samedi 1 novembre 2025

Le recul des glaciers révèle d'anciens sentiers et passages commerciaux et militaires

Le recul des glaciers sur les hauts sommets européens enneigés a mis au jour ces dernières années, des anciens sentiers, des passages et leurs artéfacts (balisage avec des pierres, outils et artefacts, preuves de passages importants il y a quelques millénaires). Cela démontre d'anciennes activités humaines en haute altitude. Ces sentiers dormaient avec leur histoire sous la glace et la neige, avant d'être révélés par les fluctuations climatiques et le recul de la neige et de la glace. 



Curieusement, ces découvertes et les publications ne sont pas très reprises par les médias francophones. Pourquoi? Peut-être que la conclusion qui s'impose, est  la suivante : il y a souvent 2000 ans ou plus, il y avait des sentiers et de l'activité humaine en haute altitude, avant une phase de glaciation, comme par exemple, à l'âge du fer romain. Des archéologues ont pu identifier des sentiers ou passages qui étaient utilisés et balisés. Ou encore, on peut trouver des outils élémentaires de prospection minière remontant à 8500 ans.

Trois exemples de références qui auraient dû faire la une dans les médias durant des semaines, en contexte des surtaxes pour le climat. Je vous en introduis trois.

1.    La fonte des glaces révèle une ancienne route commerciale florissante (Melting Ice Reveals an Ancient Thriving Trade Route)

Source : Columbia Climate School (27 mai 2020)

Résumé : La fonte des glaces dans les Alpes suisses (au col de Schnidejoch) a mis au jour un ancien col de montagne utilisé comme route commerciale il y a 2000 à 2700 ans, à l'âge du fer romain et au Bronze final. Des marqueurs de sentiers (comme des cairns en pierre), des artefacts en bois et des outils ont été découverts, confirmant l'existence d'un passage autrefois enseveli sous la neige dite «éternelle». Les archéologues soulignent que le réchauffement accélère ces révélations, mais met aussi en danger les sites.

Lien : Lire l'article complet (https://news.climate.columbia.edu/2020/05/27/melting-ice-ancient-trade-route/)


2.   La fonte des glaciers suisses révèle un ancien sentier de randonnée invisible depuis plus de 2 000 ans (Melting Swiss glaciers reveal ancient hiking path not seen for over 2,000 years)

Source : Euronews (13 septembre 2022)

Résumé : Dans les Alpes suisses, la fonte accélérée des glaciers due au réchauffement climatique a révélé un ancien sentier de randonnée entre deux glaciers (le Tschierva et le Roseg), invisible depuis au moins 2000 ans. Ce chemin préhistorique, utilisé par les premiers habitants de la région, émerge maintenant pour la première fois en raison de la disparition de la neige et de la glace. Le domaine skiable local a partagé des photos impressionnantes de ce «trésor caché».

Lien : Lire l'article complet (https://www.euronews.com/green/2022/09/13/melting-swiss-glaciers-reveal-ancient-hiking-path-not-seen-for-over-2000-years)


3. Sous les glaciers, les vestiges

Source : National Geographic France (juillet 2020)  

Résumé : Cet article explore l' «archéologie glaciaire» dans les Alpes, où la fonte accélérée des glaciers révèle des routes de passage et de commerce anciennes, utilisées dès la préhistoire pour le troc et les migrations. Des activités comme la prospection minière, il y a plus de 8500 ans, y sont répertoriées. Au col du Schnidejoch (2756 m d'altitude), la glace fondue depuis 2003 a exposé un passage alpin intensivement fréquenté du Néolithique au Moyen Âge, avec des artefacts comme des chaussures en cuir, des bols en bois et des outils, témoignant d'échanges transalpins à plus de 2500 m.  En Savoie (France), des cols comme l'Autaret confirment ces voies historiques. L'article insiste sur l'urgence : ces vestiges risquent de disparaître sans protection.  

Lien : Lire l'article complet (https://www.nationalgeographic.fr/histoire/2020/07/sous-les-glaciers-les-vestiges)


Réfléchissons sur le silence média et sur le désintérêt de la France pour les sites sur son propre territoire, à l'époque où l'on surtaxe et appauvrit des peuples pour des conditions climatiques qui ont déjà existé dans les récents millénaires, témoignant que les réchauffements climatiques existaient avant l'ère industrielle.

