dimanche 19 octobre 2025

Le Projet de loi 1 du Québec : vers des droits affaiblis par «Votre Gouvernement» en 2026 ?

À mon avis, ce serait une gouvernance comme en perpétuelle crise des contestations et des décrets. La crise est créée pour justifier le durcissement de l'État. C'est ce que je conclus, suivant la lecture du texte  Le projet de constitution qui affaiblit vos droits, publié par Maxym Perron-Tellier sur PILULEROUGE.CA. 

Selon l'analyste politique, il ne s'agit pas d'une constitution, mais d'une loi qui peut être modifiée par une simple majorité à l'Assemblée nationale du Québec; donc, un genre de miroir aux libertés. 

Oiseau pris dans le filet d'un oiseleur


Résumé du texte : Le projet de constitution qui affaiblit vos droits

LIRE le TEXTE INTÉGRAL ICI : https://pilulerouge.ca/le-projet-de-constitution-qui-affaiblit-vos-droits/
Le gouvernement Legault a déposé le Projet de loi 1 (PL1), qualifié de « constitution pour le Québec », un texte de plus de 240 articles. Contrairement à la rhétorique officielle, le Québec disposait déjà d’une constitution :
  • formelle (Loi constitutionnelle de 1867 définissant les pouvoirs provinciaux)
  • et matérielle (conventions, coutumes, principes non écrits et lois fondamentales comme la Charte québécoise des droits et libertés de 1975, supérieure aux lois ordinaires). Le PL1 ne crée pas une constitution ex nihilo, mais réécrit l’existante en déséquilibrant les pouvoirs au détriment des citoyens, au profit de l’État.

Une « loi des lois » fragile et partisane

Malgré son titre ronflant de « Loi constitutionnelle de 2025 sur le Québec », le PL1 reste une loi ordinaire. Il peut être modifié ou abrogé par une simple majorité à l’Assemblée nationale (50 % + 1), sans référendum ni majorité qualifiée. À l’inverse, la Constitution canadienne exige souvent l’accord de sept provinces (50 % de la population) ou l’unanimité pour les changements majeurs, protégeant les droits contre les fluctuations politiques. Un futur gouvernement (libéral ou solidaire) pourrait ainsi l’annuler aisément, en faisant un outil partisan plutôt qu’un cadre intemporel.Les contre-pouvoirs démocratiques ébranlésDans une démocratie, les citoyens sont protégés par un réseau de garde-fous : tribunaux (invalidation des lois violant les droits), Parlement (opposition, commissions, votes libres), organismes indépendants (Protecteur du citoyen, Vérificateur général, Commissaire à la corruption), médias (enquêtes, débats), société civile (manifestations, pétitions) et élections (renouvellement du pouvoir). Le PL1 mine plusieurs de ces piliers.Pouvoir judiciaire : neutralisé à volontéLe gouvernement pourra insérer dans toute loi une « disposition de souveraineté parlementaire » bloquant le contrôle judiciaire sur les droits, sans justification requise. Si une loi restreint la liberté d’expression, par exemple, les juges ne pourront la contester ; pire, en réponse à un jugement défavorable, le gouvernement pourra la réadopter avec cette clause protectrice. Les juges doivent interpréter les lois selon l’« intention du législateur », priorisant l’exécutif sur l’équilibre des droits. La « connaissance d’office » des violations constitutionnelles est abolie : un juge ne peut plus alerter de lui-même, attendant une partie lésée. Pour suspendre une loi, il faut prouver un préjudice « réel, sérieux et irréparable » avec preuves détaillées ; les craintes raisonnables suffisent plus, et la loi est présumée dans l’intérêt public, imposant un fardeau insurmontable au citoyen.Groupes de défense des droits : étouffés financièrementTout organisme subventionné par l’État (FAE, Ligue des droits et libertés, Commission des droits de la personne) est interdit d’utiliser ces fonds pour contester une loi dite protectrice de « la nation québécoise ». Les dirigeants risquent de rembourser personnellement, dissuadant les recours. Ce déséquilibre favorise l’État (fonds illimités des contribuables) contre les citoyens vulnérables, privatisant la défense des droits.ParlementL’Assemblée nationale du Québec reste inchangée : débats, questions, votes libres (quoique le plus souvent la ligne du parti prime sur la liberté de conscience). Mais le gouvernement gagne le pouvoir d’émettre des « directives de préservation de l’autonomie constitutionnelle » (refus d’argent fédéral, rupture d’ententes avec Ottawa) sans vote parlementaire, publiées directement à la Gazette officielle. Exemple : boycotter un programme fédéral en santé sans débat. Des séances annuelles obligatoires sur les enjeux constitutionnels sont un gain modeste, éclipsé par les autres reculs.Organismes indépendants : entravésLa Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse perd sa capacité à contester financièrement les lois « nationales », contredisant son mandat protecteur. Le Vérificateur général pourra enquêter sur les usages illégaux de fonds pour de tels recours, renforçant la surveillance plutôt que la défense.Médias et société civile : zones grises et appauvrisLa liberté de presse est préservée, mais les subventions publiques (crédits d’impôt, aides) exposent les médias à l’interdiction d’utiliser ces fonds pour des contestations, créant un effet refroidissant flou. La société civile garde ses libertés (manifestations, pétitions), mais les groupes financés publics renoncent aux recours juridiques ou refusent les aides, affaiblissant leur action. Les partis d’opposition, financés par l’État via le DGEQ, pourraient aussi être visés, laissant le gouvernement maître entre élections (quatre ans de lois controversées protégées).Droits personnels : subordonnés au collectifLa Charte des droits est intégrée, mais vos libertés (expression, religion, égalité) sont désormais « inséparables » du « bien commun » et des « droits collectifs de la nation québécoise ». Vos droits individuels ne valent que s’ils s’alignent sur la définition gouvernementale du collectif, ouvrant la porte à des abus : un régime écologiste pourrait bannir les autos privées pour la « planète » ; un populiste, censurer médias ou critiques comme « atteints à la nation » ; un autoritaire, imposer la sécurité collective au détriment de la vie privée.
En somme, le PL1 consolide le pouvoir exécutif en affaiblissant les contre-pouvoirs, rendant les droits plus vulnérables à l’arbitraire partisan.
FIN DU RÉSUMÉ


