dimanche 22 novembre 2015

Censure et filtres sur des enjeux majeurs OU pourquoi j'ai créé ce blogue sociopolitique privé

Voici une opinion en appui à un texte du chroniqueur Richard Martineau, deux fois censurée (non publiée) par le Journal de Montréal. Le sujet: la sécurité liée à l'immigration accélérée dans le contexte de l'État islamique. C'est pour des raisons comme celles-ci que j'ai créé ce blogue sociopolitique privé (indépendant).




(dernière modification : 13 décembre 2015)

J'avoue que la première contenait une citation en traduction libre, plus longue contenant des noms de comités de sécurité. La version ci-dessous, si on enlève le premier paragraphe, était tout à fait acceptable, moyennant un aperçu de quelques lignes (inexistant sur le blogue en question).


CITATION
(deuxième envoi censuré par le Journal de Montréal en ligne, paragraphe 1 ajouté, autre paragraphe de traduction d'un extrait de la lettre retiré)

«Chers modérateurs: soyez indulgents. Vous me censurez, mais je ne peux pas traduire les noms des comités en anglais, lesquels sont comme des marques. Par exemple, «Homeland Security« peut se traduire tout autant «Sécurité Intérieure» que «Sécurité Nationale»...Faudra-t-il traduire «une page Twitter»  par «une page du Gazouilleur»? Ou «Facebook» par «Le Livre des Visages»?
«Bref, M. Martineau, il n'y a pas que les Québécois qui s'opposent à accélérer le processus d'immigration des réfugiés dans le contexte de l'État islamique qui veut frapper l'Occident en profitant de la colonne de réfugiés et qui se font, du coup, accuser de xénophobie. Les hautes entités gouvernementales et agences de sécurité nationale américaines aussi.
«Selon une lettre officielle rendue publique, des tensions ont subsisté jusqu'ici, entre le conseil de la sécurité nationale (Homeland Security Committee) des États-Unis et le Président Obama et ce, jusqu'aux attentats de Paris, de novembre 2015. Celles-ci, touchaient même plusieurs failles ou vulnérabilités identifiées par le conseil et les sous-comités. Il s'agit principalement de vulnérabilités en matière de sécurité, reliées spécifiquement à l'immigration syrienne et irakienne, portées à l'attention du Président à divers moments et de diverses façons (lettres, informations et renseignement, recommandations pour la sécurité intérieure) mais qui seraient demeurées sans suite formelle durant plusieurs semaines, voire des mois, entre janvier et novembre 2015.
«Le 16 novembre, le Conseil a fait parvenir une lettre musclée au président Barack Obama et rendue publique sur le site de l'organisme gouvernemental. Le comité de sécurité avertit que l'administration Obama serait redevable aux citoyens et au Congrès américains en cas d'attaque au pays, si elle ne prend pas des mesures plus appropriées à l'évolution du dossier de l'État islamique.
«Le lendemain, 17 nov.,  le projet de loi H.R. 4038 est publié. Il est évident que le président s'est fait «convaincre» en matière de sécurité et de l'urgence de la situation. Il faut comprendre que l'État islamique a vraiment un plan d'infiltrer les pays occidentaux, et que nous nous trouvons dans un monde totalement différent des réalités précédentes ou même actuelles mais touchant d'autres pays en guerre.
«D'autres témoignages, de spécialistes ceux-là,attestent qu'il est relativement facile de voyager en UE et de franchir les frontières de Schengen (zone de circulation libre entre les pays), sous le radar des policiers»


FIN DE LA CITATION

Les documents référés dans ce texte se trouvent sur le site du Homeland Security Committee (https://homeland.house.gov)


La lettre du 16 novembre 2015 Du président du Homeland Security Committee Au Président de la plus puissante démocratie du monde:






Le projet de loi du 17 novembre, au lendemain de la lettre




Quelques faits importants sur la sécurité en Europe et en Amérique du Nord


Dans les cas de réfugiés «traditionnels» nous ne faisons pas face à des combattants ayant fait vœu d'infiltrer et d'attaque nos pays. Il ne s'agit pas d'interdire la migration de l'Irak et la Syrie, mais de ne pas accélérer le processus normal d'acceptation des réfugiés, d'autant plus que les menaces sont réelles.


D'autres témoignages, de spécialistes ceux-là, attestent qu'il est relativement facile de voyager en UE et de franchir les frontières d'entrée de Schengen (zone de circulation libre entre les pays), sous le radar des policiers.