mercredi 4 octobre 2017

Canada et États-Unis : Constitutions nationales sous attaque

Alors, croyez-vous toujours que c'est à cause du Président Donald J. Trump que certains groupes culturels ne respectent pas l'hymne national U.S. ? Ici, une vidéo captée au Canada, lors de l'assemblée publique d'un comité d'école (1).



Capture d'écran: Dans une assemblée publique d'un comité d'école au Canada. Source : Twitter, fil twitter de l'usager @AmyMek https://twitter.com/AmyMek/status/913499893142097920 Mon commentaire: ceci survient au moment où l'on prétend que la résistance au drapeau américain et à l'hymne national U.S. seraient la faute du Président Donald J. Trump.



(NOTE : citer n'est pas approuver; on ne peut pas conclure qu'ils sont djihadistes au sens de soldats ou terroristes ou violents physiquement. Mais au militantisme engagé, oui)


Pour les spectateurs passifs, ces protestations et parfois soulèvements violents sont dans l'air du temps, des symboles; rien de plus que des manifestations d'un mécontentement. C'est comme voir un film sociopolitique qui durera trois heures. Mais pour les militants, c'est très sérieux. L'enjeu? Remplacer les systèmes économiques et politiques en place. La durée: les prochaines décennies, mais le plus vite possible en profitant de l'état d'engourdissement soutenu par les chartes. Certains boomers ou bobos nostalgiques croient revivre 1968 (France) ou les années 'soixante (au Québec), alors que l'on va dans le sens contraire: déconstruction, conflits, abdication sur les libertés; particulièrement celle de l'expression et de la critique. 


MON ÉDITORIAL Sur les nouvelles et anciennes racines des activismes sociaux 

  • anticapitalistes et altermondialistes
  • néo-marxistes, marxistes culturels, féministes marxistes et marxistes traditionnels
  • idéologies anti-occidentales
  • antifas et proches des lobbys anti-Blancs dans les démantèlements des statues
  • anarchistes ("RESIST", "BECOME UNGOVERNABLE", ...)

Et aussi, ce que sont en réalité des manifestations visibles (tactiques de déstabilisation) des précédents plutôt que des mouvements comme tels:
  • le militantisme anti-drapeau national déjà en 2015 AVANT Trump
  • anti-hymnes nationaux déjà en 2015 AVANT Trump aussi
  • démantèlement de monuments historiques



Démantèlement des statues de Blancs: Nos erreurs font aussi partie de notre histoire


Les naïfs, sans malice, y voient un mouvement de justice pur et simple. L'élimination des statues de personnages Blancs historiques est pourtant, en réalité, une étape de la déconstruction de l'histoire occidentale. Nos erreurs font aussi partie de notre histoire et sont faites dans un contexte où tout n'est pas noir ou blanc, dans les réalisations d'un individu qui a joué un rôle historique. De graves abus et injustices appartiennent à l'Histoire même récente (moins d'un siècle) de toutes les nations.

Et de graves abus appartiennent à l'histoire de toutes les nations et ethnies à certains moments de leur histoire


  • Les guerres tribales entre Amérindiens, cela vous dit quelque chose (prendre le territoire d'une tribu qui était là avant)? Cela a été la réalité nord-américaine avant l'arrivée des Espagnols et des Anglais.
  • La traite arabo-musulmane est une réalité passée sous silence par nos journaleux. À la différence des États-Unis, ils ne leur ont pas laissé de descendants. Le chercheur Tidiane N'Diaye en a parlé dans son livre: Le Génocide Voilé - Enquête historique (aux éditions Gallimard Paris, janvier 2008).
  • Et aux États-Unis, des Blancs ont aussi été asservis en très grands nombres par d'autres Blancs (ex. orphelins ou enfants abandonnés importés de Londres ou d'Irlande).
  • Tout récemment, à bord d'embarcations de passeurs, des migrants musulmans d'Afrique du Nord ont jeté par dessus bord des chrétiens (Le Monde, 17 avril 2015; autres événements rapportés dans MÉDIA-PRESSE INFO, 21 novembre 2015). C'est un fait connu.