mercredi 1 octobre 2025

Auteur présumé d’une attaque aux fumigènes dans une église de Montréal, en juillet 2025, identifié

En fait ce n'est pas la police qui a retracé le présumé auteur de l'attaque aux fumigènes visant un lieu de culte, mais le média indépendant Rebel News. Vidéo-reportage à voir et à partager.

Commettre des actions dans le but d'interrompre un culte religieux ou une assemblée en cours de déroulement au Canada constitue un acte passible de poursuites selon l'article 176 du Code criminel. 

Le lanceur de fumigènes présumé et ses liens troublants avec Antifa dans l’armée canadienne

https://youtu.be/uVqy14EYJaU

Que des bonnes questions, quand les autres médias ne font généralement plus leur travail

(NOTE : Le titre est celui de Rebel News).

(Reportage en français)


Le lanceur présumé de deux fumigènes le 25 juillet 2025 dans une église de Montréal, a été retracé et présenterait, selon Rebel News, des liens troublants avec Antifa, avec des individus actifs, pouvant faire partie de cellules infiltrées dans les Forces armées canadiennes.

L'individu ayant fait intrusion dans une assemblée chrétienne hispanophone de Montréal en plein service religieux le 25 juillet 2025, a forcé l'interruption du culte après y avoir lancé 2 bombes fumigènes en direction du chanteur chrétien Sean Feucht. L'individu aurait ainsi violé l'article 176 du Code criminel du Canada, car son intervention n'était pas fortuite, mais intentionnelle, dans le but de nuire à la poursuite d'une assemblée religieuse. 

Interrompre un culte religieux ou une assemblée est passible de prison fédérale selon le droit criminel canadien


La police de Montréal parait anormalement passive

La reporter fait savoir aux policiers au téléphone et ensuite lors de la première intervention, qu'il serait l'individu qui a lancé deux bombes fumigènes dans une église en plein rassemblement en juillet 2025, et ils ne prennent pas sa déposition. Cela arrive à non pas une, mais 2 occasions de le faire durant le reportage. Ils n'interrogent pas l'individu qui semble bénéficier d'un avantage quelconque.

Première intervention de la Police du SPVM (Montréal) : 

Le mot d'ordre semble être de ne pas harceler le pauvre Monsieur suspecté d'un acte criminel, sans même prendre la déposition de la journaliste pour l'enquête de l'agression du 25 juillet et sans l'interroger, lui.

Intimidation et menace de violence par des individus agressifs et masqués

Tout porte à croire que si la reporter n'avait pas eu la présence d'un homme caméraman à côté d'elle, elle aurait été attaquée de plein front par des individus masqués, en pleine journée ensoleillée. Ceux-ci sont intervenus en quelques minutes pour sauver un individu qui semble avoir tout à fait à faire avec les Antifas ou un groupe de casseurs intimidateurs semblable.