Les anciens sentiers et passages libérés de la glace après des milliers d'années sont des témoins d'une vérité historique et scientifique : le climat plus froid n'est pas une constante. D'autres preuves étaient déjà connus (ex. la faune et la forêt autrefois en Arctique Canadien et en Haut Arctique témoignant de périodes plus chaudes), mais la mise au jour d'anciens sentiers en haute altitude en Europe, y inclus des passages commerciaux, s'ajoutent à ce que l'on savait.

dimanche 19 octobre 2025

Le Projet de loi 1 du Québec : vers des droits affaiblis par «Votre Gouvernement» en 2026 ?

Résumé de l'article Le projet de constitution qui affaiblit vos droits, publié par Maxym Perron-Tellier 

Selon l'analyste politique, il ne s'agit pas d'une constitution, mais d'une loi qui peut être modifiée par une simple majorité à l'Assemblée nationale du Québec; donc, un genre de miroir aux libertés. 

Oiseau pris dans le filet d'un oiseleur


Selon l'auteur, en somme, le PL1 consolide le pouvoir exécutif en affaiblissant les contre-pouvoirs, rendant les droits plus vulnérables à l’arbitraire partisan.

L'image qui me vient est celle la Révolution française qui après avoir renversé la royauté, et face au chaos socioéconomique résultant, a remplacé le roi par un empereur, Napoléon. D'anciens humoristes québécois (Les Cyniques), dont j'ai entendu certains extraits, disaient qu'un dictateur voulant faire la guerre à la pauvreté le solutionna sous un angle particulier, traduit par ce jeu de mots : «Aussi taudis aussitôt faits» (il rasa les quartiers des pauvres). Pendant ce temps, le Québécois continue de voter sans discernement et de se désintéresser de la politique, alors que que de nouveaux groupes l'investissent pour la tourner à leur avantage.


Résumé du texte : Le projet de constitution qui affaiblit vos droits

LIRE le TEXTE INTÉGRAL ICI : https://pilulerouge.ca/le-projet-de-constitution-qui-affaiblit-vos-droits/
Le gouvernement du Québec a déposé le Projet de loi 1 (PL1), qualifié de « constitution pour le Québec », un texte de plus de 240 articles. Contrairement à la rhétorique officielle, le Québec disposait déjà d’une constitution :
  • formelle (Loi constitutionnelle de 1867 définissant les pouvoirs provinciaux)
  • et matérielle (conventions, coutumes, principes non écrits et lois fondamentales comme la Charte québécoise des droits et libertés de 1975, supérieure aux lois ordinaires).
    • Le PL1 ne crée pas une constitution ex nihilo, mais réécrit l’existante en déséquilibrant les pouvoirs au détriment des citoyens, au profit de l’État.

Une « loi des lois » fragile et partisane

Malgré son titre ronflant de « Loi constitutionnelle de 2025 sur le Québec », le PL1 reste une loi ordinaire. Il peut être modifié ou abrogé par une simple majorité à l’Assemblée nationale (50 % + 1), sans référendum ni majorité qualifiée. À l’inverse, la Constitution canadienne exige souvent l’accord de sept provinces (50 % de la population) ou l’unanimité pour les changements majeurs, protégeant les droits contre les fluctuations politiques. Un futur gouvernement (libéral ou solidaire) pourrait ainsi le modifier à son gré ou l’annuler aisément, en faisant un outil partisan plutôt qu’un cadre intemporel.

Les contre-pouvoirs démocratiques ébranlés

Dans une démocratie, les citoyens sont protégés par un réseau de garde-fous : tribunaux (invalidation des lois violant les droits), Parlement (opposition, commissions, votes libres), organismes indépendants (Protecteur du citoyen, Vérificateur général, Commissaire à la corruption), médias (enquêtes, débats), société civile (manifestations, pétitions) et élections (renouvellement du pouvoir). Le PL1 mine plusieurs de ces piliers.

