La célèbre BBC a annoncé qu'elle ne diffusera plus les opinions scientifiques minoritaires comme les positions des «climato-sceptiques» sans pour autant saisir ce qu'est en bonne partie le scepticisme qui peut viser tout autant les solutions inappropriées et la raccourcis intellectuels. Si les grands médias basculent dans cette direction cherchant le consensus à tout prix, il est probable que la prochaine étape soit la censure de l'internet et des réseaux sociaux, bien qu'une telle approche existe déjà en partie, par les algorithmes de recherche, comme ceux de Google, par exemple.
(dernière modification: 17 déc. 2015)Il faut fuir comme la peste cette attitude qui favorisera logiquement les consensus artificiels fondés sur des alliances inconnues du grand public et même souvent, des éditeurs de l'information spécialisée.
- sans devoir pour autant en attribuer la cause première de son déclenchement à l'homme (présupposé d'une origine anthropique)
- sans voir ce réchauffement comme un phénomène unique ou sans précédent dans l'histoire de la Terre ou irréversible
- et sans être en faveur des bourses du carbone qui risquent d'être nuisibles aux pays ayant des ressources à exploiter et éventuellement, pourraient constituer la plus grande fraude économique mondiale ou du moins, une source de contestations infinies sur les droits financiers.
Autre exemple, lorsque les médias considèrent un débat clos (ex. euthanasie) ils empêchent les opinions opposées de se manifester. Imaginez l'impact si l'on vivait dans un État esclavagiste et que l'on considérait le débat terminé.
Suivre les «spécialistes», oui, mais lesquels? Et vraiment en tout, solution clés en main? Pas sûr...
L'ex-Ombudsman de la SRC (Radio-Canada francophone du Québec, 2007-2011) Julie MIVILLE-DECHÊNE écrivait dans le cadre d'une réflexion suscitée par les journalistes québécois en mai 2009:
«Ces Québécois « de souche » ont surtout étudié les sciences humaines et ont été contestataires dans la mouvance nationaliste et/ou de gauche. Souvent, leur façon de voir le monde comporte, par exemple, les éléments suivants : préjugés favorables envers les syndicats, antiaméricanisme, anticléricalisme, etc. [...] Remarquez que ce phénomène du « trop petit nombre » ne touche pas la classe journalistique plus que les autres. La preuve nous en est donnée chaque jour par les médias lorsque nous écoutons les experts sollicités pour nous éclairer. Les mêmes têtes reviennent. Un exemple : à lui seul, Steven Guilbeault, ex-directeur de Greenpeace au Québec, a été entendu 120 fois à la radio et à la télévision de Radio-Canada en 2007!» (1)Or, Steven Guilbeault est un des plus fervent défenseurs d'une théorie d'un réchauffement sans précédent historique (ce qui est faux) et des bourses du carbone dont l'argent est difficile à suivre et les détournements déjà constatés. La nouvelle position de la BBC amènera le monde des communications et de l'information vers plus de filtres, ce qui n'est pas nécessairement garant de plus de vérité. Nos véhicules médiatiques peinent à sortir des ornières, d'où la surmultiplication des blogues et des médias sociaux. Ensuite, ces grands médias s'en étonnent.