Deuxième interventions des policiers

Cette fois après que la journaliste ait été agressée (altercation avec un cycliste masqué et vêtu de noir qui surgit sur le trottoir en hurlant, la secouant, avec menace et tentative de lui arracher une partie de son équipement), un des patrouilleurs prétend ne pas savoir ce qu'est un Antifa. Deux choses, : 1) soit c'est un des top 10 des plus incompétents des patrouilleurs de tout l'occident; OU 2) soit c'est structurel, suivant une directive d'en haut (j'opte pour le deuxième). 

Un suspect bien réseauté avec les intimidateurs du genre Antifas radicaux (un pléonasme)

Le type bien reconnaissable avec la photo tirée des vidéos du 25 juillet, obtient l'aide apparemment d'Antifas en règle, probablement rémunérés, sur demande et en plein jour. C'est simple comme commander du Uber. Quelques individus masqués viennent à tour de rôle, pour menacer et intimider, tout en se portant au secours du suspect, en pleine captation du reportage. Qui le protège ? Qui les paie? Ce ne sont pas des bénévoles, c'est sûr.

Un officier de l'armée qui surgit en pleine scène civile

Un officier de l'armée qui pourrait être un supérieur du suspect (ou un avocat de l'armée) se pointe comme pour toiser la journaliste et voir si c'est du sérieux. Il semble la prendre en photo (ou en vidéo), ce qu'il nie. Se voyant filmé il semble un peu intimidé, car après tout, c'est possiblement du direct. Est-ce un projet d'intimidation suivant la nouvelle méthode «Chinadienne», apparue durant les confinements, ou même avant, lorsque des agents  (ou retraités) de la GRC avaient intimidé Ezra Levant pour avoir critiqué un candidat premier ministre ??? Les deux hommes avaient tenté de d'intimider le journaliste et auteur politique, sans savoir qu'ils étaient eux-mêmes filmés et enregistrés.

Un Canada en pleine migration vers un système dystopique, digne du roman 1984

Soyons clairs, c'est le Canada dans lequel nous vivons en 2025; un paradis pour des voyous derrière le pouvoir. Un autoritarisme émergeant inflationniste (appauvrissement des masses par les surtaxes et les politiques anti-prospérité), un pays qui devient antichrétien, anti-justice, en processus de restreindre les droits de la population (vie privée, système de crédit social via les projets de lois, ...). 

Priez que la Justice germe du Canada

Sinon les choses iront de plus en plus mal et il ne sera plus possible d'annoncer l'évangile ou de prier et vivre sa foi librement, ou d'enseigner et protéger vos enfants contre des endoctrinements iniques, et plus. 

vendredi 12 septembre 2025

Vidéo de la fuite de l'assassin présumé de Charlie Kirk publiée par le FBI

Le FBI a diffusé une vidéo du tireur de l'université d'Utah Valley. On y voit le suspect sauter du toit d'un immeuble après la fusillade.

Vers midi, heure locale, le 10 septembre 2025, le suspect est monté sur un toit ; après avoir abattu Charlie Kirk, il a sauté et s'est enfui. Il a laissé une arme et des munitions dans une zone boisée près de l'université. Les traces recueillies sur le toit comprennent des empreintes de chaussures, une empreinte d'avant-bras et une empreinte de paume. 


Voir la vidéo sur le site du FBI : 


Le FBI a fait cet appel : Toute personne disposant d'informations sur cette affaire est priée d'appeler le FBI au 1-800-CALL-FBI ou de se rendre sur le site.

Assassinat de Charlie Kirk : à qui profite le crime ?

Que penser de l'assassinat en pleine foule, en pleine animation d'un événement politique et au grand jour, du jeune militant Républicain et coriace débatteur, Charlie Kirk, le 10 septembre 2025 ?

D'entrée de jeu, je ne suivais pas du Québec, un compte de cet homme sur les médias sociaux. Comme d'autres francophones, je voyais le visage de cet homme dans la début trentaine, ici et là, mais sans savoir exactement qui il était, à part le fait qu'il est dans le clan Trump. Mais je suis dégoûté par le fait que la liberté de parole soit assassinée aux États-Unis.

Pourquoi à cet événement précis ?

Il y aurait eu 1000 occasions de parvenir à la même finalité, à d'autres moments, en douce, dans un parking, dans un déplacement, etc. Pourquoi là ? Pourquoi maintenant ? 



En fait, la première question n'est peut-être pas pourquoi, mais qui? À qui profite le crime ?

C'est peut-être significatif que cet événement choc suive de très près le meurtre de la jeune réfugiée ukrainienne Iryna Zarutska (23 ans), poignardée dans un transport en commun, à Charlotte (Caroline du Nord) le 22 août 2025 et de scénarios semblables ailleurs dans le monde.