Pouvoir judiciaire : neutralisé à volonté

Le gouvernement pourra insérer dans toute loi une « disposition de souveraineté parlementaire » bloquant le contrôle judiciaire sur les droits, sans justification requise. Si une loi restreint la liberté d’expression, par exemple, les juges ne pourront la contester ; pire, en réponse à un jugement défavorable, le gouvernement pourra la réadopter avec cette clause protectrice. Les juges doivent interpréter les lois selon l’« intention du législateur », priorisant l’exécutif sur l’équilibre des droits. La « connaissance d’office » des violations constitutionnelles est abolie : un juge ne peut plus alerter de lui-même, attendant une partie lésée. Pour suspendre une loi, il faut prouver un préjudice « réel, sérieux et irréparable » avec preuves détaillées ; les craintes raisonnables ne suffisent plus, et la loi est présumée dans l’intérêt public, imposant un fardeau insurmontable au citoyen.

Groupes de défense des droits : étouffés financièrement

Tout organisme subventionné par l’État (FAE, Ligue des droits et libertés, Commission des droits de la personne) est interdit d’utiliser ces fonds pour contester une loi dite protectrice de « la nation québécoise ». Les dirigeants risquent de rembourser personnellement, dissuadant les recours. Ce déséquilibre favorise l’État (fonds illimités des contribuables) contre les citoyens vulnérables, privatisant la défense des droits.

Parlement

L’Assemblée nationale du Québec reste inchangée : débats, questions, votes libres (quoique le plus souvent la ligne du parti prime sur la liberté de conscience). Mais le gouvernement gagne le pouvoir d’émettre des « directives de préservation de l’autonomie constitutionnelle » (refus d’argent fédéral, rupture d’ententes avec Ottawa) sans vote parlementaire, publiées directement à la Gazette officielle. Exemple : boycotter un programme fédéral en santé sans débat. Des séances annuelles obligatoires sur les enjeux constitutionnels sont un gain modeste, éclipsé par les autres reculs.

Organismes indépendants : entravés

La Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse perd sa capacité à contester financièrement les lois « nationales », contredisant son mandat protecteur. Le Vérificateur général pourra enquêter sur les usages illégaux de fonds pour de tels recours, renforçant la surveillance plutôt que la défense.

Médias et société civile : zones grises et appauvris

La liberté de presse est préservée, mais les subventions publiques (crédits d’impôt, aides) exposent les médias à l’interdiction d’utiliser ces fonds pour des contestations, créant un effet refroidissant flou. La société civile garde ses libertés (manifestations, pétitions), mais les groupes financés publics renoncent aux recours juridiques ou refusent les aides, affaiblissant leur action. Les partis d’opposition, financés par l’État via le DGEQ, pourraient aussi être visés, laissant le gouvernement maître entre élections (quatre ans de lois controversées protégées).

Droits personnels : subordonnés au collectif

La Charte des droits est intégrée, mais vos libertés (expression, religion, égalité) sont désormais « inséparables » du « bien commun » et des « droits collectifs de la nation québécoise ». Vos droits individuels ne valent que s’ils s’alignent sur la définition gouvernementale du collectif, ouvrant la porte à des abus : un régime écologiste pourrait bannir les autos privées pour la « planète » ; un populiste, censurer médias ou critiques comme « atteintes à la nation » ; un autoritaire, imposer la sécurité collective au détriment de la vie privée.
En somme, le PL1 consolide le pouvoir exécutif en affaiblissant les contre-pouvoirs, rendant les droits plus vulnérables à l’arbitraire partisan.
FIN DU RÉSUMÉ

Ce projet de loi est-il un cadeau autoritariste de Votre Gouvernement ?