Par exemple : le saviez-vous? Une nouvelle d'impact majeur sur le VIH n'a eu que quelques instants d'attention
Connu depuis quelques années, mais LE SAVIEZ-VOUS? «Une nouvelle étude démontre qu'un patient pourrait, en théorie, apparaître faussement exempt du VIH pendant des décennies.» JEAN-FRANÇOIS CLICHE, Journal Le Soleil / La Presse, 10 mars 2010. Selon la nouvelle politique de la BBC, l'information sous l'image qui précède deviendrait marginale et non consensuelle. Pourtant, elle peut être plus vraie que la théorie dominante actuelle du VIH vaincu et sur son déclin. L'impact: le manque de prévention qui en découle est évident. On a la vague impression (fausse) que le VIH est un ennemi presque vaincu... |
La Science n'est jamais un vase clos, ni une histoire terminée
La Science est indissociable des autres connaissances. Ces autres lectures du monde seront donc indistinctement touchées à terme. C'est le cas par exemple de l'Histoire, de l'Économie et ses doctrines, des idées politiques et sociales, des modes de la psychologie et de la pop-psychologie (ex. les bons pédophiles, théorie du genre, ...), des philosophies et spiritualités, etc. Si les journalistes et chefs de la nouvelle peuvent être sélectifs en sciences, ils pourront donc l'être certainement sous ces autres aspects qui déterminent les valeurs du siècle. Cela ouvre la porte à beaucoup de manipulation des idées par des intentions pas toujours propres: ex. antichristianisme versus retour en force du polythéisme et des gnoses.
La fausse idée du juste consensus
Le consensus n'est pas une vertu. On peut être consensuel sur une injustice ou sur une erreur. Et l'Histoire l'a démontré plus d'une fois. Il faut donc surtout tenir compte aussi des diverses facettes d'une problématique. Par exemple, le réchauffement climatique, argument type retenu pour rendre socialement acceptable cette politique éditoriale de filtre idéologique de l'information, dépend énormément de l'activité solaire et de la libération de GES (non industriel) dans l'atmosphère, suite par exemple à l'activité volcanique, au dégel des sols près des pôles, etc. Le public sans base scientifique ne peut comprendre ceci sans que cela lui soit expliqué. Il doit entendre diverses nuances. Même les activités les plus essentielles aux vies humaines qu'ils prétendent vouloir sauver, peuvent influencer le taux des GES dans l'atmosphère terrestre (ex. développement agricole, élevage). Et plus encore, un problème bien défini peut recevoir une solution tout à fait contestable en raison des idées que l'on veut imposer.
Ce qui doit nous éveiller collectivement, c'est que cette attitude énoncée par l'influente BBC est probablement déjà latente ou appliquée partiellement dans d'autres médias occidentaux. YaPasdePRESSE (mon blogue sur divers enjeux sociaux) est né de cette certitude critique du fait que les grands médias (et tout autant les médias sociaux, même les plus prolifiques) ne sont jamais totalement impartiaux. Nous sommes tous, qui que nous soyons, je m'inclus, influencés d'une quelconque manière. De là à la censure internet, il n'y a même plus un pas, mais une ligne déjà empiétée, notamment par les grands moteurs et annuaires de recherche qui renvoient les résultats en fonction de certains présupposés ou de sponsors. Par exemple, un documentaire cinématographique et un livre à succès qui critiqueraient les politiques d'Obama, comme America. Imagine The World Without Her, seraient toujours défavorisé par rapport à un autre moins populaire qui demeure dans le mainstream, du fait de l'aura médiatique dont bénéficie le président américain. Quel auteur peut donc oser contester ses politiques intérieures et étrangères, fût-t-il même lui aussi immigré (de l'Inde) et démocrate engagé comme Dinesh D'Souza, lui qui est devenu un conseiller et conférencier politique apprécié, après avoir débuté son service politique engagé sous le gouvernement démocrate de Ronald W. Reagan?
Avec ce genre de politique officielle actuelle ou et éventuelle des grands médias, le basculement vers la pseudo-information risque de s'accélérer. Il ne sera plus nécessaire qu'il y ait concentration ou convergence des médias du point de vue de leur propriété, pour que les peuples soient désinformés. Des alliances plus ou moins fluides ou même temporaires ou ponctuelles, en fonction des sujets traités suffiront. Peu de lecteurs des événements mondiaux et nationaux saisissent que le monde est plus que jamais sous une guerre peu comprise; mais une guerre bien réelle consistant à déterminer les idées qui dirigeront le monde durant un siècle. Et ce sont les idées appliquées dans le réel et non dans leur sens propagandiste, ni les idéaux théoriques, qui déterminent vos conditions de vie. Auparavant, ces idéologies touchaient à une ethnie, une région, un pays, un continent. Aujourd'hui, la course à la domination idéologique du monde touche la planète habitée et inhabitée entière, en raison des ressources des lieux inhabités par l'homme. Même l'espace au-delà de l'atmosphère qui entoure notre planète, n'est plus un endroit neutre, depuis la course spatiale. Même ceux qui supportent cette approche de la «bonne censure» semblent inconscients de leurs propres contradictions: par exemple en étant capables de soutenir du même coup la liberté de choix et en parallèle, une entité terroriste totalitaire sur la base d'une alliance contre un ennemi sémite commun.