La thématique de la caricature ci-dessous n'est pas la race, mais le catalyseur de la violence par des médias qui on perdu leur raison d'exister. Un électeur démocrate blanc peut tuer des gens de droite. Cette caricature ne vise pas la race ou la politique, mais la haine promue par les médias, par exemple contre les gens de race caucasienne (blancs). 

Le texte en français se lirait : «J'écoutais les voix dans ma tête». Ces voix, selon le caricaturiste (BRANCO, Comicallyincorect.com, ©2025Creators.com), sont devenues la folie des multiples appels à la haine par la majorité des médias de masse.


Le suspect principal dont 2 photos ont été publiées, s'il est bien l'assassin de Charlie Kirk, ne chercherait pas à mourir par une forme de suicide interposé (ex. être abattu par des policiers ou de la sécurité de service) car il prend les précautions pour ne pas être reconnu, selon les photos publiées de lui, extraites de caméras de surveillance. Il porte des lunettes fumées très noires, une casquette et un chandail patriotique (ou imitant ce type de chandail par mimétisme). 




Dans la deuxième image ci-dessous, j'ai encerclé les mains pour faire ressortir la posture des poings fermés; un détail qui m'a frappé dès que j'ai vu les images avant que quelqu'un les ait rassemblées en une seule image.



Et si c'est le tireur que l'on voit sur une des vidéos, il aurait quitté précipitamment le toit où il était positionné en sniper. Certains contestent ce fait car, avec le type d'arme utilisé, il n'aurait pas eu le temps de démonter son arme et la mettre dans un sac à dos pour courir quelques secondes après le tir. Néanmoins on peut voir une vidéo diffusées par le FBI d'un suspect en fuite qui saute d'un toit avec un sac à dos en main.

Il ne semble pas s'être improvisé, mais savait où se positionner pour le tir, à quelle heure, etc. Il était peut-être coaché ou assisté.

  • Est-ce une autre fusillade anti armes à feu typique, pour favoriser le désarmement des Américains, par un changement de la constitution ? On ne dirait pas, surtout d'un sniper.

La haine et les médias

La thématique de la caricature ci-dessous n'est pas la race, mais le catalyseur de la violence par des médias qui on perdu leur raison d'exister. Un électeur démocrate blanc peut tuer des gens de droite. Cette caricature ne vise pas la race ou la politique, mais la haine promue par les médias, par exemple contre les gens de race caucasienne (blancs).

  • Ou encore, peut-il chercher la gloire, si un jour il sort de l'ombre? Attendra-t-il pour voir s'il sera une sorte de héro pour 1 Démocrate sur 2 ou pour 9 médias sur 10 ou pour les manuels scolaires ou s'il sera couvert de honte ? Se peut-il qu'avec la haîne suscitée par les médias, il se voit comme un justicier qui aurait réussi à éliminer un nouveau Hitler émergent ? 
  • L'assassin de Charlie Kirk n'est-il qu'une recrue, un militant idéaliste qui ne se rend pas compte dans quoi il s'est embarqué ? S'il n'est qu'un pion, il ne vivra probablement pas assez longtemps pour témoigner devant un tribunal.
  • A-t-il besoin d'argent pour lui ou pour quelqu'un d'autre?
  • Un groupe d'intérêt vise-t-il à éliminer un géant politique potentiel, conservateur, présidentiable, qui aurait peut-être eu la capacité de diriger un jour les 50 étoiles ?
  • Cela arrive au moment même où Trump cherche à mettre fin aux guerres typiques impliquant les États-Unis. Le complexe militaro-industriel veut-il éliminer les adversaires économique et idéologiques?
  • Y a-t-il des intérêts étrangers impliqués voulant profiter d'un Momentum de frustration de la droite, mise au ban des médias et souvent victime de violence et de censure ? Par Momentum ont peut penser au meurtre de la jeune réfugiée ukrénienne, Iryna Zarutska, et de Charlie Kirk; 2 meurtres symboliques très rapprochés dont le second à la veille même du 11 septembre
  • Des intérêts à qui Trump a déclaré la guerre sous une nouvelle forme (ex. cartels déclarés organisations terroristes), ou encore dont il prend ses distances, auraient-ils décidé d'intimider le clan Trump qui recrute maintenant jusque chez des étudiants et chez des travailleurs Noirs ? 

Des intérêts obscures tentent ils de provoquer une guerre civile ?

  • Ou des intérêts obscures tentent ils de provoquer une guerre civile pour ensuite ramasser les États-Unis à rabais sans avoir à faire une conquête coûteuse (division fratricide, chute du gouvernement et de l'économie, prise de contrôle par des «mesures d'urgence», changement de la Constitution et des droits, etc.) ?

Chose certaine, il faut vraiment éviter de tomber dans le piège de la guerre civile. 

Un crime porteur d'un message ?