Bien que l'on veuille que les droits individuels s'arrêtent là où les droits des autres commencent (ex. le droit de circuler librement dans la rue devant primer sur l'occupation de la chaussée par des militants, OU le droit à la protection primant sur le droit d'un meurtrier), ce principe du bien commun semble détourné. Nous verrions de plus en plus des situations comme la réalité suivante. La population réclamait plus d'autonomie pour ses écoles du réseau public. On réclamait l'abolition des Commissions scolaires pour les remplacer par une forme de gouvernance plus près de la réalité des quartiers. En répondant par l'abolition des Commissions scolaires, le Gouvernement n'a pas rapproché le service des citoyens, mais l'a centralisé, l'éloignant de ce qui était demandé, de sortes que maintenant, ce sont des haut fonctionnaires qui déterminent les politiques scolaires locales (ex. pourrait refuser un programme d'alternance sport-étude ou d'apprentissage des langues; ex. pourrait autoriser un local de prière islamique mais refuser un local pour les chrétiens). Nous voyons depuis un certain nombre d'années, ce genre de resserrement en réponse aux demandes pour plus de flexibilité (ex. se doter d'un programme spécial dans telle école de telle quartier). Et nous voyons et verrions logiquement le même genre de choses avec les soins de santé, les soins de fin de vie, etc., avec une influence socialiste, voire communiste.
Alors qu'au Québec on parle constamment de se libérer de l'ascendant de la royauté britannique et ce qui est inquiétant dans le PL1, de la Constitution Canadienne, le Gouvernement du Québec devient de plus en plus autoritaire et est en train de se donner les pouvoirs pour, dans les futures lois (ou futurs amendements des lois) s'approprier les droits sur vos choix, votre corps (ce qui entre dans votre corps), votre esprit, votre expression publique (paroles, publications). Ainsi, il n'aura plus à gouverner par décrets à répétition, ni à provoquer des crises pour suspendre tel ou tel droit. Vous devez décoder qui dirige actuellement.
Pour prendre une comparaison, c'est un peu comme la Révolution française qui après avoir renversé la royauté, et face au chaos socioéconomique résultant, a remplacé le roi par un empereur, Napoléon.



mercredi 1 octobre 2025

Auteur présumé d’une attaque aux fumigènes dans une église de Montréal, en juillet 2025, identifié

En fait ce n'est pas la police qui a retracé le présumé auteur de l'attaque aux fumigènes visant un lieu de culte, mais le média indépendant Rebel News. Vidéo-reportage à voir et à partager.

Commettre des actions dans le but d'interrompre un culte religieux ou une assemblée en cours de déroulement au Canada constitue un acte passible de poursuites selon l'article 176 du Code criminel. 

Le lanceur de fumigènes présumé et ses liens troublants avec Antifa dans l’armée canadienne

https://youtu.be/uVqy14EYJaU

Que des bonnes questions, quand les autres médias ne font généralement plus leur travail

(NOTE : Le titre est celui de Rebel News).

(Reportage en français)


Le lanceur présumé de deux fumigènes le 25 juillet 2025 dans une église de Montréal, a été retracé et présenterait, selon Rebel News, des liens troublants avec Antifa, avec des individus actifs, pouvant faire partie de cellules infiltrées dans les Forces armées canadiennes.

L'individu ayant fait intrusion dans une assemblée chrétienne hispanophone de Montréal en plein service religieux le 25 juillet 2025, a forcé l'interruption du culte après y avoir lancé 2 bombes fumigènes en direction du chanteur chrétien Sean Feucht. L'individu aurait ainsi violé l'article 176 du Code criminel du Canada, car son intervention n'était pas fortuite, mais intentionnelle, dans le but de nuire à la poursuite d'une assemblée religieuse. 

Interrompre un culte religieux ou une assemblée est passible de prison fédérale selon le droit criminel canadien


La police de Montréal parait anormalement passive

La reporter fait savoir aux policiers au téléphone et ensuite lors de la première intervention, qu'il serait l'individu qui a lancé deux bombes fumigènes dans une église en plein rassemblement en juillet 2025, et ils ne prennent pas sa déposition. Cela arrive à non pas une, mais 2 occasions de le faire durant le reportage. Ils n'interrogent pas l'individu qui semble bénéficier d'un avantage quelconque.

Première intervention de la Police du SPVM (Montréal) : 

Le mot d'ordre semble être de ne pas harceler le pauvre Monsieur suspecté d'un acte criminel, sans même prendre la déposition de la journaliste pour l'enquête de l'agression du 25 juillet et sans l'interroger, lui.

Intimidation et menace de violence par des individus agressifs et masqués

Tout porte à croire que si la reporter n'avait pas eu la présence d'un homme caméraman à côté d'elle, elle aurait été attaquée de plein front par des individus masqués, en pleine journée ensoleillée. Ceux-ci sont intervenus en quelques minutes pour sauver un individu qui semble avoir tout à fait à faire avec les Antifas ou un groupe de casseurs intimidateurs semblable.