Et de là, il n'y a qu'un pas pour que soit censurés internet et les réseaux sociaux ou sources d'information alternatives, et cela est déjà commencé d'une certaine façon, par exemple dans le classement filtré des résultats sur les moteurs de recherche, en fonction des opinions exprimées sur un blogue, dans un film documentaire, etc.
Voici des exemples de l'aspect pervers du genre de politique de la majorité.
Erreur sur le remède ou sur la dose à administrer
Et de là, il n'y a qu'un pas pour que soit censurés internet et les réseaux sociaux ou sources d'information alternatives, et cela est déjà commencé d'une certaine façon, par exemple dans le classement filtré des résultats sur les moteurs de recherche, en fonction des opinions exprimées sur un blogue, dans un film documentaire, etc.
Voici des exemples de l'aspect pervers du genre de politique de la majorité.
L'opinion unique en matière de santé publique : le VIH est-il vaincu?
Voici un exemple. Le VIH, dit-on, est un adversaire pratiquement vaincu, en voie de disparition. C'est le courant dominant de pensée, un des consensus «scientifiques» de l'heure, encore en 2015. Pourtant, d'autres chercheurs prétendent que le rétrovirus (virus inactivé prêt à entrer en action) aurait évolué et se cacherait par fragments de son code génétique dans le noyau des cellules souches humaines de porteurs infectés (image et commentaire ci-haut). Savez-vous ce que cela veut dire chers citoyens du monde? Cela signifierait, si la théorie se confirme, que les cellules pluripotentielles destinées à produire au besoin, des cellules spécialisées pour réparer nos corps, lesquelles seraient par exemple, déjà potentiellement infiltrées par le VIH, pourraient, tout en régénérant les tissus et organes au besoin, contaminer les nouvelles cellules spécialisées toutes neuves d'une personne infectée. Avez-vous pensé aux conséquences de la fausse information et du consensus creux, sur les dons d'organes et les prélèvements de cellules souches? Et ce qui inquiète aussi, c'est que les cellules souches ont une durée de vie très longue (des décennies). En entendez-vous souvent parler dans vos médias chéris? Non. On nous dit au contraire, ici au Québec du moins, que le VIH est un virus qui sera bientôt du passé, alors que selon cette autre théorie dans la droite logique d'un virus en mutation, le VIH devient peut-être INDÉTECTABLE chez un porteur infecté. Voilà un exemple type, d'où peut mener l'information consensuelle à tout prix; l'information de cons et sensuelle (sensuelle au sens de conçue pour plaire à la masse). La majorité serait possiblement dans l'erreur et l'information, une histoire fausse, mais coûtant la vie à combien de millions de personnes confiantes?
L'exemple du dérapage autour du virus A H1N1 (2009-2010)
On se souviendra du «Dr Margaret Chan, directrice de l'Oms en charge de la lutte contre la pandémie de grippe H1N1» qui voyageait dans le monde en pleine «pandémie» après au moins deux mois de campagne de vaccination et après une alerte élevée au niveau 6 par l'OMS le 11 juin 2009, soit un peu plus de 6 mois plus tôt. Son attitude créait l'apparence de ne pas avoir confiance au vaccin. Elle faisait la promotion
de la vaste campagne de vaccination quasi-imposée aux États nord-américains, et la voyageuse n'avait elle-même toujours pas reçu le vaccin, à la fin de décembre 2009. La spécialiste et responsable mondiale de la campagne de vaccination contre le virus A H1N1 n'avait pas eu le temps de prendre ce vaccin... Elle avait elle-même annoncé l'élévation du niveau de l'alerte au niveau de pandémie sur avis de plusieurs spécialistes éminents consultés, constituant la crème des cerveaux médicaux. Et elle voyageait de par le monde sans ledit vaccin.