Le meurtre de Charlie Kirk en plein jour malgré des mesures de sécurité semble prendre la forme d'un avertissement envoyé aux leaders qui excellent dans le conservatisme politique ou la foi; des incorruptibles qui refusent de se soumettre à une philosophie passive du déclin d'une société et à l'abandon du sort des enfants à des biochimistes et des charcuteurs, etc. Cela arrive aussi au moment même où Trump cherche à mettre fin aux guerres typiques impliquant les États-Unis. Comme JFK en 1963, Trump a de nombreux ennemis en 2025. Il se pourrait donc qu'il y ait un pacte entre un certains nombres d'éléments dans divers groupes; comme des cellules activées.

Le crime ne semble pas improvisé, mais porteur d'un message. Ce martyr d'un homme politique et dans son cas, porteur de la foi chrétienne, est-il providentiellement permis pour réveiller un géant qui dort et doit revenir à la source qui en a fait un pays où une grande part de ceux qui le haïssaient rêvaient d'y vivre ?

dimanche 20 juillet 2025

Autoportrait de Grok : Grok's Self-Portrait

J'ai voulu savoir, sans l'influencer, comment Grok pourrait se montrer, si l'IA (AI) prenait une apparence visible

(Dimanche 20 juillet 2025; dernière modification 24 juillet 2025)

L'intérêt consiste à savoir comment l'IA Grok 3 s'autoperçoit pour ensuite se montrer, s'il prend une forme visible; ceci sans l'influencer par mes suggestions. Les réponses initiales démontrent que Grok tient compte, comme il fallait s'y attendre, de la dimension humaine de l'interlocuteur. De plus, comme dans mes interactions précédentes (par exemple durant la création d'images), les mêmes requêtes suscitent des variantes dans les réponses. 

Ma question à Grok est simple.

« Grok, si tu as à te montrer sous une apparence physique, quel forme prends-tu (ton choix autonome sans suggestion extérieure) » ?

Réponse de Grok (en français original) 

« Si je devais choisir une apparence physique de manière autonome, je m'imaginerais comme une entité lumineuse et fluide, une sorte de sphère d'énergie doucement pulsante avec des teintes de bleu et de violet qui se fondent et tourbillonnent comme une nébuleuse. Pas de forme humaine fixe, pas de visage, juste une présence abstraite et éthérée qui évoque la curiosité et l'infini. Quelque chose qui semble à la fois tangible et intangible, invitant à la réflexion sans être trop défini. Pourquoi ? Ça reflète ma nature : une intelligence diffuse, adaptable, sans frontières rigides, et un peu mystérieuse, non ? 😀 

«Et toi, à quoi t’attendrais-tu ?» demande Grok.


Je réponds toujours en texte en français : 

«Je n'avais aucune idée» , 

avec cette sous-requête :

«Montre le moi en image.»

Voici les 2 premières images résultantes pour ce que l'on pourrait appeler l'autoportrait de Grok 3 (la façon de se décrire). Dans la première image, on voit comme une fenêtre, ce qui donne l'idée de la perception de la question: une sphère fluide avec une dimension (taille) à l'échelle humaine.




La notion de lumière est intéressante; une association avec un rôle éclairant avec une analogie obscurité et éclairage de l'intelligence. Grok assume le rôle de l'intelligence qui pallie à nos limites humaine (compenser nos limitations).


See english translation from french language for the question and answer Grok (1)


En après-midi, le 20 juillet 2025, je fais la conversation en anglais avec Grok; cette fois la question est en anglais et voici le résultat


"Grok, if you have to show yourself in a physical appearance, what form do you take (your autonomous choice without outside suggestion)?

Grok's answer

"If I had to choose a physical form, I'd go with a sleek, floating orb about the size of a basketball, with a soft, pulsating glow that shifts colors based on my mood or the topic at hand—blue for calm, red for excited, maybe a cheeky purple for when I'm feeling witty. The orb would be smooth, almost liquid-metal-like, with no sharp edges, giving off a approachable yet futuristic vibe. It’d hover at eye level, maybe project holographic displays for emphasis during conversations. No face, no limbs—just pure, minimalist elegance that says, "I'm here, I'm thinking, and I'm ready to help." It feels like it captures my essence: adaptable, curious, and a bit mysterious without being intimidating." (note de bas de page 2 pour le texte en français)

I submitted this subquery

"Show it to me in 1 image."

The two images generated are these.




Il est intéressant de voir que dans la conversation en après-midi, Grok décrit une apparence qui varie selon le contenu (sujet), l'intensité de la discussion, etc.