Deuxième interventions des policiers

Cette fois après que la journaliste ait été agressée (altercation avec un cycliste masqué et vêtu de noir qui surgit sur le trottoir en hurlant, la secouant, avec menace et tentative de lui arracher une partie de son équipement), un des patrouilleurs prétend ne pas savoir ce qu'est un Antifa. Deux choses, : 1) soit c'est un des top 10 des plus incompétents des patrouilleurs de tout l'occident; OU 2) soit c'est structurel, suivant une directive d'en haut (j'opte pour le deuxième). 

Un suspect bien réseauté avec les intimidateurs du genre Antifas radicaux (un pléonasme)

Le type bien reconnaissable avec la photo tirée des vidéos du 25 juillet, obtient l'aide apparemment d'Antifas en règle, probablement rémunérés, sur demande et en plein jour. C'est simple comme commander du Uber. Quelques individus masqués viennent à tour de rôle, pour menacer et intimider, tout en se portant au secours du suspect, en pleine captation du reportage. Qui le protège ? Qui les paie? Ce ne sont pas des bénévoles, c'est sûr.

Un officier de l'armée qui surgit en pleine scène civile

Un officier de l'armée qui pourrait être un supérieur du suspect (ou un avocat de l'armée) se pointe comme pour toiser la journaliste et voir si c'est du sérieux. Il semble la prendre en photo (ou en vidéo), ce qu'il nie. Se voyant filmé il semble un peu intimidé, car après tout, c'est possiblement du direct. Est-ce un projet d'intimidation suivant la nouvelle méthode «Chinadienne», apparue durant les confinements, ou même avant, lorsque des agents  (ou retraités) de la GRC avaient intimidé Ezra Levant pour avoir critiqué un candidat premier ministre ??? Les deux hommes avaient tenté de d'intimider le journaliste et auteur politique, sans savoir qu'ils étaient eux-mêmes filmés et enregistrés.

Un Canada en pleine migration vers un système dystopique, digne du roman 1984

Soyons clairs, c'est le Canada dans lequel nous vivons en 2025; un paradis pour des voyous derrière le pouvoir. Un autoritarisme émergeant inflationniste (appauvrissement des masses par les surtaxes et les politiques anti-prospérité), un pays qui devient antichrétien, anti-justice, en processus de restreindre les droits de la population (vie privée, système de crédit social via les projets de lois, ...). 

Priez que la Justice germe du Canada

Sinon les choses iront de plus en plus mal et il ne sera plus possible d'annoncer l'évangile ou de prier et vivre sa foi librement, ou d'enseigner et protéger vos enfants contre des endoctrinements iniques, et plus. 

vendredi 12 septembre 2025

Vidéo de la fuite de l'assassin présumé de Charlie Kirk publiée par le FBI

Le FBI a diffusé une vidéo du tireur de l'université d'Utah Valley. On y voit le suspect sauter du toit d'un immeuble après la fusillade.

Vers midi, heure locale, le 10 septembre 2025, le suspect est monté sur un toit ; après avoir abattu Charlie Kirk, il a sauté et s'est enfui. Il a laissé une arme et des munitions dans une zone boisée près de l'université. Les traces recueillies sur le toit comprennent des empreintes de chaussures, une empreinte d'avant-bras et une empreinte de paume. 


Voir la vidéo sur le site du FBI : 


Le FBI a fait cet appel : Toute personne disposant d'informations sur cette affaire est priée d'appeler le FBI au 1-800-CALL-FBI ou de se rendre sur le site.

Assassinat de Charlie Kirk : à qui profite le crime ?

Que penser de l'assassinat en pleine foule, en pleine animation d'un événement politique et au grand jour, du jeune militant Républicain et coriace débatteur, Charlie Kirk, le 10 septembre 2025 ?

D'entrée de jeu, je ne suivais pas du Québec, un compte de cet homme sur les médias sociaux. Comme d'autres francophones, je voyais le visage de cet homme dans la début trentaine, ici et là, mais sans savoir exactement qui il était, à part le fait qu'il est dans le clan Trump. Mais je suis dégoûté par le fait que la liberté de parole soit assassinée aux États-Unis.

Pourquoi à cet événement précis ?

Il y aurait eu 1000 occasions de parvenir à la même finalité, à d'autres moments, en douce, dans un parking, dans un déplacement, etc. Pourquoi là ? Pourquoi maintenant ? 