Les clans amènent en terres d'accueil leurs conflits et leur haine et les Blancs n'ont pas le monopole de la violence, pas plus qu'ils n'en seraient les inventeurs



En réalité, l'opposition

s'inscrit dans une démarche consciente de l'effacement de l'Histoire et précède la tentative de son remplacement et l'effacement et la subrogation de nos constitutions séculaires; enlever et remplacer la Constitution ou disons «Repeal and Replace...». 


Ci-dessous (photo), groupe des jeunes danseurs du Studio Party Time de la ville de Quebec avec Roger Waters (Pink Floyd), utilisés idéologiquement, lors de son sepctacle au Centre Videotron de Québec, le 6 oct 2017. Les jeunes de la troupe ont été recrutés à deux semaines d'avis pour promouvoir une idéologie politique avec ou sans leur permission consciente du sens véritable de la démarche. Le poing levé de cette façon représente la révolution et le remplacement du système en place. Le slogan du chandail ("RESIST" = Résistez) fait partie de la mouvance anarchiste ou proche, dont on connait aussi le slogan récent: "BECOME UNGOVERNABLE" ou "BE UNGOVERNABLE" (Soyez ingouvernables) ce qui représente bien l'anarchisme.


Crédits photo : lls ont dansé avec Roger Waters, Journal de Montréal (web), samedi 7 octobre 2017 

Ci-dessous (University of California, Berkeley 2017), la démarche anarchiste «BECOME UNGOVERNABLE» dont la bannière «THIS IS WAR» est plus un avertissement et un cri de rassemblement, qu'une figure de style poétique. C'est aussi dans une université de la même allégeance (UC campus Irvine) qu'au printemps 2015 un comité d'étudiants noyauté par l'extrême gauche, a tenté d'interdire le drapeau américain et a menacé la sécurité à plusieurs reprises sur le campus.




Ci-dessous, AVANT TRUMP, le moment devenu célèbre où Colin Kaepernick (chandail no 7) et son collègue Eric Reid (no 35) des 49ers de San Francisco, posaient le genou par terre en signe politique lors de l'hymne national US, à l'ouverture du match de la NFL du dimanche 18 septembre 2016. À ce moment, la nominée Démocrate Hillary Clinton avait vaincu Bernie Sanders. Elle était encore présumée future gagnante aux élections présidentielles américaines de 2016. Le mouvement débuté sous l'administration Obama a été repris par la suite et imputé, par un anachronisme, à son successeur à la présidence.

Crédits photo :  Mike McCairn / AP



Au Superbowl de 2016, Beyoncé Knowles a rendu hommage aux Black Panther Party (d'inspiration marxiste-léniniste et maoïste). Durant sa prestation, au Superbowl 50, le 7 février 2016, soit AVANT l'élection de Donald J. Trump, sous le mandat de Barack Obama, personne ne prédisait l'élection de l'homme d'affaires Donald Trump. La NFL n'en est pas, comme nous le voyons, à sa première instrumentalisation en faveur de l'utilisation idéologique du sport. Et on voit un phénomène semblable aussi, lors de diverses remises de prix récompenses en musique, TV, cinéma et arts et spectacles.


Beyoncé & Bruno Mars Crash the Pepsi Super Bowl 50 Halftime Show | NFL (canal NFL officiel sur Youtube, image extraite de la vidéo youtu.be/SDPITj1wlkg


Ci-dessous, une victoire devant un tribunal du Canada pour le port du voile politique.

