(page consultée le 18 mars 2016).
Se pourrait-il qu'au Canada, la difficulté de rentabiliser provienne du fait que sur internet, les gens veulent du gratuit. En fait, c'est plus complexe car ils paient déjà le fournisseur du service web (la bande passante) et que pour plusieurs utilisateurs, cela doit être pris en compte dans le budget mensuel total des communications et du divertissement. Le Canada se positionne parmi les quelques endroits au monde où les communications sont les plus chères. Il est très facile d'y payer 150 ou 200 dollars par mois pour la combinaison de la téléphonie, de l'internet et de la télévision. Ceci peut signifier que les fournisseurs internet sont tellement voraces, qu'ils peuvent par effet de rebond, priver des producteurs de données et de contenus de se rentabiliser, puisque le Canadien moyen ne veut pas payer de multiples frais additionnels, comme des abonnements. Ce dernier cherche de l'information gratuite. Le CRTC s'est penché par exemple sur les tarifs élevés du câble TV au Canada, ceci à la demande du Parti Conservateur du Canada (PCC), mais le tout semble donner de maigres résultats dans les faits. L'accouchement attendu semble se transformer en simples flatulences.
2. Et si vous êtes une entreprise corporative avec des milliers de visiteurs par jour, il vaut mieux faire affaire avec un webmestre professionnel qui a déjà fait ses preuves et commis ses erreurs de débutant. Le fils de votre meilleur ami, âgé de 16 ans et qui est décrit comme un féru d'informatique n'est probablement pas le bon choix. Encore là, l'exception confirmera la règle.
3. Il faut savoir que certains contenus ne génèrent pas des milliers de visites quotidiennes. Mais si les visiteurs sont là (5000 par mois dans son cas) il devrait avoir plus de rendements. Par exemple, si vous êtes dans le divertissement (ex. humour, musique ou vidéos gratuites, jeux, etc.) il sera plus facile de générer un trafic important résultant en des engagements (ex. membership, partages, suivis, etc.) que si vous parler de la politique et commentez l'actualité sur de multiples sujets. ceux qui réussissent le mieux en ce domaine sont généralement ceux qui sont déjà diffusés via un autre média (ex. dans un journal, une chronique TV, etc.). Par contre, sur un autre réseau social, je suis suivi par des journalistes, animateurs radio et personnes engagées (ex. conseillers politiques; administrateurs d'organismes militants) et des firmes de mesures d'audience (communications). Et de là, des lecteurs sont dirigés vers YapasdePRESSE à partir de liens. Je ne joins pas des milliers de personnes chaque jour, mais je pense influencer ou informer et faire réfléchir des gens qui influencent des gens.