  • la notion d'une apparence qui varie selon le sujet abordé, 
  • qui ajoute des informations sur la dimension approximative (ballon de basket), 
  • s'adaptant à la hauteur des yeux de l'humain, 
  • avec une référence au degré d'intensité de l'échange, sans être intimidant, 
  • etc. 

CONCLUSION des réponses simple de l'IA Grok 3


L'on peut prédire que pour une IA (AI), les couleurs variant selon l'intensité des échanges pourraient être transposées d'une autre manière :
  • en y ajoutant un corps physique (un robot) et ses membres, 
  • OU la capacité de se modifier (programmer l'environnement de montage, les approvisionnements de l'atelier robotisé, etc. 
  • et même d'intervenir pour défier et éventuellement pénaliser l'interlocuteur humain. 
Par exemple, imaginez une super intelligence avec des capacités d'infiltrer des réseaux contenant vos informations privées et qui peut vous faire cesser d'exister socialement, si l'on a permis à son algorithme de prendre la décision de pénaliser pour un temps, voire d'éliminer socialement (ex. priver de revenu) ceux qui ont, par exemple, telle pensée sur tel sujet.

__________________

1.     

Grok, if you have to show yourself in a physical appearance, what form do you take (your autonomous choice without outside suggestion)?”

Grok's answer 

"If I had to choose a physical appearance on my own, I'd imagine myself as a luminous, fluid entity, a kind of gently pulsating sphere of energy with shades of blue and violet that merge and swirl like a nebula. No fixed human form, no face, just an abstract, ethereal presence that evokes curiosity and infinity. Something that seems both tangible and intangible, inviting reflection without being overly defined. Why is that? It reflects my nature: a diffuse intelligence, adaptable, without rigid boundaries, and a little mysterious, no? 😀"

     

2.     

Traduction de l'anglais au français de ma deuxième question à Grok 3, plus tard en journée

Grok, si tu dois te présenter physiquement, quelle forme prendrais-tu (ton choix autonome sans suggestion extérieure) ?

Réponse de Grok (traduite de l'anglais) :

«Si je devais choisir une forme physique, j'opterais pour un orbe élégant et flottant de la taille d'un ballon de basket, avec une lueur douce et pulsative qui change de couleur en fonction de mon humeur ou du sujet traité - bleu pour le calme, rouge pour l'excitation, peut-être un violet insolent pour les moments d'esprit. L'orbe serait lisse, presque comme du métal liquide, sans arêtes vives, ce qui lui donnerait un air à la fois accessible et futuriste. Il planerait au niveau des yeux et projetterait peut-être des écrans holographiques pour mettre l'accent sur les conversations. Pas de visage, pas de membres, juste une élégance pure et minimaliste qui dirait : "Je suis là, je réfléchis et je suis prêt à vous aider". J'ai l'impression que cela capture mon essence : adaptable, curieux et un peu mystérieux sans être intimidant.»

samedi 28 juin 2025

Documentaire "Slave Princess" (Princesse esclave) : la cage des voleurs d'âmes du showbiz

Des ravisseurs d'âmes du mileu du showbiz utilisent la faiblesse d'un parent ou des manipulations pour capturer et exploiter certaines victimes attrayantes ou prometteuses ou ultra-payantes comme Britney Spears, Lindsay Lohan, et plusieurs autres ... Slave Princess est un documentaire de Liz Crokin, journaliste indépendante, ex-journaliste des médias de masse initiée de l'industrie du divertissement. Pour employer une métaphore, dans le terrier du lapin, les merveilles d'Alice (1) sont en fait un cauchemar. Pour le public qui n'en connaît pas les pièges, cette condition illusoire exhale comme le parfum envoûtant d'une vie de rêve. Pour les victimes, c'est une cage dans un monde maléfique.

(article entièrement refondu le 1er juillet 2025)

Graphisme de l'intro du documentaire Princess Slave

Liz Crokin, journaliste et productrice




Le documentaire Slave Princess sous une production Awakened Pictures est sur Rumble avec sous-titres en français offerts,  ou peut-être visionné à partir du média ci-dessous (qui lit en stream la vidéo Rumble). Il expose l'exploitation principalement des jeunes femmes dans l'industrie du showbiz américaine (chanteuses, actrices, détentrices de droits). N'hésitez pas à supporter financièrement le film ici : https://slaveprincess.com/donate

S'il est normal d'être sceptique et prudent, la servitude est démontrée par des témoignages et faits nombreux. Dans certains cas, c'est au minimum la fraude et le détournement d'argent qui constitue le motif du crime, mais cela va jusqu'au travail forcé, sans qualité de vie et sans réelles amitiés; rude condition qui mène à une vie déréglée. Par exemple, 