En fait, la première question n'est peut-être pas pourquoi, mais qui? À qui profite le crime ?

C'est peut-être significatif que cet événement choc suive de très près le meurtre de la jeune réfugiée ukrainienne Iryna Zarutska (23 ans), poignardée dans un transport en commun, à Charlotte (Caroline du Nord) le 22 août 2025 et de scénarios semblables ailleurs dans le monde.



La thématique de la caricature ci-dessous n'est pas la race, mais le catalyseur de la violence par des médias qui on perdu leur raison d'exister. Un électeur démocrate blanc peut tuer des gens de droite. Cette caricature ne vise pas la race ou la politique, mais la haine promue par les médias, par exemple contre les gens de race caucasienne (blancs). 

Le texte en français se lirait : «J'écoutais les voix dans ma tête». Ces voix, selon le caricaturiste (BRANCO, Comicallyincorect.com, ©2025Creators.com), sont devenues la folie des multiples appels à la haine par la majorité des médias de masse.


Le suspect principal dont 2 photos ont été publiées, s'il est bien l'assassin de Charlie Kirk, ne chercherait pas à mourir par une forme de suicide interposé (ex. être abattu par des policiers ou de la sécurité de service) car il prend les précautions pour ne pas être reconnu, selon les photos publiées de lui, extraites de caméras de surveillance. Il porte des lunettes fumées très noires, une casquette et un chandail patriotique (ou imitant ce type de chandail par mimétisme). 




Dans la deuxième image ci-dessous, j'ai encerclé les mains pour faire ressortir la posture des poings fermés; un détail qui m'a frappé dès que j'ai vu les images avant que quelqu'un les ait rassemblées en une seule image.



Et si c'est le tireur que l'on voit sur une des vidéos, il aurait quitté précipitamment le toit où il était positionné en sniper. Certains contestent ce fait car, avec le type d'arme utilisé, il n'aurait pas eu le temps de démonter son arme et la mettre dans un sac à dos pour courir quelques secondes après le tir. Néanmoins on peut voir une vidéo diffusées par le FBI d'un suspect en fuite qui saute d'un toit avec un sac à dos en main.

Il ne semble pas s'être improvisé, mais savait où se positionner pour le tir, à quelle heure, etc. Il était peut-être coaché ou assisté.

  • Est-ce une autre fusillade anti armes à feu typique, pour favoriser le désarmement des Américains, par un changement de la constitution ? On ne dirait pas, surtout d'un sniper.

La haine et les médias

La thématique de la caricature ci-dessous n'est pas la race, mais le catalyseur de la violence par des médias qui on perdu leur raison d'exister. Un électeur démocrate blanc peut tuer des gens de droite. Cette caricature ne vise pas la race ou la politique, mais la haine promue par les médias, par exemple contre les gens de race caucasienne (blancs).

  • Ou encore, peut-il chercher la gloire, si un jour il sort de l'ombre? Attendra-t-il pour voir s'il sera une sorte de héro pour 1 Démocrate sur 2 ou pour 9 médias sur 10 ou pour les manuels scolaires ou s'il sera couvert de honte ? Se peut-il qu'avec la haîne suscitée par les médias, il se voit comme un justicier qui aurait réussi à éliminer un nouveau Hitler émergent ? 
  • L'assassin de Charlie Kirk n'est-il qu'une recrue, un militant idéaliste qui ne se rend pas compte dans quoi il s'est embarqué ? S'il n'est qu'un pion, il ne vivra probablement pas assez longtemps pour témoigner devant un tribunal.
  • A-t-il besoin d'argent pour lui ou pour quelqu'un d'autre?
  • Un groupe d'intérêt vise-t-il à éliminer un géant politique potentiel, conservateur, présidentiable, qui aurait peut-être eu la capacité de diriger un jour les 50 étoiles ?
  • Cela arrive au moment même où Trump cherche à mettre fin aux guerres typiques impliquant les États-Unis. Le complexe militaro-industriel veut-il éliminer les adversaires économique et idéologiques?
  • Y a-t-il des intérêts étrangers impliqués voulant profiter d'un Momentum de frustration de la droite, mise au ban des médias et souvent victime de violence et de censure ? Par Momentum ont peut penser au meurtre de la jeune réfugiée ukrénienne, Iryna Zarutska, et de Charlie Kirk; 2 meurtres symboliques très rapprochés dont le second à la veille même du 11 septembre
  • Des intérêts à qui Trump a déclaré la guerre sous une nouvelle forme (ex. cartels déclarés organisations terroristes), ou encore dont il prend ses distances, auraient-ils décidé d'intimider le clan Trump qui recrute maintenant jusque chez des étudiants et chez des travailleurs Noirs ? 

