Les institutions privées en services de garde pour la petite enfance et en éducation sont de plus en plus perçues comme un dérangement. L'État veut contrôler tout le contenu éducatif.
Il s'en faudrait de très peu pour croire que le Québec est en marche vers un autoritarisme politique. Le contrôle est de plus en plus enveloppant sur l'éducation, de la garderie à l'université. Les institutions privées en services de garde pour la petite enfance et en éducation sont de plus en plus perçues comme un dérangement, comme si elles étaient le sable dans l'engrenage d'un plan en progression. Il est de moins en moins possible de pouvoir exprimer une opinion divergente. Le changement des partis au pouvoir ne change pas le plan. On appelle le point de vue de l'État et des médias, une certitude, moi j'appelle cela les derniers moments de la démocratie, placée sur respirateur. Quand les citoyens d'un État n'ont le droit de penser que dans leur chambre, cela ne s'appelle plus de la liberté.
Mon analyse de l'opposition incessante contre le réseau privé en éducation (et services de garde) et l'incessant débat contre les écoles privées, m'ont amené à conclure ceci:
Quand le Québec aura le monopole en éducation, de la garderie à l'université, tout sera en place pour un autoritarisme politique.
Drapeau d'un Québec totalitaire.Fiction ou anticipation ? Crédits image :
Quand le #Québec aura le monopole en #éducation, de la garderie à l'université, tout sera en place pour un autoritarisme politique
— Gilles B. (@YaPasdePRESSE) 8 Octobre 2014
Drapeau d'un Québec totalitaire. Fiction ou anticipation ? Crédits image : YasPasdPRESSE.Blogspot.com |