  • Britney Spears est un des cas les mieux documentés. Elle a témoigné devant un tribunal, qu'on la forçait à travailler 7 jours sur 7, contre sa volonté. Selon une fuite wikileaks, son équipe ne voulait pas qu'elle arrête. On disait qu'elle était trop payante. Quand ses fans ont commencé à s'éveiller, l'argent de Britney a été utilisé pour des campagnes pour attaquer la crédibilité de ceux-ci; des campagnes de communications étant payées par  la fiducie de Britney, à son insu, pour s'en prendre à ses fans. Bref, on utilise son argent contre elle-même. 
  • Le pềre de Lindsay Lohan témoigne que l'industrie a tenté, en passant par la mère, de mettre sa fille sous une curatelle (tutelle), comme Britney Spears, alors que même en cure ouverte, elle était apte à s'occuper d'elle-même.
  • Courtney Love, la veuve et héritière des droits de l'image et du catalogue musical de Kurt Cobain, a vécu une tentative de mise sous une certaine curatelle, un peu à la manière de Britney Spears, ce qui l'aurait dépossédée de ses droits de gestion reçus par héritage: «[...] an attempt to control Kurt's name and likeness and all Nirvana songs» (Courtney Love sur son compte Instagramm). 
  • Bella Thorne, chez Disney, abusée physiquement entre l'âge de 6 et 14 ans.
  • Et d'autres victimes féminines alléguées comme Christina Aguilera et Mena Suvari.
  • Paris Hilton déclare avoir été privée de ses droits et abusée, comme d'autres, sur une base quotidienne, à la Provo Canyon School, au long passé d'abus.
  • La chanteuse Kaya Jones dénonce que l'environnement des Pussycat Girls était un cercle de prostitution.
  • et d'autres
Lorsque les familles sont désorganisées, les plus jeunes victimes peuvent aussi être facilement  exploitables ou exploités sexuellement. Le nombre des exemples documentés finit par nous éveiller au fait que si l'abus financier ou l'atteinte à la liberté ne sont pas systématiques (pas toujours présent), c'est cependant systémique, par aveuglement volontaire (cela fait partie d'un système à divers niveaux sociétaux avec un code du silence). Bien peu osent dénoncer et il est difficile pour les victimes de résister aux abus, une fois prises dans les mailles des filets contractuels, ou encore lorsque mises sous médication et curatelle abusives. 

Image générée par intelligence artificielle (Gilles B. 1er Juillet 2025)


Il y a évidemment des cas chez les hommes, chez des groupes musicaux et dans le monde glamour aussi 

  • ex. la valeur  post mortem de l'oeuvre de Prince volontairement diminuée dans les livres de la moitié de sa valeur, afin d'en détourner plus de 80 millions US de la succession de l'artiste (Prince estate : IRS). 
  • Ou inversement, faire la promotion de la surévaluation d'une compagnie de cosmétiques appartenant à la jeune Kylie Jenner (King Kylie Holdings) pour vendre des actions à un prix hautement exagéré. En 2015, la compagnie valant plus de 100 Millions US passait subitement, comme par magie, à plus d'un milliard de dollars dans le calcul de la valeur de l'entreprise. Les médias, incluant le prestigieux Forbes Magazine, annonçaient que Kylie Jenner devenait la plus jeune entrepreneure devenant milliardaire par sa gestion personnelle (selfmade billionnaire). Résultat : une transaction inhabituelle en argent comptant (cash) de 600 Millions US. Il s'en suivit une correction de valeur de la bulle. Les pertes de centaines de millions ont été assumées par des actionnaires trompéstandis que le magot suivait son chemin vers l'entreprise où travaillait l'agente.
  • Kanye West a côtoyé la même gérance que Britney Spears et Lindsay Lohan. Même scénario que Britney, il a  aussi été mis sous curatelle et privé de son droit de gestion et de garde en 2016. Cela pourrait révéler, selon la journaliste, un schéma de fonctionnement répétitif pour ces artistes qui valaient une fortune et à qui l'on a affecté les mêmes gérants. C'est du dur. Le même schéma opératoire semble se répéter pour prendre le contrôle de l'argent des stars payantes ou pour les priver de leurs droits. 
    • Comment ne pas y perdre son équilibre ? Voilà pourquoi Kanye a trollé le système depuis et comment on peu expliquer certains déraillements de sa vie. 

Anecdote racontée par l'avocat de Britney Spears

Un jour du début du combat légal de Britney, au tout début de l'année 2008, quand son avocat, Jon Eardley, évaluait la cause de la chanteuse pop au téléphone, pour garantir la protection de ses droits constitutionnels, quelqu'un à l'autre bout de la communication a arraché l'appareil des mains de la star à et la communication a abruptement été coupée. L'entourage a par la suite expliqué que Britney n'était pas apte mentalement à prendre une décision telle qu'appeler un avocat. Cet exemple donne le ton du documentaire. Dans son insistance à protéger les droits de Britney contre le père, l'avocat s'est vu suspendre sa licence de droit. Plus tard, une juge a signé un ordre restrictif pour interdire à Eardley de prendre contact avec la chanteuse.