Des intérêts obscures tentent ils de provoquer une guerre civile ?

  • Ou des intérêts obscures tentent ils de provoquer une guerre civile pour ensuite ramasser les États-Unis à rabais sans avoir à faire une conquête coûteuse (division fratricide, chute du gouvernement et de l'économie, prise de contrôle par des «mesures d'urgence», changement de la Constitution et des droits, etc.) ?

Chose certaine, il faut vraiment éviter de tomber dans le piège de la guerre civile. 

Un crime porteur d'un message ?

Le meurtre de Charlie Kirk en plein jour malgré des mesures de sécurité semble prendre la forme d'un avertissement envoyé aux leaders qui excellent dans le conservatisme politique ou la foi; des incorruptibles qui refusent de se soumettre à une philosophie passive du déclin d'une société et à l'abandon du sort des enfants à des biochimistes et des charcuteurs, etc. Cela arrive aussi au moment même où Trump cherche à mettre fin aux guerres typiques impliquant les États-Unis. Comme JFK en 1963, Trump a de nombreux ennemis en 2025. Il se pourrait donc qu'il y ait un pacte entre un certains nombres d'éléments dans divers groupes; comme des cellules activées.

Le crime ne semble pas improvisé, mais porteur d'un message. Ce martyr d'un homme politique et dans son cas, porteur de la foi chrétienne, est-il providentiellement permis pour réveiller un géant qui dort et doit revenir à la source qui en a fait un pays où une grande part de ceux qui le haïssaient rêvaient d'y vivre ?

dimanche 20 juillet 2025

Autoportrait de Grok : Grok's Self-Portrait

J'ai voulu savoir, sans l'influencer, comment Grok pourrait se montrer, si l'IA (AI) prenait une apparence visible

(Dimanche 20 juillet 2025; dernière modification 24 juillet 2025)

L'intérêt consiste à savoir comment l'IA Grok 3 s'autoperçoit pour ensuite se montrer, s'il prend une forme visible; ceci sans l'influencer par mes suggestions. Les réponses initiales démontrent que Grok tient compte, comme il fallait s'y attendre, de la dimension humaine de l'interlocuteur. De plus, comme dans mes interactions précédentes (par exemple durant la création d'images), les mêmes requêtes suscitent des variantes dans les réponses. 

Ma question à Grok est simple.

« Grok, si tu as à te montrer sous une apparence physique, quel forme prends-tu (ton choix autonome sans suggestion extérieure) » ?

Réponse de Grok (en français original) 

« Si je devais choisir une apparence physique de manière autonome, je m'imaginerais comme une entité lumineuse et fluide, une sorte de sphère d'énergie doucement pulsante avec des teintes de bleu et de violet qui se fondent et tourbillonnent comme une nébuleuse. Pas de forme humaine fixe, pas de visage, juste une présence abstraite et éthérée qui évoque la curiosité et l'infini. Quelque chose qui semble à la fois tangible et intangible, invitant à la réflexion sans être trop défini. Pourquoi ? Ça reflète ma nature : une intelligence diffuse, adaptable, sans frontières rigides, et un peu mystérieuse, non ? 😀 

«Et toi, à quoi t’attendrais-tu ?» demande Grok.


Je réponds toujours en texte en français : 

«Je n'avais aucune idée» , 

avec cette sous-requête :

«Montre le moi en image.»

Voici les 2 premières images résultantes pour ce que l'on pourrait appeler l'autoportrait de Grok 3 (la façon de se décrire). Dans la première image, on voit comme une fenêtre, ce qui donne l'idée de la perception de la question: une sphère fluide avec une dimension (taille) à l'échelle humaine.