La science médicale a totalement dérapé cette année-là, médias aidant en relayant les communiqués de panique dans le cas du virus de l'influenza de type H1N1, hypothéquant sérieusement ainsi la crédibilité d'organismes majeurs de la santé comme l'OMS. Ceci démontre bien l'illogisme de la théorie du consensus mondial, actuellement promue par la BBC. Résultat: après avoir alerté inutilement le monde entier, il serait encore difficile de retrouver le même capital de confiance lors d'une crise véritable, même 5 ou 6 ans plus tard. La prévention dans les déplacements des voyageurs et les mises en quarantaine de voyageurs potentiellement infectés aurait probablement suffi. Dans les faits, ce fût une panique mondiale et une surévaluation de la «crise» qu'on aurait pu croire promue par l'Industrie pharmacologique. Encore un peu, et l'on aurait vacciné le monde entier. La contre-réponse exagérée des médias sociaux (les pseudo-spécialistes anti-vaccination tous azimuts) n'était en bonne partie qu'une réponse tout aussi exagérée, mais dans l'autre direction. Mais tout à fait compréhensible dans le contexte.
Ou on tente et tentera encore, par exemple, arguments «scientifiques» à l'appui, de nous convaincre qu'il faudrait utiliser les réseaux de distribution d'eaux potables comme vecteurs de traitements médicaux de masses, en débutant par le premier pas de la fluoration de l'eau des villes.
Dr Margaret Chan, Dir. de l'OMS depuis 2006. Crédits photo: Organisationmondiale de la santé (OMS). |
La science médicale a totalement dérapé cette année-là, médias aidant en relayant les communiqués de panique dans le cas du virus de l'influenza de type H1N1, hypothéquant sérieusement ainsi la crédibilité d'organismes majeurs de la santé comme l'OMS. Ceci démontre bien l'illogisme de la théorie du consensus mondial, actuellement promue par la BBC. Résultat: après avoir alerté inutilement le monde entier, il serait encore difficile de retrouver le même capital de confiance lors d'une crise véritable, même 5 ou 6 ans plus tard. La prévention dans les déplacements des voyageurs et les mises en quarantaine de voyageurs potentiellement infectés aurait probablement suffi. Dans les faits, ce fût une panique mondiale et une surévaluation de la «crise» qu'on aurait pu croire promue par l'Industrie pharmacologique. Encore un peu, et l'on aurait vacciné le monde entier. La contre-réponse exagérée des médias sociaux (les pseudo-spécialistes anti-vaccination tous azimuts) n'était en bonne partie qu'une réponse tout aussi exagérée, mais dans l'autre direction. Mais tout à fait compréhensible dans le contexte.
Pour nous convaincre d'utiliser l'eau potable pour transporter et administrer une médication à tous
Ou on tente et tentera encore, par exemple, arguments «scientifiques» à l'appui, de nous convaincre qu'il faudrait utiliser les réseaux de distribution d'eaux potables comme vecteurs de traitements médicaux de masses, en débutant par le premier pas de la fluoration de l'eau des villes.