CANADA. Une femme lève le poing devant la caméra, lors du rejet d'un appel d'Ottawa sur le port du niqab lors de l'assermentation de citoyenneté. Source: ICI Radio-Canada, 2015-09-17


Les partisans qui sont conscients de la démarche (tous ne le sont pas certains n'ayant pas saisi les enjeux) noyautent tous les niveaux pour atteindre leur but de remplacer nos constitutions, notre droit (lois et codes) et nos institutions


Comités d'écoles ou schoolboards, associations étudiantes universitaires, mouvements féministes et féministes marxistes, mouvements dits des droits humains, agitation publique, etc., sont autant d'exemple de portes d'entrée.

C'est dans un but convergent avec les phénomènes plus soft, en apparence, de l'opposition aux hymnes nationaux, aux drapeaux et aux statues de personnages historiques, que l'État islamique dans sa guerre de conquête, de son côté, détruisait et détruit les preuves de civilisations autres, en démolissant des monuments et vestiges de villes anciennes. C'est au-delà de la lutte à la fabrication d'images de culte, car ils s'en sont pris aux architectures; preuves historiques d'une occupation occidentale ancestrale du territoire des cultures grecques et romaines, par exemple. Comme l'ont souligné des partisanes Noires du président Trump, suivies par plus de 400,000 personnes sur Twitter en septembre 2017, les statues démantelées en 2017 étaient là sous l'administration Obama. Trump sert selon elles de prétexte (VOIR NOTE 2, et voir Twitter compte @DiamondandSilk, 1er sept. 2017).

La remontée du marxisme ou d'équivalents qui n'en revendiquent pas le nom comme tel, constitue la pratique de la même politique d'effacement de l'histoire des nations occidentales ou de sa «démonisation» en s'attaquant aux manifestations des pouvoirs et autorités, sans oublier le fait de diviser (anarchie), exacerber les anciens ou latents conflits ethniques en voie de guérison (NOIRS vs BLANCS aux États-Unis, conquête des territoires autochtones au Canada) et aux symboles de l'État. Nous constatons avec trop de passivité, les mouvements ou leurs manifestations anti-armée, anti-policiers, souvent opposés aux tribunaux et avouant y préférer le lynchage au sens réel et éviter les procès légaux, etc.

Crédits photo: Democratic Underground (date indéterminée mais le ou avant le 1er mai 2012). Elle apparaît dans un article du blogue TheBlaze.com/News  concernant la marche des Wildcats  prévue pour la fête internationale des travailleurs dans le syndicalisme, le 1er mai 2012. L'Article traite des techniques violentes et intimidantes utilisées par le Black Bloc selon un mémo de la NYPD (New York Police Department) et partagé aux policiers et aux agents de sécurité privés en prévision de l'événement. A Look at the Leaked NYPD Memo Prepping for May Day: ‘Wildcat March’ & Violent ‘Black Bloc’ Tactics, Erika Ritz, TheBlaze.com, 1er mai 2012


En Occident post-christianisé, au Canada inclus et pour les mêmes raison (effacer l'Histoire, exalter les conflits ou les conflits permanents), bientôt dans nos villes, on s'en prendra inévitablement aux livres et à la liberté d'expression politique sur internet (déjà commencé je vous l'assure) et aux constitutions.

Pénalité imposée à l'actuel blogue (personnel)  et à des réseaux sociaux ou médias conservateurs nord-américains en avril 2017 démontré par une chute des visites marquées. Ou quand la paranoïa est mathématiquement mesurable. Dans mon cas, la recherche par expression exacte ne fonctionne plus, la plupart du temps ou du moins très souvent. Autrement, dit une personne se souvient d'une expression lue sur mon blogue quelques jours ou semaines plus tôt, et lance une recherche sur le moteur Google entre guillemets " " et celle-ci ne sort plus, la plupart du temps, depuis à peu près le même moment. Je n'ai pu déterminer pourquoi; peut-être (ça reste à vérifier) des articles contenant certains mots-clés. Ceci signifie rien de moins qu'une censure web (tant que cela perdure jusqu'ici en octobre 2017).

C'est leur «Repeal and Replace»... Et nos journalistes déviés dorment, au Québec comme ailleurs.