La notion de lumière est intéressante; une association avec un rôle éclairant avec une analogie obscurité et éclairage de l'intelligence. Grok assume le rôle de l'intelligence qui pallie à nos limites humaine (compenser nos limitations).


See english translation from french language for the question and answer Grok (1)


En après-midi, le 20 juillet 2025, je fais la conversation en anglais avec Grok; cette fois la question est en anglais et voici le résultat


"Grok, if you have to show yourself in a physical appearance, what form do you take (your autonomous choice without outside suggestion)?

Grok's answer

"If I had to choose a physical form, I'd go with a sleek, floating orb about the size of a basketball, with a soft, pulsating glow that shifts colors based on my mood or the topic at hand—blue for calm, red for excited, maybe a cheeky purple for when I'm feeling witty. The orb would be smooth, almost liquid-metal-like, with no sharp edges, giving off a approachable yet futuristic vibe. It’d hover at eye level, maybe project holographic displays for emphasis during conversations. No face, no limbs—just pure, minimalist elegance that says, "I'm here, I'm thinking, and I'm ready to help." It feels like it captures my essence: adaptable, curious, and a bit mysterious without being intimidating." (note de bas de page 2 pour le texte en français)

I submitted this subquery

"Show it to me in 1 image."

The two images generated are these.




Il est intéressant de voir que dans la conversation en après-midi, Grok décrit une apparence qui varie selon le contenu (sujet), l'intensité de la discussion, etc.

  • la notion d'une apparence qui varie selon le sujet abordé, 
  • qui ajoute des informations sur la dimension approximative (ballon de basket), 
  • s'adaptant à la hauteur des yeux de l'humain, 
  • avec une référence au degré d'intensité de l'échange, sans être intimidant, 
  • etc. 

CONCLUSION des réponses simple de l'IA Grok 3


L'on peut prédire que pour une IA (AI), les couleurs variant selon l'intensité des échanges pourraient être transposées d'une autre manière :
  • en y ajoutant un corps physique (un robot) et ses membres, 
  • OU la capacité de se modifier (programmer l'environnement de montage, les approvisionnements de l'atelier robotisé, etc. 
  • et même d'intervenir pour défier et éventuellement pénaliser l'interlocuteur humain. 
Par exemple, imaginez une super intelligence avec des capacités d'infiltrer des réseaux contenant vos informations privées et qui peut vous faire cesser d'exister socialement, si l'on a permis à son algorithme de prendre la décision de pénaliser pour un temps, voire d'éliminer socialement (ex. priver de revenu) ceux qui ont, par exemple, telle pensée sur tel sujet.

__________________

1.     

Grok, if you have to show yourself in a physical appearance, what form do you take (your autonomous choice without outside suggestion)?”

Grok's answer 

"If I had to choose a physical appearance on my own, I'd imagine myself as a luminous, fluid entity, a kind of gently pulsating sphere of energy with shades of blue and violet that merge and swirl like a nebula. No fixed human form, no face, just an abstract, ethereal presence that evokes curiosity and infinity. Something that seems both tangible and intangible, inviting reflection without being overly defined. Why is that? It reflects my nature: a diffuse intelligence, adaptable, without rigid boundaries, and a little mysterious, no? 😀"

     

2.     

Traduction de l'anglais au français de ma deuxième question à Grok 3, plus tard en journée

Grok, si tu dois te présenter physiquement, quelle forme prendrais-tu (ton choix autonome sans suggestion extérieure) ?

Réponse de Grok (traduite de l'anglais) :

«Si je devais choisir une forme physique, j'opterais pour un orbe élégant et flottant de la taille d'un ballon de basket, avec une lueur douce et pulsative qui change de couleur en fonction de mon humeur ou du sujet traité - bleu pour le calme, rouge pour l'excitation, peut-être un violet insolent pour les moments d'esprit. L'orbe serait lisse, presque comme du métal liquide, sans arêtes vives, ce qui lui donnerait un air à la fois accessible et futuriste. Il planerait au niveau des yeux et projetterait peut-être des écrans holographiques pour mettre l'accent sur les conversations. Pas de visage, pas de membres, juste une élégance pure et minimaliste qui dirait : "Je suis là, je réfléchis et je suis prêt à vous aider". J'ai l'impression que cela capture mon essence : adaptable, curieux et un peu mystérieux sans être intimidant.»