Des fruits prévisibles de la panique sur le réchauffement climatique anthropique ou naturel : surtaxes et freins aux économies de pays à statut précaire requérant des investissements importants pour nourrir leurs populations
Environnementalistes apocalyptiques
Oui il faut exploiter les ressources avec prudence et respect de l'environnement. Mais selon la communauté scientifique apocalyptique, il faudrait que l'humanité entière entre en dormance, ou que l'Occident cesse d'exploiter ses ressources, ou celles de pays où ses entreprises investissent. Le pétrole c'est sale; l'eau c'est propre et intouchable; il ne faudrait plus construire des barrages hydroélectriques selon ces perceptions des ressources divinisées en quelque sorte. De plus, la panique restrictive économique supportée par les alarmistes, les environnementalistes apocalyptiques, peut causer autant de mort, que les mêmes «spécialistes» bien intentionnés pouvaient vouloir éviter au départ. Comment? Les surtaxes et les règles NON appliquées par les continents en éveil industriel peuvent causer le déclin économique dans le monde aux économies émergentes, plus sensiblement en dans les pays qui ont besoin d'investissements pour exploiter leurs ressources, l'Afrique, par exemple.
Sur la Science et son monopole
La BBC doit pourtant savoir que la science a toujours progressé quand une minorité a forcé d'aborder une question sous un angle différent et non par consensus sans opposition. Avec cette attitude que veut promouvoir le grand réseau anglais, l'on n'aurait jamais publié Albert Einstein. La justification de ne pas donner droit de parole à ceux qui croient que la Terre est plate est une exagération tout à fait non avenue et déconnectée de la vraie réalité du scepticisme envers les canaux de communication officiels et commandités. Il existe un scepticisme ou une saine prudence, que l'on peut très bien comprendre.
Par exemple, on veut faire avaler aux citoyens :
Voilà un domaine où les intervenants sont multiples et où l'argent devient difficile à suivre. De plus, la solution peut nuire aux économies des pays qui ont grand besoin de soutien pour leurs travailleurs.
Par exemple, on veut faire avaler aux citoyens :
- que le climat de la Terre n'aurait jamais été plus chaud,
- ou que les vaccins sont toujours nécessaires, quand ils ne le sont pas en toute situation.
Où va l'argent des bourses du Carbone? Quel joueur tient la banque? Qui décide des bénéficiaires des compensations en cas de catastrophe liée au climat.
Voilà un domaine où les intervenants sont multiples et où l'argent devient difficile à suivre. De plus, la solution peut nuire aux économies des pays qui ont grand besoin de soutien pour leurs travailleurs.
Lorsque nous paniquons, nous cessons d'agir avec intelligence
Présentement, une partie importante de la communauté scientifique et politique est en mode panique. Dans ce contexte, les décisions risquent l'illogisme ou l'irresponsabilité. Par exemple, si l'on retarde le réchauffement de 100 ans mais qu'à cette fin, des millions de personnes meurent dans ce siècle des conséquences directes et indirectes de la pauvreté provoquée par la diminution radicale des activités humaines industrielles ou de l'exploitation des ressources (manque de travail, surtaxes des entreprises, etc.), où est le gain?
Si j'avais à vivre le réchauffement, je préférerais voir ma maison emportée par l'eau alors que j'ai un emploi convenable pour me relever, plutôt qu'en étant sans emploi, depuis 5 ans assis à regarder la rue, parce que mon pays n'exploite plus ses ressources naturelles.
Si j'avais à vivre le réchauffement, je préférerais voir ma maison emportée par l'eau alors que j'ai un emploi convenable pour me relever, plutôt qu'en étant sans emploi, depuis 5 ans assis à regarder la rue, parce que mon pays n'exploite plus ses ressources naturelles.
Pensée: je ne cherche pas une opinion clés en main quand je consulte un média.
Définition : grand média : usine de filtration de l'information
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1. Julie MIVILLE-DECHÊNE. Pour un engagement sérieux à l’égard de la diversité dans les grands médias. 10 chantiers pour l'info - On veut des voix, magazine Le Trente, Vol. 33, numéro 5, mai 2009.
Aussi disponible ICI
http://www.fpjq.org/10-chantiers-pour-linfo-on-veut-des-voix/