Quel est le piège ici en 2017, par exemple avec l'opposition à l'hymne national des États-Unis par les joueurs de la NFL, ou l'anti-drapeau des universités de Californie (2015 avant Trump) ou d'ailleurs?


Quel est le piège ici en 2017, dans le cas de l'opposition aux hymnes et drapeaux nationaux? On veut que les États concluent que pour abaisser les tensions, qu'il faille éliminer les hymnes nationaux et drapeaux de la vie sportive et de la vie politique en dehors des assemblées législatives et parlements. Bientôt on s'attaquera au drapeau canadien. Et ne vous faites pas d'idées. Si le Québec devenait une république indépendante, ce serait du copier-coller dans le nouveau pays (naîtrait une contestation de l'unité nationale basée sur les ethnies). Aux États-Unis, le drapeau américain est déjà pris à partie dans les universités où des membres de communautés activistes siègent sur les conseils d'étudiants. Ceci a donné la crise vécue sur le campus de l'université de Irvine en Californie (2015 antérieur à l'élection de Trump) dont nos journalistes n'ont pas parlé. En France, lors des élections: de moins en moins de drapeaux français dans les rues et de plus en plus de drapeaux de pays autres, que vous savez et que les journalistes savent.


D'étranges alliances politiques


Des maires de grandes cités ferment les yeux contre la violence pour des votes, même l'administration de présidents, échangent des portions de droits constitutionnels pour des votes (ex. ouverture à la charia). Aux États-Unis, une association de juristes travaille activement à l'implantation de la Charia (Sharia) qui est le droit fondé sur les lois et traditions islamiques (3). Des proches d'associations terroristes ou islamistes radicaux ont collaboré à la révision des politiques de la Sécurité intérieure sous l'administration Obama. Ces faits rapportés par des sonneurs d'alerte ayant œuvré et enquêté pour la sécurité intérieure et la lutte au terrorisme sont rarement repris, souvent ignorés volontairement par les médias. Des sympathisants de groupes terroristes participent à la mise à jour des politiques antiterroristes aux États-Unis (4).

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1.     J'ai trouvé la vidéo sur le fil twitter de l'usager @AmyMek : 
https://twitter.com/AmyMek/status/913499893142097920


2.      AlwaysActions‏ @AlwaysActions  1 sept [2017].
«If the Dems & the left are
so offended by statues, why
were they not protesting the
removal of them during the
Obama admin?»

@DiamondandSilk


3.  Debate on "Radical Islam" and Terrorism
"A Senate Judiciary Subcommittee on Oversight, Agency Action, Federal Rights and Federal Courts convened a hearing on the use of the term “radical islam” in government documents and combating terrorism strategies".

«[...] the Assembly of Muslim Jurists of America. Clearly a benign-sounding name but in Arabic, it's [foreign language], the group of lawyers implementing Sharia law in the United States which is unconstitutional.»



4.     Debate on "Radical Islam" and Terrorism
"A Senate Judiciary Subcommittee on Oversight, Agency Action, Federal Rights and Federal Courts convened a hearing on the use of the term “radical islam” in government documents and combating terrorism strategies".

Traduction Google:
«Un sous-comité judiciaire du Sénat sur la surveillance, l'action de l'Agence, les droits fédéraux et les cours fédérales a convoqué une audience sur l'utilisation de l'expression «islam radical» dans les documents gouvernementaux et la lutte contre les stratégies de terrorisme».

L'enjeu est facile à saisir ici. Si même les organisations et mécanismes appelés à protéger les citoyens ne peuvent nommer les choses et les groupes pour ce qu'ils sont, les enquêtes et les lois votées par les gouvernements en sont directement affectées. Vous pouvez alors vous retrouver avec une administration qui d'une part interdit l' «islamophobie» (néologisme politique) et simultanément interdit aussi de nommer ouvertement le «terrorisme islamiste».