Quand les fans deviennent des héros

Pour la journaliste et productrice, Liz Crokin, ce sont des fans éveillés de Britney qui lui ont permis de sauver une partie de sa fortune, alors qu'une transfert de centaines de millions de dollars était imminent, à son insu et que le tout est devenu médiatisé à cause des pressions des fans. La transaction de transfert d'avoirs depuis la fiducie SJP a été mise au jour a ainsi été interrompue. Déjà, la fondation Britney Spears avait été vidée d'une même manière.

La complicité d'un système à divers niveaux

La situation survit grâce à un système corrompu à divers niveaux (familles et proches désorganisés ou profitant de la fortune, avocats malhonnêtes, médias complices, big techs soumises, juges qui ferment les yeux, politiques qui détournent le regard de la question des curatelles abusives et criminelles). Tout cela semble pointer vers la corruption payée à même la fiducie de la curatelle. Une mise sous curatelle (tutelle) par exemple, peut permettre de mettre la main sur la gestion d'un trésor de dizaines ou des centaines de millions de dollars US et cela peut permettre d'acheter des services du côté sombre, par exemple chez certains médias, chez des professionnels, etc. (de simples frais d'opération en quelque sorte).

Derrière chaque cas, se trouve un agent abuseur véreux, ou l'entourage d'un artiste et des complices. Liz Crokin se concentre surtout sur l'exploitation des vedettes féminines dans l'industrie du divertissement et du shobiz (chanson, cinéma, TV...). Bref, dans plusieurs cas, on peut observer des manipulations allant de la fraude (ce qui est déjà un acte criminel en soi) jusqu'à ce qui équivaut au travail forcé avec mise sous médication et curatelle abusive, avec détournement de fonds; pratiquement une forme de traite humaine de ces princesses au châteaux éthérés; illusoires tels des hologrammes ou tels ces arrière-plans verts de captures de scènes cinématographiques. De là, vient le titre du documentaire évoquant une Princesse Esclave.




Britney Spears, jeune adulte exploitée



Britney Spears, la star



Britney Spears, la maman menacée de se faire retirer ses enfants si elle ne collabore pas


Pensée

Psaume 91 (extrait)

«Celui qui demeure sous l'abri du Très-Haut 

Repose à l'ombre du Tout Puissant.

Je dis à l'Éternel: Mon refuge et ma forteresse, 

Mon Dieu en qui je me confie!

Car c'est lui qui te délivre du filet de l'oiseleur, 

De la peste et de ses ravages [...]

Il te couvrira de ses plumes, 

Et tu trouveras un refuge sous ses ailes; 

Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse». 

(la Bible, extrait du Psaume 91, traduction Louis Segond)


Psaumes 124 (extrait)

«Béni soit l'Éternel, 

Qui ne nous a pas livrés en proie à leurs dents!

Notre âme s'est échappée comme l'oiseau du filet des oiseleurs

Le filet s'est rompu, et nous nous sommes échappés.

Notre secours est dans le nom de l'Éternel

Qui a fait les cieux et la terre.»

(la Bible, extrait du Psaume 124, traduction Louis Segond)


Ta vie est un projet de Dieu. Tu en es gestionnaire. Tu peux amener le navire (ta vie) à bon port ou tu peux l'échouer sur les récifs de ta révolte et du péché. Ne renonce jamais à persévérer à développer ta relation avec Dieu par le Christ Jésus, ton vrai Secours. Dans la présente réalité, nous pouvons atteindre la maturité spirituelle, mais non la perfection absolue (sauf par notre position étant cachés comme enveloppés d'un manteau dans la justice pourvue en Christ). Nous ne sommes pas arrivés, nous sommes une création en marche en Christ (le Oint, le Messie, le Fils unique de Dieu) qui a donné sa vie en rançon, pour nous racheter de la malédiction de la Loi. Place en lui ta foi-confiance pour le salut. Le jour le plus important est aujourd'hui, car tu ne sais pas ce qu'une seule nuit peut engendrer. À toi de décider si tu fais cavalier seul, avec tes seules ressources vouées à l'échec spirituel, ou si tu te rends sous la protection du Roi des rois, du Vainqueur. Nous avons lu la fin du Livre.

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1.     Une référence ici au célèbre roman pour adulte publié en 1865 par Lewis Carol et mis ensuite sous forme de conte pour un jeune public : Alice au Pays des merveilles.